Episode 12: Une journée chaotique

1442 Words
Je vis l'homme s'approche de mon agresseur, j'était terrifier il ne voulais même plus me lâcher et il continuait a crier comme un fou, je vis le garçon s'approcher de nous et lui hurler, L'homme;t'as intérêt a la lâcher tout de suite. Je le regardais choquer, il était venu me défendre mdrrrr, la scène avait pris une tout autre tournure. Le fou m'avais enfin lâcher mais pour qui pour l'autre, Léna c'était rapprocher de moi et m'as séparée loin du raffut qui avait été fait. J’étais maintenant derrière toute les personnes qui c’était approcher pour regarder le film, et tout sa pour quoi pour un numéro c'est vraiment du n'importe quoi, il avait littéralement gâcher ma journée inutilement. J'était encore choquer, Léna m'avait pris dans ces bras, en même temps je n'avais jamais vécu une scène aussi choquante, mais ce qui me choquait le plus c'est qu'ont c'est dispute pour ma beauté. C'est une révolution. En réalité au fond de moi j'était choquer mais aussi tellement fière. Je ressentais enfin une petite confiance qui grandissait petite a petit, c’était incroyable. J’étais éloigné du groupe ou mon altercation c’était passer, j’etait avec Léna et j’entendais des cris d’hommes en train de ce disputer. Les vigiles du parc essayaient de les séparer mais en vain. Alors ont ces rapprocher un tout petit pour voir ce qui ce passais et je l’es vis ce disputer à deux doigt de ce taper, l’un était retenu par les gardes et mon sauveur par ces amis, j’avais vraiment créé sans le vouloir un vrai bordel. Le fou: mais t’es qui toi gros c** tu vient et tu me parle tu veux quoi c’est quoi ton problème Mon sauveur: d’où espèce d’âne tu prend des femmes comme ça il est où ton respect espèce d’âne Le fou: ces ta femme, ces y’a soeur, ces quoi ton problème ptit en***** Mon sauveur: ouais ces ma femme p* Et là il lui as sauté dessus, tout le monde essayais de les séparer mais rien en même temps y’en avais que trois ou quatre qui essayais de stopper la bagarre, les autres observais le film avec intention, limite c’était même si ils demandaient à ce qu’on leur apporte des pop corns du n’importe quoi. Mais la phrases de mon sauveur tournais en boucle dans ma tête « je suis sa femme » « je suis sa femme » c’était tellement une situation inconnu pour moi, il ne mettait jamais arriver une chose pareil et sa ce faisait vraiment pas pour le gars qui est entrain de ce faire taper pour moi alors qu’il ne me connaissait a peine. Je me sépara donc de Léna qui ne comprenais absolument pas mon geste et j’entre dans la foule pour allez les séparer, j’etait en train de hurler pour qu’ils arrêtent mais je crois ils sont devenues sourd et muets c’était vraiment une situations peu communes, d’avoir autant de haine pour des personnes que l’on connais ni d’Adam et ni d’Ève. Je continuais à les séparer et d’un coup un coup s’envola et bim il atterrit sur ma petite joue, y’a quelque minute j’etait choquer à présent j’etait étourdit je suis tomber au sol et ces à ce moment là que la bagarre a stopper, le fou ce fait embarquer par les vigiles et ces copains rejoignais l’autre et moi Léna avais accouru pour pouvoir constater les dégâts, qui n’était malheureusement pas sans appel, j’avais un gros bleu et voilà mon bronzage était foutu, la foule venait voir si j’allais bien et les infirmiers du parc sont venue me voir et mon appliquer de la glace. La foule commençais à ce disperser et mon sauveteur vient me voir. Mon sauveteur: je suis désoler pour ta joue mais il ma monter les nerfs Moi: oh t’inquiète pas c’est bon un peu de glace et sa va passer Il me dit en revoir et part, j’avais complètement oublier de lui dire merci mais il était parti et Léna était venue me rejoindre dans l’infirmerie, j’ai donc laisser tomber, de toute façon je ne le reverrai sûrement plus jamais. Je regardais Léna du coin de l’œil qui était assise, elle n’avais pas adresser un mots depuis la scène, je la regardais mais rien elle ne me calculais absolument pas, Moi: Léna qu’est ce que t’as pourquoi tu ne parle plus Et elle ce mit à pleurer d’un coup, je n’avais pas compris pourquoi, alors je m’approche d’elle et je me mets face à elle. Les larmes coulais sur ces joues, c’était la première fois depuis qu’ont ces rencontrer que je la voyais pleurer et sa ma fait mal. Moi: Léna qu’est ce qu’il t’arrive, pourquoi tu pleures. Léna: c’est de ma fautes ce qu’il t’es arriver si je n’était pas partit parler avec des gars tu n’aurais pas été seul et tu n’aurais jamais vécu sa désoler, je t’en supplie pardonne moi. Je la regardais choquer, comment elle pouvais penser que cela était de sa faute, bien au contraire elle n’y était absolument pour rien, je la prend dans mes bras et lui chuchote qu’elle n’y était vraiment pour rien et que toi cela était arriver parce que sa devaient arriver. Elle me regarda et sourit. J’aimais bien ce sourire. Léna: mais en tout cas ma go t’as été courageuse ta réussi à t’interposer, tu commence vraiment à glow up mentalement. Je la regardais et elle avais raison, cette semaine loin des insultes et des critiques, m’avais vraiment aider à me forger une carapace qui commençais à ce solidifier petit à petit. Avant je ne me serais jamais interposer et puis de toute façon je ne me serais jamais faite dragué, j’étais vraiment fière de la Neyla que j’étais en train de devenir petit à petit. Je ne me laisserais plus jamais rabaisser par personne, et cela était une certitude. Je suis moi aussi un humain et je n’ai pas être juger pour ce que je suis ou qui je suis ou même à quoi je ressemble, cela ne concernais absolument personne. Et personne n’as le droit et ne doit ce laisser rabaisser. Je pense aussi que mes séance de boxe m’aidait à me sentir un peu plus forte. Léna était là avec moi et elle m’avais aider à changer je ne la remercierais jamais assez, mais ces aussi avant tout à Salim qui m’avait permis de passer un bon moment toute seul et grâce à Dieu j’ai été accompagner en bonne compagnie. Et ces face à Léna que je me met à sourire bêtement. Moi: c’est vrai ta raison et je ne me laisserais plus jamais me faire rabaisser Léna était une personne qui avait vraiment confiance en elle. Et c’était beau avoir, s’aimer était la première étape pour changer et je crois que maintenant je comme a m’aimer. L’infirmer qui m’avait passer la glace un peu plus tôt entra dans la pièce il regardais ma blessure et il me dit que en mettant une crème que sa allais vite disparaître. J’écoutais ses conseils pour que mon bleue disparaisse le plus rapidement possible. Je le remercie et ont décident moi et Léna de partir du parc, elle était obséder par le garçon qui était venue m’aider pour elle c’était le prince charmant du siècle pour moi c’était un homme, polie et éduqué rien de plus. Ont ce dirige vers les vestiaires, ont prend une petite douches, ce rè habillent et ont sort. Le chauffeur nous attendais dehors et ont ne savait pas vraiment quoi faire alors ont lui demande de nous emmener à l’hôtel et on verras pour la suite.......
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