Parallèle entre Platon et l’auteurDe trois choses Platon continuellementRemerciait le Seigneur : la première de toutes,De l’avoir fait un homme, et non une brute,Un Grec, et non un Barbare insolent ;D’être né par heureuse fortune,Au temps de ce Socrate à l’esprit si fin,Qui l’avait si bien instruit dans les sciences,Qu’ensuite il devint un si grand génie.De trois choses aussi je remercie le Ciel,Et lorsqu’en est privé quelqu’un,Fût-il un roi, je ne voudrais être lui :L’une est le don de la souveraine Poésie,La Musique est l’autre, mais la meilleureC’est de toujours avoir envie de la Moniche.