Sentence portée contre l’infidélité conjugale« Amour, voici une femme qui, à son mari,A planté des cornes sans songerQu’elle trahissait le lit conjugal,Contre toute loi et contre tout devoir.– Amour, voici un mari qui, à sa femme,N’a pas gardé la foi promise,Car chaque jour il b***e tant qu’il peut ;Il les recherche toutes, à toutes il suit la piste. »Amour entendant la bestiale conduiteDe ces deux délinquants en cas criminel,Vite écrivit la sentence finale :« Égale sera la peine d’un égal délit :À la femme sera brûlée la moniche,Et au mari sera coupé le membre. »