Élisa
Je le repousse et réplique :
- Mais , moi , je n'ai pas donné mon accord .
- Je ne le dirais pas comme ça , tu es une très mauvaise menteuse .
Ses mains continuent de me caresser les fesses .
- Comment suis-je une mauvaise menteuse ?
- À ta manière de répondre à mon b****r , j'ai l'impression que tu l'attendais depuis des années . Ou c'est moi que tu attendais depuis des années ?
- Tu es trop prétentieux mon cher . Arrête de rêver , je ne couche pas avec des hommes aussi prétentieux .
- Et qui te parle de coucher ? J'ai l'impression que tu ne penses qu'à ça !
Il me rapproche de lui .
- Oublie cette idée .
Je ne couche pas avec les stripteaseuses .
- Non ?
- Non .
Je continue de me frotter à lui , son membre bien dur devient de plus en plus proéminent en dessous de son pantalon .
- Et que fais-tu avec elles ?
Sa main remonte jusqu'à ma poitrine et il la presse fortement en me regardant bien droit dans les yeux :
- Je les b***e .
Je ferme les yeux en l' imaginant en moi , un gémissement m'échappe . J'ouvre les yeux , en sentant une humidité sur mon téton ! À quel moment avait-il enlevé mon soutien ? Je tombe sur son regard moqueur !
- On continue la soirée ailleurs ?
Sa langue me lèche lentement les tétons réduisant mes défenses . Mais , je me rappelle qu'il est blindé de tune . Je veux changer de vie et seul un homme comme lui pourra m'aider à sortir de ce monde de nuit .
Même si je rêve qu'il me prenne là , maintenant , je fais un effort sur moi pour résister .
- Non merci mais je ne couche pas avec un homme le premier soir !
Il me lance un regard soupçonneux :
- Hum ?
- Vous avez bien entendu . Mon heure est terminée . Je vais devoir y aller !
- Tu ne bougeras pas d'ici , tant que je n'aurai pas donné mon accord !
- Ha bon ? Regarde-moi bien : Je m'en vais .
Je tente de me lever , mais , il m'en empêche .
- D'accord , accompagne-moi , nous ne ferons rien que tu ne voudrais .
- Non , je préfère rentrer chez moi . Je suis épuisée .
- J'ai l'impression que tu es dure d'oreille , si tu dois sortir d'ici , ce serait à mon bras .
- Alors tu me déposes chez moi ?
- Si tu veux !
- Ok , allons-y .
- Attends , donne-moi un dernier b****r .
Il se penche lentement vers moi et me prend les lèvres dans un b****r dévastateur . Ses mains étaient plus de deux , car je les sens partout sur mon corps ! Tout mon corps est en feu . Je brûle de l'intérieur . J'ai besoin de pompiers pour éteindre cet incendie en moi !
Je m'attache à lui et je m'arrange , avant de porter une robe sur ma tenue .
- Peux-tu faire un effort pour me soulager un peu ?
Je regarde la direction de son regard et de sa main pour trouver son sexe gigantesque à l'intérieur de son pantalon .
- Non monsieur , je ne peux pas vous aider en aucune façon . Tu vas devoir te soulager d'une autre manière .
Je sais que je joue avec le feu , ce genre d'homme n'aime pas être contredisent . Mais , je sais que c'est pour susciter son intérêt . Il faut qu'il me désir et qu'il veuille être avec moi et aucune autre femme . Si je cède aujourd'hui , il va tirer son coup et il ira voir ailleurs . Je vais bien serrer les cuisses jusqu'à ce qu'il me propose une relation stable .
- Madame... madame , nous sommes arrivés .
J'ouvre les yeux et je vois que nous sommes devant l'établissement de mon fils , il fait la petite section dans cet établissement . Je l'embrasse et je lui souhaite bonne journée .
- Maman t'aime mon chéri , sois sage !
- Comme toujours maman .
- Allé , bonne journée .
- Je t'aime maman .
- Je t'aime plus mon ange
Nous repartons à maison . Je vais dans la chambre pour retrouver mes sœurs , Tina et Sofia . Nous sommes des triplés .
Des triplés identiques . Personne n'a jamais pu nous différencier , pas même nos parents !
C'était très difficile pour eux ! Et on en jouait dessus .
À nos dix-huit ans , nous avons décidé de quitter le domicile familial . Nous sommes parties car j'ai toujours été la meneuse de l'équipe . Elles ne voulaient pas me laisser quitter notre petite ville seule et partir vers l'inconnu dans une grande ville comme Seattle .
Elles m'ont suivi sans gaieté de cœur . Nous étions trop proches pour qu'elle se sépare de moi .
Nous sommes donc partis avec juste des sacoches . Je rêvais d'une vie différente de celle que j'avais . Je ne voulais pas vivre dans une petite ville .
Nous regardons la télé quand nous voyons mon mari se faire tirer en direct .
- Bon Dieu !Il faut que j'aille chercher mon fils . Je vais le chercher et nous allons à Olympia , c'est là où se tenait son discours .
- D'accord on t'attend ici , donne-nous des nouvelles .
- D'accord , je vous tiens informé .
- Je vais récupérer mon fils et nous prenons le deuxième Jet pour aller rejoindre mon mari .
Nous arrivons après moins d'une heure de vol . Nous sommes lourdement gardés . Notre sécurité est pour les gardes ce qu'il y a de plus important .
Je vais directement au commissariat pour voir où en sont les recherches pour retrouver mon mari et surtout savoir s'il est toujours vivant !