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– À présent que me voilà rassuré, reprit-il, expliquez-moi pourquoi vous m’évitiez toujours, car cela me frappe maintenant, et pourquoi surtout vous m’avez querellé aussitôt que vous avez daigné causer avec moi. – Eh ! précisément parce que mon amitié vous était acquise dès les premiers jours… Le vieux notaire du pays disait tant de mal de vous ! et j’enrageais de voir que vous en méritiez bien la moitié ! Berthe n’était timide que devant un piano. En face d’un jeune homme au menton duquel elle touchait par le front, elle avait toute son assurance. Elle parla de la sotte vie que menait M. d’Auberive avec une véhémence pleine de feu, mêlant la réprimande au conseil et la raillerie à la prière. Où cela le conduirait-il de marcher toujours dans la même voie ? la ruine était bien quelque ch