Du pauvre mari “fasciste de la première heure ” on en a perdu les traces depuis longtemps, en étant été transféré d’un asile à un autre, jusqu’à un jour, en janvier 1934, il est arrivé une carte à la maison : pas une lettre, et ainsi les employés postaux du village pouvaient la lire et, en espérant, divulguer, et ce qui c’est en effet vérifié. Avec une telle carte on informait Madame Moretti que le pauvre mari était mort en Sardaigne à l’hôpital à cause d’une pneumonie et demandait si on pouvait l’enterrer dans la région locale ou si la famille voulait aller là pour le transporter au cimetière de leur terre. La femme devait répondre entre 5 jours de la date d’expédition si elle voulait transférer le corps de son mari, dans le cas contraire le silence aura valu comme consentement à l’inhumation sur l’île. Il était déjà passé cinq jours, et sûrement Moretti a été enterré ; la veuve avait donc renoncé à agir, et aussi en considérant les coûts et les difficultés, pour une femme seule et ignorante, de se rendre en Sardaigne, de procéder à l’exhumation et d’envoyer le défunt jusqu’au pays lombardien.
Mussolini, ayant dormit béatement pour toute la nuit, entré vers 7 heures du matin le 15 juin 1933 dans la salle de bains pour les normaux besoins du réveil, en urinant il avait pris une de ses décisions éclaires :
À peine arrivé au bureau, il était 8 heures et 10 minutes, il avait convoqué, dans une heure le ministre de l’éducation Nationale Francesco Ercole et celui de la guerre Pietro Gazzera23 : l’argument qu’il aura présenté interessait aussi les ministères de l’Étranger24 et de l’Intérieur, mais Mussolini en était le chef lui-même, à intérim; il avait fait venir le sous-secrétaire de l’Intérieur Guido Buffarini Guidi qui, de fait, ceux-ci avaient la direction de ce ministère.
Exactement quarante-neuf minutes après, les deux ministres et le sous-secrétaire, traversaient la porte du bureau-salon préalablement ouverte par un valet, donnant sur le bureau et le siège du Chef du gouvernement qui se trouvaient presque dans le fond dans la partie opposée de la pièce, ils sont entrés côte à côte et il s’étaient dirigés à pas de course vers le Duce, toujours côte à côte, selon les récentes dispositions de Mussolini en personne; et le valet refermait derrière eux la porte : officiellement l’ordre de courir avait le but de réduire le temps dédié aux audiences, en laissant le temps au Grand Chef pour les autres taches, mais surtout car Mussolini adorait voir ces messieurs en chemise et veste noire obéir à lui ridiculement: depuis juin 1935 il aura fait sauter stratégiquement toutes les hiérarchies dans les cercles de feu durant le ainsi dit “samedi fasciste” ou, plus précisément, durant l’après-midi du même jour, dédié à la gymnastique et à l’éducation para militaire, un devoir qui devrait regardé tous les italiens. Déjà le fait de parcourir en marchant le long de la salle, avec le Duce se pavanant au fond derrière son bureau présidentiel, bras croisés, menton cabré, les yeux tournés vers les yeux du convoqué, ou en transitant de l’un à l’autre des convoqués quand il y en avait plus d’un comme dans notre cas, mettait en profonde soumission, mais faire à pas de course le salon domptait et rendait dociles quand on se trouvait en face du Duce. Reçus les ordres ensuite, les convoqués devaient saluer ò la manière romaine leur Chef suprême, faire demi-tour et, toujours côte à côte et à pas de courses, hop, hop, sortir de la porte, et dans le même temps rouverte par le portier que Mussolini avait informé en appuyant sur un bouton sur son bureau dès que les convoqués lui avaient tourné les épaules. Il ne désirait pas, au fond, avoir des collaborateurs, hormis le confident Bocchini, mais simplement marionnettes.
Avec peu de paroles il avait donné les ordres aux deux ministres et au sous-secrétaire de constituer à l’université La Sapienza de Rome “en temps record!” un groupe secret de scientifiques et de techniciens, , “nommé, conventionnellement”, il avait ajouté , “Cabinet RS/33, acronyme de Recherches spéciales année 1933 ”: Mussolini, ex professeur des primaires, se montrait d’être un grand expert de la langue italienne et cela ne lui était pas en effet nouveau de créer des sigles ou des expressions; et aussi le très mystérieux acronyme OVRA était le sien.
Le grand chef n’avait pas convoqué avec les autres un quatrième ministre, même si lui aussi important pour le Cabinet, celui de l’Aéronautique général Italo Balbo, et il l’avait invité, seul, pour les 16 heures, il savait en effet que, étant un homme fasciste de la première heure et l’un des quatre chefs à la tête de la Marche de Rome, les soi-disant Quadrunviri de la Révolution, et en étant absolument convaincu de sa propre valeur, Balbo ne s’est jamais présenté humblement et à pas de course, toujours prêt comme il était, où, à critiquer en face du Duce, et peut être aussi en ajoutant quelques insolences. De plus, il jouissait d’énormes faveurs dans le pays en étant en compétition de popularité avec le même Mussolini. Il faisait partie de la minorité dans l’arène politique à lui donner le tu, que le Duce recevait avec embarras : il éprouvait une grande jalousie envers Balbo, même s’il le cachait bien et n’avait jamais rien fait pour l’endommager, mais se réservait à le tenir loin à la première occasion: il aura réussi à la fin du même 1933 en le promouvant au plus haut grade aéronautique, maréchal de l’air, après lui avoir adressé d’autres éloges et, peu de temps après, le 26 novembre, en le faisant nominer par le roi gouverneur de la soi-disant Quarta Sponda, la colonie italienne en Lybie afin de l’exiler.
Ce même soir du 15 juin, après avoir reçu Balbo et lui avoir donné les ordres, le Duce avait chargé la police politique OVRA en la personne de confiance Bocchini de gérer le travail du Cabinet et de lui reporter chaque information en mérite.
En temps record, dans chaque chef-lieu de province il était constitué, secrètement, une “section spéciale RS/33” de l’’OVRA avec le devoir d’informer Bocchini à chaque nouvelles et éventuelles informations de vélivoles inconnus, de quelconque forme, et de s’intéresser immédiatement et directement à plagier les témoins non militaires. Chaque avertissement devait être signalé avec un formulaire crée par Bocchini, siglé RS/33.FZ.4, dont le modèle a été transmis à toutes les préfectures italiennes et, de chacune de celles-ci, à tous les employés des forces de sécurité et aussi aux casernes locales de la Milice ; un analogue modèle, destiné aux officiels de l’aéronautique, a été envoyé par le bureau ministériel de Balbo à tous les commandants avions pour qu’ils le remettent aux employés. Mussolini avait aussi décidé que n’importe quel rapport relatif aux avertissements par des sujets civils devait passer par l’OVRA et depuis cela, trois ont été envoyé à lui personnellement et à Italo Balbo ministre de l’aéronautique et Gian Galeazzo Ciano Directeur entrant du bureau Presse, et aussi au siège central romain du Cabinet RS/33.
Balbo aussi, même s’il n’était pas un grand studieux, a été coopté dans le même Cabinet, pour sa détermination à promouvoir la Régie Aéronautique Militaire, et ayant comme proverbe “Il faut sublimer la passion du vol jusqu’à rendre l’Italie le pays le plus aviateur du monde »Quant aux membres scientifiques, à la tête de de l'RS/33 il a été choisi Guglielmo Marconi. Mais, étant en croisière autour du globe sur son bateau-laboratoire Elettra –le même nom de sa fille–, Mussolini avait décidé que, pour le moment, le Cabinet sera dirigé par l’astronaute et mathématicien professeur Gino Cecchini de l’observatoire de Milan Merate: dans les intentions du Duce, seulement provisoirement, pourtant, compte tenu de l’effacement du premier Nobel dans beaucoup d’autres recherches, Cecchini sera resté définitivement à la tête de l’RS/33. Les autres scientifiques appartenaient aux classes de médecine, sciences naturelles, physique et mathématiques de l’Académie royale d’Italie, sauf le président du conseil supérieur des Travaux publiques et sénateur Luigi Cozza, qui a été embauché dans le Cabinet comme référent de l’organisation et membre de liaison avec le Gouvernement.
Avant tout, il s’agissait de comprendre le fonctionnement de l’aéromobile étranger, pour en pouvoir en construire non seulement des similaires, mais en espérant des meilleurs, en entretenant ainsi l’Italie, “ de manière formidable” selon les paroles du Duce, le premier technicien aviateur qui, en ces années, était reconnu dans le monde entier et, avec cela, la concrète suprématie militaire de l’air et en admiration psychologique de l’Italie par tous les ennemis potentiels. Le programme comportait la concentration des recherches, au plus tôt, dans un centre doté d’installations très modernes, qui a été nommé, tout de suite, Institut central Aéronautique et qui sera créé en dehors de Rome mais non loin du siège universitaire de l’RS/33; il a été vite fait individué un lieu, le champ d’aviation Barbieri à Montecelio, où les installations seront prêtes entre 1933 et l’année 1935 et il y sera construit autour la nouvelle ville de Guidonia.
Chapitre 4
Comme il apparaissait dans le second morceau restauré du film, les nudistes extra-terrestres étaient des individus similaires aux êtres humains à part quelques caractères considérables :
Ils avaient un visage similaire au museau des koalas terrestres mais sans poils, et avec quatre doigts pour chaque main comme celles des squelettes humanoïdes retrouvés et pour cela l’arithmétique de cette espèce intelligente, comme il résultait par les feuilles de calculs et comme il s’est pu vérifier, après le déchiffrage des symboles, grâce aux calculs de la vingt-huitième *et professeur Raimonda Traversi, géniale mathématicienne et statisticienne de l’équipe, c’était sur la base du huit25 : les ancêtres de ces koalas anthropomorphes devaient avoir commencé à faire les comptes, dans le lointain passé, sur leur huit doigts, alors que les êtres humains avaient appris à calculer sur leur dix doigts en créant une arithmétique décimale; l’autre différence importante c’était le porte-bébé sur le ventre des femmes: “Espèce mammifère marsupiale”, avait décrété, avec complète certitude, le docteur Aldo Gorgo, un cinquantaine pas mal et très maigre, médecin chirurgien militaire de bord et biologiste coordinateur du groupe scientifique astro-biologique.
Toutes les découvertes témoignaient qu’au moment de sa disparition, la civilité de la planète 2A Centauri26 s’était trouvée dans la même situation scientifique-technologique de la Terre dans la première moitié du XX siècle; toutefois, à une première donnée approximative des différents produits et des squelettes, il a résulté qu’ils étaient correspondants à la période terrestre entre 1650 et 1750 pour la civilité extra-terrestres, au moment de son extinction, qui avait été faite plus de deux siècles après celle de notre planète: au retour à la maison, les données se serait répétées avec des instruments plus sophistiqués de cet ordinateur portable de l’astronef 2, mais le résultat ne sera sûrement pas si loin.
L’envie des scientifiques était grande pour découvrir la disparition de cette race intelligente. En premier lieu, l’enregistrement sur le disque phonique récupéré pourra donner une réponse, après le nettoyage sonore et un travail d’interprétation, ce n’est pas facile malgré l’aide des robots traducteurs; et il pourront aussi valoir les deux documents en papier retrouvés dans la même salle; mais cette étude et les autres pourront se déroulé seulement après le retour sur la Terre, dans l’Université de La Sapienza de Rome pour le compte de cette mission scientifique faite sur cette lointaine planète et maintenant le moment du rapatriement était arrivé, en étant presque passé la période, correspondante à un maximum de trois mois terrestres depuis le moment du départ, entre lequel il était obligé de rentrer par la loi du Parlement des États Confédérés D’Europe, la loi du Chrono-cosmique.
À la fin du diner le commandant, l’ingénieur Margherita Ferraris, avait communiqué sans préambules aux officiels hors service et aux scientifiques, tous assis avec elle autour de la grande table de la salle du déjeuner et des réunions: “Messieurs, dans peu de temps on retourne à la maison ”: Marguerite était une trente-septième célibataire élancée et approchant le mètre et quatre-vingt-cinq, chevelure noire et avec un visage plein et gracieux: une personne décidée et un officiel absolument brillant; elle s’est diplômée avec le maximum des votes, une douzaine d’années auparavant, en Ingénierie Spatiale au Polytechnique de Turin et, étant été admise par un concours, dans les deux dernières années, même à l’académie Chrono-astronautique Européenne, reliée aux autres polytechniques du continent, elle avait obtenu le grade de lieutenant du Corpsavec le diplôme, entrée en service, elle a été assignée avant comme second officiel à un vaisseau chrono-astronautique qui portait le numéro 9, c’est à dire le neuvième mis en ordre de construction, et ensuite elle est montée au grade de capitaine dans le même vaisseau: elle s’était faite une expérience complète, surtout car le vaisseau 9 a été engagé avant dans les missions spatiales et, dans les dernières années, en voyages dans le passé de la Terre; récemment Marguerite a été promue majeure et avait eu les commandes du nouveau vaisseau 22.