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L’héroïsme du docteur Hallidonhill À monsieur Louis-Henry May Tuer pour guérir ! Adage officiel de BROUSSAIS. L’insolite cause du docteur Hallidonhill va venir prochainement aux assises de Londres. Voici les faits : Le 20 mai dernier, les deux vastes antichambres de l’illustre spécialiste, du curateur quand même de toutes les affections de la poitrine, regorgeaient de clients, comme d’habitude, leurs tickets d’ordre à la main. À l’entrée se tenait, en longue redingote noire, l’essayeur de monnaies : il recevait de chacun les deux guinées de rigueur, les éprouvait, d’un seul coup de marteau, sur une enclume de luxe, criant All right ! automatiquement. Dans le cabinet vitré, – borduré, tout alentour, de grands arbustes des tropiques en leurs vastes pots du Japon, – venait de s’asseoir