Chapitre 17 : Entre l'idée et la réalité II

1474 Words
Je la soulève du sol, la force à enrouler ses bras autour de mon cou et à refermer ses longues jambes autour de ma taille. Je rentre dans l'appartement et claque la porte avec mon pied. Je veux la savourer pleinement. J'ouvre les yeux et remarque un grand canapé au milieu de son salon. Je l'y assois et m'agenouille à côté d'elle, ses mains désespérées m'arrachent mon pull et mon tee-shirt. À mon tour, je lui enlève son T-shirt et, sans pouvoir me contrôler, je prends ses tétons en érection dans ma bouche, l'un après l'autre, tandis que ma main glisse le long de son ventre et se déplace avec agitation jusqu'à son bassin. Je sens sa moiteur et sa chaleur sur mes doigts et je grogne, lui mordant les lèvres et les prenant dans ma bouche, savourant son goût et réalisant que je meurs d'envie de la goûter, alors qu'elle essaie de baisser mon pantalon. Je la repousse contre le canapé et me débarrasse de son bas de jogging. Je prends ses hanches dans mes mains en soulevant un de ses pieds par-dessus mon épaule et je me perds dans son goût. Ma bouche affamée prend tout d'elle, je passe ma langue entre ses lèvres vaginales, je s**e fort et je sens ses mains tirer mes cheveux, ma langue bouge rapidement, je suis perdu dans son goût et dans ses gémissements qui sont le meilleur accueil que je puisse avoir. — Jean — Son corps frémit et je suis sûr qu'elle va jouir, j'insère deux de mes doigts en elle et ses parois internes les emprisonnent dans leur chaleur. Mon érection grandit, mes doigts et ma bouche s'accélèrent et le corps de Jade explosa. Ses pieds poussent contre mes épaules, ses mains tirent sur mes cheveux et son dos se crispe. — Oh mon Dieu, Jean, j'ai besoin de toi maintenant ! — Son ton impératif me fait sourire, je me délecte à observer ses gestes, j'enlève mes chaussures et mon pantalon et sans une seconde d'hésitation, je me lève et me penche sur son corps, la pénétrante alors que son corps tremble sous les derniers contrecoups de son o*****e — Dieu ! — Je l'enfonce encore et encore, sentant ma bite entourée de sa moiteur et de plus en plus large. — Tu m'as manqué, ma femme — murmure-je en m'emparant de ses lèvres. Je continue à l'embrasser et fais glisser mes lèvres le long de ses joues et de son cou, prenant à nouveau ses seins entre mes lèvres. Je me retourne avec elle sur mon corps et m'assieds sur le bord du canapé, prenant le corps de Jade avec moi, l'asseyant sur mes genoux, alors que mon érection commence à s'enfoncer dans elle à nouveau. Cette fois, plus fort et avec plus de puissance. Le corps de Jade glisse contre le mien et je suis conscient que ses mains et ses jambes s'enroulent autour de mon cou et de ma taille, que son regard bleu azur est perdu dans le désir et que son regard retient le mien. — Je t'aime ! — Je sens le goût de ses dents pénétrer ma peau tandis que ses parois vaginales absorbent complètement mon membre. Son deuxième o*****e me prend au dépourvu et l'humidité qui descend dans ses entrailles chaudes et abondantes me rend fou. Ma bite s'élargit et déborde absolument en elle. — Je t'aime, nena — lui réponds-je en emmêlant mes mains dans ses cheveux et en l'embrassant à nouveau. — Pourquoi pleures-tu ? — Je relève son visage et la regarde dans les yeux. — Nena ? — Je suis désolée, Jean. Je suis tellement désolée — dit-elle en se levant de mes genoux et en s'habillant à la hâte. — Nena, ne pleure pas. Les poursuites ont été abandonnées, Thym va bien, tout va bien. — J'essaie de la prendre dans mes bras, mais elle s'éloigne. Je ne comprends pas sa réaction, alors j'attrape mes vêtements et je m'habille en mettant mes cheveux en chignon. — Jean, je suis vraiment désolée, ils m'ont poussée, ils m'ont fait culpabiliser et c'était le seul moyen pour qu'ils abandonnent les poursuites contre toi. Je... — Elle essuie ses larmes et je ne comprends rien. Elle se tait en entendant le bruit des clés dans la porte d'entrée. Nous tournons toutes les deux notre regard vers le même endroit et je serre les mains en poings en voyant Thym entrer calmement. — Jean, je suis heureuse de te voir ici, mon oncle m'a dit que tu avais été libéré. J'imagine que tu es venu t'excuser. — Je hausse un sourcil et le regarde s'approcher de nous, Jade est toujours, toujours en train de regarder Thym — Ne t'inquiète pas cousin, à part nous faire changer un peu nos plans de lune de miel et un petit problème de mémoire, tout va bien, n'est-ce pas ma vie ? — Je me tourne vers Jade. Ma vie ?, mais qu'est-ce que tu veux dire ? — Qu'est-ce que tu veux dire par là ? — Je demande beaucoup plus calmement que je ne le pense. — Je veux dire que ma femme et moi ne sommes pas rancuniers — me répond Thym en s'approchant de Jade et en l'embrassant doucement sur la bouche. Je fais deux pas vers eux et je revois tout noir, cette fois, je vais absolument oublier que nous sommes une famille. Il a osé toucher les lèvres de ma femme et l'appeler sa femme. — Ta femme ? — Je fais un effort pour me calmer en voyant l'expression du visage de Jade. Elle est terrifiée, alors je me contrôle, je ne veux pas qu'elle ait peur de moi. — Bien sûr, rappelle-toi que lorsque tu m'as massacré, je venais d'épouser cette belle dame, l'amour de ma vie — Je hausse un sourcil et fais un pas de plus vers eux, mais à ce moment la voix de Jade et son commentaire me surprennent. — Thym a perdu la mémoire et ne se souvient plus de ce qui s'est passé après votre rencontre du matin, avant notre mariage. — Mon regard s'arrête devant le sien. Qu'essaie-t-elle de me dire ? — Mon père et ma femme ici présente m'ont convaincu de retirer le procès. En fait, cousin, je voulais que tu restes le plus longtemps possible en prison, mais ma belle femme m'a fait comprendre que ce n'était pas nécessaire, puisque je l'ai, nous avons pu nous marier et c'est ce qui compte, au moins j'oublierai la nuit de noces. — Il me dit avec un sourire ironique que j'ai immédiatement envie d'effacer de son visage. Je concentre mon regard sur celui de Thym et je sens le sang se précipiter en moi. — Tu ne le toucheras pas... — Jean — Les mains de Jade se posent sur mon torse et je ressens une décharge électrique et j'ai juste envie de l'embrasser à nouveau. — Tu dois partir, mon mari et moi voulons être seuls. Il a besoin de se reposer et de retrouver ses souvenirs — Ses yeux se remplissent de larmes à chaque mot qui sort de sa bouche. Je ne comprends pas ce qui se passe — Et je suis si heureuse de te voir sortir de ton emprisonnement. Je ne t'aurais pas pardonné de perdre tout ce que tu as pour un moment de folie. — Je ferme les yeux en comprenant la situation. Thym profite de tout ce qui se passe, mais il n'en tirera rien.— Jade, je ne vais pas te laisser te faire passer pour ce que tu n'es pas, tu es ma.... — Belle-sœur. — Je lève les yeux vers la voix forte de l'oncle Bastien. — Je suppose que c'est ce que tu allais dire, n'est-ce pas mon neveu ? — À la porte d'entrée se tiennent mon oncle, le père de Jade et mon père. Je fronce les sourcils en voyant mon père secouer la tête et le bruit auquel je m'habitue envahir mon être alors que le père de Jade s'approche de Thym et le salue joyeusement. — Je suis content que tu te sentes mieux, beau-fils. — Jade ferme les yeux et s'approche de moi, déposant un b****r sur ma joue tout en me chuchotant à l'oreille. — Va-t'en, Jean, ne rends pas les choses plus difficiles. — Sa voix douce et le fait de la voir si triste et résignée renforcent ma fureur. Je lève la main et essuie une de ses joues. La fureur, la rage et les ténèbres m'envahissent. Jade est à moi, ma femme, et pourtant tout le monde pense que je devrais la confier à mon cousin et partir tranquillement. Ils ont tort ! Je ne ferai jamais ça, ils devront d'abord m'achever et je ne vais pas leur faciliter la tâche.
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