Der Träume :sous le regard du diable

CHAPITRE 3: DE PIRE EN PIRE

Le jour suivant, sur le toit de l'école, Luca se faisait frapper par Max et son groupe. Sa situation avait déjà duré plusieurs jours ses notes commençaient à chuter. Angèle s'inquiéta, mais Luca la rassura en disant que tout allait bien.

Quelque temps après, Luca ne put plus supporter la situation et alla se plaindre à son professeur principal, M. Fabrice, en lui expliquant qu'il était victime de harcèlement. Luca savait déjà que son professeur était au courant de sa situation, mais faisait semblant de ne rien voir. mais Luca inquiet de sa situation avait espoir qu'en parlant ouvertement à son professeur, la situation allait changer.

La seule réponse que M. Fabrice lui donna fut : "Les enfants d'aujourd'hui se plaignent de tout et de rien. Tu penses que j'ai rien de mieux à faire ?" - "Mais, monsieur..." - "Pas de mais, sors de mon bureau."

Après cela, Carle vint le voir : "Il paraît que tu as parlé de nous à ton professeur. Tu ne tiens plus à la vie ?" - "Non, non, ce n'est pas du tout ce que tu crois. Je vais..." Avant que Luca ne puisse terminer sa phrase, Carle l'avait déjà saisi par la tête et lui avait donné un bon coup de tête. "Explique-moi quoi ?", dit Carle.

Sous la douleur du coup qu'il venait de recevoir, Luca fit quelques pas en arrière en se tenant la tête et lutta pour ne pas tomber. Carle ne le laissa pas prendre de distance et courut vers lui rapidement avant de lui donner un autre coup dans le ventre, ce qui lui fit immédiatement mettre les genoux à terre.

Luca pensa : "Cet enfo*ré est bien plus fort que Max." Carle était devant Luca, tout souriant, le regardant se tordre de douleur.

Après cela, la vie de Luca devint un véritable enfer. Même ceux qui ne faisaient que le regarder avant commencèrent à s'en prendre à lui. Charlie ne pouvait plus rester sans rien faire et décida d'aller confronter Max et Carle.et leur demanda "d arrêter leur bêtise",

Carle et Max se regardèrent avec des airs perplexe CV des deux: "À qui s'adresse-t-il ?" Tout en demandant "qui est ce mec" Lea, à côté d'eux, répondit : "C'est le mec qui traîne sans arrêt avec Luk. *LUK Nom donné à Luca par le groupe ."

Max dit : "Je vois que nous avons été trop gentils en voulant l'ignorer. Tu t'es fait pousser des ailes." - "Vous pensez que le fait d'avoir de l'argent vous donne le droit de faire tout ce qui vous passe par la tête ?" - "Oui, ces le cas ", répondit Carle.

Charlie se tourna pour partir, mais le groupe ne l'entendait pas ainsi et se leva pour l'encercler. Charlie cria : "Vous êtes fous !" et l'un des gars de Max, Henri, lui donna un coup de poing, mais il esquiva habilement et contre-attaqua, réussissant à le maîtriser sans trop de difficulté.

"Wow, bravo, tu te débrouilles mieux que ton ami", cria Max, et les autres membres du groupe saisirent Charlie par les bras. Max s'approcha de lui et dit : "Voyons voir si tu feras un bon sac de frappe à l'avenir", et il commença à lui donner des coups de poing et de pied dans l'estomac jusqu'à se fatiguer.

De retour en classe, Luca vit son ami dans un état pitoyable et lui demanda ce qui lui était arrivé. Il répondit vaguement : "Les escaliers, je suis tombé", et posa la tête sur la table comme pour dire qu'il était fatigué et voulait se reposer.

Luca le regardait sans dire un mot, puis se retourna pour essayer de suivre son cours. À partir de ce jour, Charlie entra dans leur ligne de mire, mais à la différence de Luca, il ne se laissait pas faire. Il se battait, ce qui concentrait plus l'attention sur lui et laissa à Luca un peu de répit.

Une fois, Charlie alla même jusqu'à filmer une scène où Max et Carle les harcelait et la publia. Lorsque le procureur, M. John, et l'homme d'affaires, M. Roni, virent cette vidéo, ils furent tes en colére . Étant des personnages publics, cela était très mauvais pour les affaires et leur image . Ils firent tout pour calmer la situation et l opinions public

M. John dit à son fils : "Carle Comment as-tu pu faire une chose aussi irréfléchie et te faire filmer en plus ?" - "Je suis désolé pére ,- je ne savais pas qu'ils allaient me filmer. Je vais arranger ça." - "Non, tu ne feras rien pour le moment. Reste simplement à la maison en attendant que les choses se calment."

*CV Carle : "J'essayais de ne pas trop m'impliquer dans votre petit jeu, mais là, je vais devoir vous faire payer."

Après cet incident, le groupe de Max et Charlie ne vint plus à l'école, et la vie de Luca revint comme avant. Il se disait que c'était le calme avant la tempête, mais Charlie lui demanda de ne pas s'inquiéter, qu'ils ne pourraient plus rien faire à partir de maintenant.

Luca décida d'écouter les conseils de son ami, et rapidement une semaine se passa. Max et Carle revinrent à l'école, et étrangement, tout se déroulait comme Charlie l'avait dit. Même quand il se voyait dans les couloirs de l'école, il faisait comme si de rien n'était et traversait tranquillement.

Luca aimait ce sentiment de paix, mais il savait que les bonnes choses ne durent jamais. Un jour, sur le chemin de retour de leur domicile, Charlie annonça à Luca qu'il allait déménager avec sa famille, car les affaires de son père ne marchaient plus très bien.

Luca, étonné, demanda : "En plein milieu du semestre ?" Il répondit d'une voix triste : "Oui, et désolé, mec, je pensais qu'on allait traverser cette épreuve ensemble. Désolé de fuir comme un lâche."

À ces mots, Luca comprit que les familles de Max et Charlie avaient quelque chose à voir avec le départ soudain de son ami, mais il ne dit rien à ce sujet.

"Ne t'inquiète pas, tu as déjà beaucoup fait et tu t'es déjà mis dans une grosse m***e pour m'aider, et aussi pris beaucoup de coups pour moi", dit Charlie tout en souriant. Il s'arrêta un instant, regarda le ciel et dit : "J'espère que un jour je pourrai aussi faire tout autant que toi."

Charlie mit sa main sur l'épaule de Luca et dit : "Ne t'inquiète pas, nous sommes amis, et je sais que tu aurais fait pareil pour moi."

Arrivés à la fin du chemin commun, les deux amis se dirent au revoir et se séparèrent. Luca se retourna pour regarder son ami et, en le regardant, il se dit : "Si seulement je pouvais être aussi courageux que lui.