L’auteur à son casQue penses-tu faire, mon cher cas ?N’es-tu pas encore soûl de la Moniche ?Je veux bien qu’elle soit une bonne chose,Que chez elle tu te sois éreinté et défait ;Mais depuis tant de temps, sacredieu !Que tu vogues dans cette bougresse de gondoleEt que tu sais combien elle te coïonne,Tu ne veux pas encore te jeter à l’eau ?Je le vois bien, tu ne seras pas satisfaitTant qu’il ne t’arrivera pasD’y laisser dedans ton gland.Moi aussi je serais satisfait de ce pacte,Si je n’avais à endurer d’autre supplice :C’est qu’on te coupera comme on fait une anguille.