L’auteur recommence à foutreMoniche, éloigne-toi de moi, par charité,Quand même tu serais large comme un four,Car je suis tellement en proie à la luxureQue je ne puis laisser mon cas séquestré.Éloigne-toi de moi ; d’abord, c’est un péché,Il est vrai que je n’en donne pas un fétu,Et puis parce que, si je recommence à t’enfiler,Je cours un grand risque de crever là.Mon mal est fiché en dedans des poumons,Et je suis sûr que si je fous, je meurs ;Il me faut donc veiller sur mes couillons.Moniche, éloigne-toi ; je lâche le taureau ;Moniche !… ah ! je te le mets ; ah ! écarte tes moustaches !Moniche !… tu me fais sauter ; oh ! Dieu ! je jouis !…