XVILe lendemain, dès huit heures et demie, le grand Schoûltz, tout fringant, vêtu de nankin des pieds à la tête, la petite canne de baleine à la main, et la casquette de chasse en cuir bouilli carrément plantée sur sa longue figure brune un peu vineuse, montait l’escalier de Kobus quatre à quatre. Hâan, en petite redingote verte, gilet de velours noir à fleurs jaunes tout chargé de breloques, et coiffé d’un magnifique castor blanc à longs poils, le suivait lentement, sa main grassouillette sur la rampe, et faisant craquer ses escarpins à chaque pas. Ils semblaient joyeux, et s’attendaient sans doute à trouver leur ami Kobus en c****e grise et pantalon couleur de rouille, comme d’habitude. « Eh bien, Katel, s’écria Schoûltz, regardant dans la cuisine entrouverte. Eh bien ! est-il prêt ? –