Contre la politique vénitienneIl me semble que la politique ne veut pointQu’une femme qui va de-ci et de-là,Secouant des oiseaux par la ville,Soit pour cela fouettée de la main du Bourreau.Cette femme, en ce monde, est une perle,Qui conserve la société humaine,Et c’est le baume qui faitQue le c*l ne cuit pas tant aux jeunes gars.Elle est celle qui, par toutes les rues,Nous fait respirer l’air de la liberté,Bien mieux que, dans le quartier, armes et soldats ;Et la raison m’en semble fort claire,Parce que, quand un homme a lâché sa décharge,Par Dieu ! il n’a plus envie de faire du tapage.