Il as jouer de moi, je l'ai détruit !!!

Épisode 13: une fin de soirée plutôt sympas.

Arriver à l’hôtel, ont ce dirigea toute les deux vers ma chambre, et ont s’allongea sur mon lit, ont réfléchissait à ce que l’on pouvais faire pour finir la journée en beauté et une idée jaillit de ma petite cervelle.

Moi: ET SI ON ALLAIT FAIRE UN BOWLING.

Elle rigola et puis d’un coup son sourire disparu.

Moi: qu’est ce qu’il y’a tu veux pas

Léna: si mais je sais pas si je peux, j’ai une somme pour tenir le mois et sa fait qu’une semaine que je suis là, je peux pas tout gaspiller.

Je rigole, là pris dans mes bras et lui dit que j’allais tout payer cela n’était pas un problème. Elle ce mit à sauter partout dans la chambre. Ont ce sépara et chacune alla ce préparer. J’avais fait du shopping donc je pouvais mettre autre chose que mes vieux survêtement, et je voulais me sentir belle alors fallait que je mette le paquet, quand je pense qu’avant tout cela ne l’intéressait pendant 8 ans de ma vie je ne me suis jamais senti belle, je ne ressemblai a rien, je ne prenais pas soin de moi et pourquoi parce que mon père était parti, parce qu’il m’avait abandonner, avant je ressentais de la tristesse mais cette boule de nostalgie commençais sérieusement à ce transformer peu à peu en une boule de haine. Comme ont dit souvent de l’amour à la haine il n’y as qu’un pas à faire. Il m’avait détruit, il m’avait tuer alors que je n’était qu’une pauvre enfant et pour quoi, pour qui je ne savais pas. Je secoua ma tête pour arrêter de penser et j’allais regarder dans mon armoire ce qu’il y avait, je pris une jolie robe fleuri qui m’allait jusqu’au genoux et une paire de basket blanche. Je commençais à avoir un bon goût pour mes tenues, mais je privatisait toujours les tenues ou j’étais à l’aide. En enfilant la robe qui était assez moulante, je me rendu compte que j’avais réussi à muscle ma poitrine, elle était donc beaucoup plus ressortit qu’avant et franchement j’aimais bien, j’aimais bien. J’avais pris un peu de poids aussi je le sentais au fond de moi, mais je ne pouvais me voir dans le miroir j’avais promis, c’est certes un peu ridicule mais ces le petit delir de Léna, je lui avait dit que je voulais devenir plus belle et elle ces mise à sauter partout en criant « j’ai une idée « elle me dit sa proposition et je ne pouvais refuser devant son magnifique sourire.

Je finit de me préparer en coiffant mes cheveux et je fis une queue de chevale, mais j’hésitais quand même aussi à les lâcher. Mais leur longueur me gênerais pour jouer. Satisfaite au fond de moi, je sortie rejoindre Léna qui était partie dans sa chambre pour ce préparer à son tours. Je toque, elle m’ouvre et elle était vraiment magnifique, elle avait mit une petite robe rouge moulante et de une sublime paire de talon. Son bronzage mettait en valeur son sourire, elle était vraiment très belle, je suppose que je n’était rien face à elle. Elle me regardea elle aussi à son tours, me tourna comme une brochette de viande sûrement pour ensuite me rapprocher quelque chose sur ma tenue, (je n’était pas encore une pro) mais elle ne dit rien et sourit.

Moi: ces moches c’est sa

Léna: pas du tout tu es tellement mignonne habiller comme ça j’adore. T’es vraiment une très belle personne, tu vas juste devoir accentuer la nourriture les prochains jours continuer le sport et tu seras parfaite, tu as un très beau visage quand tu le met en valeur.

Sa phrase m’avait vraiment toucher, on ne l’avais encore jamais autant complémenter. Je lui avait dit mon complexe avec mon poids alors sont petit conseil ne m’avait pas fait mal, c’était pour mon bien et oui sa ne faisait qu’une semaine que j’étais là alors c’était tout à fait normal que je soit encore très maigre.

Léna me prit par la mains, ferma la porte de sa chambre et on ce dirigeas vers la sortie de l’hôtel, tout le monde nous regardais, ils devaient sûrement tout ce dire qu’ont allais allez dans un cabaret ou autre. Les gens aimes juger les filles surtout lorsqu’elle ce font belles. En réalité dans ce monde nous serons toujours les accuser ces vraiment incroyables de voir comment les mentalités étaient à un niveau d’intellectualités très bas.

Ont sortie de l’hôtel et mon chauffeur nous attendais, ont lui indiquas l’adresse et ils démarra. Le chauffeur était devenue un peu notre ange gardien, il était vraiment très gentille, certes il ne parlait pas énormément mais il était très protecteur, il nous disaient toujours de faire attention. Je l’aimais bien, il était un peu comme un papa.

Ont arriva à l’endroit et c’était trop beau, un grand bâtiment avec de gros quille et une boule sur l’interface de l’immeuble. Plein de groupes de jeunes différents étaient devants, certain fumais (fumer tue ne l’oubliez pas), d’autre dansais avec la musique qui s’échappait de leur véhicule. Ont ressentait la joie de vivre. Nous sortons de la voiture et tout le monde regarde vers nous, sa devait être la voiture qui les avait impressionné, ils devaient ce dire que l’on était des riches et tout alors que pas du tout. Ont ce dirigea vers la porte d’entrer et des garçons ce mirent a siffler, sa devait sûrement être pour Léna, vu comment elle était belle. Jusqu’au ce que j’entende un crier « eh celle avec la robe à fleur tu me donne ton num » moi et Léna ont ce regarde et ont ce mit à rigoler en même temps. Ont entre à l’intérieur, je paye, ont nous demande de changer de basket en même temps Léna avec ces talons n’allais pas faire long feu et ont allais dans un côté où il n’y avait personnes. Ont commanda des hamburgers et une pizzas. Ouep il me fallait des kilos. Ont commençais alors à jouer.

Le temps passe et ont continuais à jouer j’avais réussi à faire 2 strikes, j’étais trop fière de moi, quant à Léna elle ne faisait que de faire passer la boule de l’autre côté, ont a vraiment rit. Mon tours arriva à nouveau et je tire et c’était encore un strike, j’ai crier sauter, j’étais vraiment une autre personne et c’était formidable de enfin ce sentir heureuse après des années à avoir été emprisonné de mes propres émotions. Je suis tellement fière de la femme que j’étais entrain de devenir. J’étais tout simplement heureuse.

Nos repas arrivèrent et ont s’installa dans les canapés du fond, j’avais grave faim, ont avait beaucoup jouer donc oui j’avais faim, je croque une bon gros morceau dans mon hamburger qui lui était plein de sauce et bien moelleux, très bon. Léna elle était un peu dans ces penser alors je lui demanda qu’est ce qu’elle avait.

Moi: Léna qu’est ce qui t’arrive?

Léna: tu te souvient de mon ex!

Oui je m’en souvenais, cette homme toxique à qui elle as donner sa confiance pour ensuite lui mettre un couteau dans le dos, je m’en souvenait.

Moi: oui je m’en souvient Léna et bien qu’est ce qu’il ce passe

Léna: il m’as envoyer un message, il m’as dit qu’il m’aimait et que je lui manquait qu’il voulais me revoir et maintenant j’hésite parce que je l’aime sa m’énerve, sa me déprime, je veux le revoir mais ma tête me dit nan il m’as jeter mais je l’aime quand même.

Ces parles m’avait atteinte parce que je connaissait ce sentiment mais elle ne connaissait pas cette partie de la vie, et je sais que je peu lui faire confiance et peut être que mon parcours alors je me mis à lui raconter l’amour que moi aussi j’avais envers ce père qui est parti du jours au lendemain sans même un en revoir.

Moi: tu sais Léna dans la vie y as des haut et des bas et cette situations dans lequel tu es aujourd’hui je la connais, quand j’étais enfant mon père nous avait quittée pour allez refaire sa vie, loin de nous, loin de moi, tout les monde a réussie à reprendre le cours de son existence, sauf moi, je me suis enfermer pendant une semaine, puis deux, puis trois puis sa a fini par être des mois et ensuite des années. Et ces pour sa que je suis venue pour me détacher de cette amour et découvrir le monde, je n’était pas heureuse avant de venir ici, j’étais triste toujours triste, et après j’ai fini par ne plus l’être et tout sa grâce à toi, alors ces la même chose Léna tu n’as absolument pas le droit de te pourrir la vie pour quelqu’un qui ne te mérite pas, et lui il ne te mérite pas tu es une magnifique personne et tu mérite plus. Tu trouveras un vrai prince charmant mais lui se n’en est pas un.

Je fini mon texte, j’étais essoufflée tellement j’avais trop parler et en la regardant je la vis, choquer. Elle ce lève de sa place et me saute dessus pour me faire plein de bisous partout. Je rigolais même si je ne comprenais pas trop ce qui venait de ce passer.

Léna: tu vient de m’ouvrir les yeux, tu es là meilleure personne de ce monde et ton père ne méritait lui aussi sûrement pas une fille comme toi tu est magnifique de l’intérieur comme de l’extérieur.

Sa phrase l’avais tellement toucher et je fini par la prendre dans mes bras, je culpabilisait un peu de ne pas lui avoir fait confiance plus tôt mais après tout c’était normal, mais maintenant je savais que je pouvais compter sur Léna. Et qu’elle était une personne merveilleuse. Ont finit notre repas et ont rentra chez nous, à l’hôtel mais aujourd’hui Léna dormir avec moi. C’était mon amie et demain était un nouveau jours.