CHAPITRE 2: L INVITATION

1007 Words
Max, les yeux étincelants de colère, chargea sur Luca avec une force brute. Il le frappa d'un coup de poing v*****t, qui envoya Luca valser contre le mur. Luca, étourdi, tenta de se redresser, mais Max fut trop rapide. Il lui assena un coup de pied dans le ventre, qui le fit se plier en deux. Luca essaya de se défendre, mais Max était trop fort. Il le frappa à nouveau, cette fois-ci avec un coup de coude, qui lui fit perdre l'équilibre. Luca s'effondra sur le sol, haletant, tandis que Max le dominait, les pieds écartés, les poings serrés. Il le fixa avec un regard méprisant, avant de lui donner un coup de pied dans les côtes. Luca cria de douleur, tandis que Max continuait à le frapper, sans pitié. Le combat était inégal, Max était trop fort, trop rapide. Luca était à sa merci, incapable de se défendre. Les coups pleuvaient sur lui, sans arrêt, jusqu'à ce qu'il perde connaissance, laissant Max debout, victorieux, mais toujours en colère. Personne ne put intervenir, ou plutôt ne voulut intervenir. Lucas ne pouvait rien faire que d'écouter les rires et les moqueries des autres avant de perdre connaissance. Heureusement pour Luca, lorsque Charles vit les tensions monter, il courut appeler le surveillant Mr kim , sont arrives mit fin au spectacle, Il convoqua Max dans son bureau et Lucas fut immédiatement amené à l'infirmerie. Après quelques minutes passées dans son bureau, Mr. Kim, Max ne sortit qu avec un avertissement, rien de bien grave. Et il vint voir Luca avec un sourire méprisant et lui dit : "Ça ne fait que commencer."" Le lendemain Luca n'était pas allé à l'école. Il avait pris un congé pour maladie et était terrifié à l'idée d'y retourner. Mais il n'avait pas le choix, il devait revenir un jour ou l'autre. Sa grande sœur Angel sentait que quelque chose n'allait pas avec son petit frère et l'interrogea à ce sujet. Il répondit d'un ton rassurant : "Ne t'inquiète pas, tout va bien." - D'accord, si tu le dis. Elle sortit pour aller travailler et Luca resta à la maison, commençant à réfléchir à comment il allait sortir de cette galère. Mais aucune idée ne lui vint à l'esprit. Pendant qu'il était perdu dans ses pensées, le téléphone commença à sonner. Luca regarda : un numéro inconnu ! Après un instant d'hésitation, il prit l'appel. C'était Max, qui cria à l'autre bout du fil : "Espèce de fils de p*te, tu penses pouvoir nous échapper ? Tu es un homme mort ! Demain, n'imagine même pas pouvoir t'absenter !" Avant même que Luca puisse placer un seul mot, Max avait déjà raccroché. Luca se demanda comment avait-il eu son numéro de téléphone. Tout angoissé, Luca mit les mains sur la tête et se gratta les cheveux. "Qu'est-ce que je vais bien pouvoir faire ?" Après quelques minutes de tension, il se calma et décida d'aller marcher pour prendre l'air. Même dans ce moment de détente, il ne cessait de se demander où cela allait dégénérer. Après avoir marché aussi loin que possible, il n'avait pas d'autre choix que de retourner à la maison et d'aller à l'école le lendemain. Arrivé à l'école, les yeux de tout le monde étaient braqués sur lui, et les sentiments des uns et des autres face à sa situation étaient partagés. Certains ressentaient de la pitié ou de l'empathie pour lui ; d'autres se moquaient de sa situation. Mais une chose était sûre : personne n'allait lever le petit doigt pour l'aider, et il en était bien conscient. Après avoir marché le long du couloir de l'école, il arriva devant sa classe et vit que son bureau était rempli d'ordures. Il s'approcha doucement de son bureau, sous les yeux de ses camarades de classe, et le nettoya. Après un laps de temps, il avait déjà terminé et pris place. Quelques minutes plus tard, son ami Charlie arriva et prit place à côté de lui, demandant : "Comment vas-tu ? J'espère que cette brute ne t'a pas trop fait mal." "Ne t'inquiète pas, je n'en ai pas l'air, mais je suis un dur à cuire", répondit Luca avec un sourire. Charlie répliqua : "Oui, oui, je les ai vus, les résultats de ton combat la dernière fois", et les deux amis se mirent à rire. L'entrée du professeur mit fin à leur discussion, et le cours commença. Après des heures de cours, une sonnerie retentit pour marquer la fin de la journée. Luca se leva et fit signe à Charlie de se réveiller ; il était déjà l'heure de rentrer. Charlie, somnolent, ne put que prendre son sac et commencer à ranger ses affaires. Luca, en regardant son ami, pensa étrangement que cette journée s'était déroulée très calmement. Après que Charlie eut fini de ranger son sac, les deux quittèrent la salle de classe et marchèrent dans le couloir. Ils virent Max et Carle, accompagnés de trois autres personnes, se diriger vers eux. Max se préparait mentalement au pire scénario possible. Chaque pas réduisait la distance qui les séparait ; plus la distance diminuait, plus le cœur de Max se serrait dans sa poitrine, et une vague de terreur montait en lui. Lorsque les deux groupes furent côte à côte, Max s'approcha de Luca et dit : "À partir de demain, à chaque pause, viens nous trouver sur le toit." Après cela, Max et son groupe continuèrent leur chemin. Après quelques minutes de silence, Charlie rompit le silence : "Comment vas-tu gérer cette situation ?" "On ?" demanda Luca. "Oui, bien sûr, tu es mon ami, tu penses vraiment que je vais te laisser maltraité sans rien faire ?" poursuivit Charlie. Et un sourire se dessina sur la bouche de Luca, qui le remercia de sa prévenance, mais le demanda de ne pas s'impliquer. "Pourtant, je n'ai encore aucune solution, mais j'en trouverai une", ajouta Luca. "Okay, si tu le dis, je te fais confiance", répondit Charlie. CV Luca : Plus facile à dire qu'à faire. *CV :voix interieure
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