Réponse« Compère, c’en est fait de nous, nous sommesMis dedans, vous par amour, moi par force ;Les poussées nous ont réduits à cette gêne,Et nous avons, vous les moqueries, moi les noix.Pour véroles et enjeux nous voilà séquestrés,À tous deux il nous faut de l’argent ;Vous êtes fait en stuc et moi en peinture,Nos infortunes voguent à une seule rame.Les figures nous ont tous deux coïonnés,Les paroli nous ont été d’un bon usage,Sous le nombril ils nous ont ruinés.Mais mon état est pire, il n’y a pas à dire ;Vous, grâce aux fers vous espérez reprendre haleine,Et moi je crains de mourir dans les fers. »