Sur la mort de deux RuffiansPleurez, Moniches, et vous aussi, cas, pleurez !Viennent de mourir les deux plus grands soutiensQue le dieu d’Amour eût dans son bel empire,Encore bien que ce fussent deux grands viédazes.Adieu divertissements, adieu plaisirs !Maintenant que manquent ces deux bons génies,On ne peut plus compter ni espérerDe foutre des femmes et de bulgariser des garçons,Oh ! oui, cela peut s’appelerUn grand malheur pour les bougressesEt pour ceux qui ont envie d’enfiler !Nous ne savons plus où sont les femmes,Et les femmes ne savent plus où nous trouver ;Pleurez donc, cas, et vous aussi, Moniches, pleurez !