LE LENDEMAIN...
Mon oncle a passé la nuit chez nous. Donc il est déjà prêt et venu me voir dans ma chambre. Je m'habillais quand il est entré.
– Bonjour mon garçon comment vas-tu ? J'espère que tu t'apprêtes déjà ? Parce moi je suis déjà prêt.
– Bonjour mon oncle, oui je suis presque au top. Je veux vous poser une question que j'avais oublié.
– Une question dis-tu ? Et ça peut pas attendre ?
– Mon oncle vous aussi, c'est pas quelque chose de compliqué. Je voulais juste vous demander si il y a des gens dans votre maison qui est à Lagos. La maison dans laquelle je vais rester là-bas.
– Non personne, c'est une maison dans laquelle, j'accueille les invités à Lagos. Mais j'ai déjà demandé à ce qu'on me trouve deux femmes de ménages et un gardien en plus. Comme tu vas résider là-bas.
– Deux femmes de ménages, Pourquoi ?
– Arrête de me poser ces questions Insignifiante. Sais-tu pas que tu veux travailler là-bas ? Ou bien tu peux t'occuper de la maison toi seul et tout le reste ?
– Non mon oncle j'ai compris.
– Mon fiston tu as quoi avec les femmes ? Sinon il suffit qu'on te dit que tu vas être en compagnie d'une fille ou femme et tu commences par raconter des choses insensées. J'irai t'attendre au salon et n'oublie pas de descendre avec tes affaires.
Mon oncle est parti m'attendre au salon. Il me faisait trop rire si il commence par me remettre à l'ordre. Parce qu'il n'aimait pas mes façons de voir les choses.
J'étais enfin au salon avec mes affaires. Ma mère, mon père ainsi que ma grande soeur, mes frère et soeur étaient présents. Nous sortîmes de la maison mon oncle et moi et une fois à l'extérieur, nous montâmes dans la voiture et prîmes la route.
Ma grande soeur ne voulais pas du tout que je les quitte, mais j'avais pas le choix. Parce que j'étais vraiment pressé de voir ma Grâcia.
À LAGOS...
Après quelques heures, nous sommes enfin à Lagos, la maison de mon oncle est vraiment cool. Une grande maison à étage, nous avons fait notre entrée dans la maison. Une fois à l'intérieur, mon oncle m'a conduit dans ma chambre et j'ai déposé mes affaires.
Mon oncle m'a demandé si j'ai kiffé la maison et je lui ai dit oui. Sans plus tarder, il m'a dit de le suivre pour qu'on aille faire la connaissance des femmes de ménages.
Nous sommes parti faire la connaissance des femmes de ménage. Elles sont rien que des belles filles, mais pas belle plus que ma Grâcia. Mon oncle commence par me taquiner, comme il a vu que je partagerai la maison en compagnie des belles et jeunes femmes de ménages. Mais ce qu'il ignore, est que j'avais pas mes idées là. Mon oncle m'a amené dans la ville, et m'avait montré certains endroits. C'était vraiment cool.
Le lendemain, nous étions parti dans l'entreprise, et déjà mon oncle m'a montré mon bureau. Je serai le DGA dans l'entreprise. J'ignorais la raison pour laquelle, il a décidé ainsi. Il a décidé de me montrer un peu la vlle de Lagos, avant de me quitter pour l'Amérique.
Quelques jours après, j'ai commencé le boulot et mon oncle est déjà parti en Amérique. Je cherchais toujours Grâcia, même étant dans la voiture, je n'arrêtais pas de regarder à travers les vitres des portières de la voiture.
Les jours passèrent et toujours, malgré mes sorties les week-end, pour faire des promenades et autres dans le but de rencontrer Grâcia rien comme signe. Les deux femmes de ménages, prenaient bien soins de moi et de la maison. Elles me poussèrent même à discuter avec elles. Mais mon seul souci est de trouver Grâcia ou sa mère.
Il fut un jour, j'ai décidé d'aller dans le supermarché pour acheter certaines choses moi même. J'avais acheté ce que je voulais et toujours mes yeux dans tous les sens pour voir si je pouvais trouver Grâcia. J'étais enfin à la caisse et je ne savais pas comment je vais d'écrire ce qui m'est arrivé. J'avais fait face à la caissière et on dirait que je connaissais cette dernière.
Elle me regardait d'une manière que je ne savais comment dire. Elle a fini de mettre les choses dans le sac et on dirait que j'avais ma tête dans les nuages. Car c'était la voix de la caissière qui m'a fait descendre sur terre.
– « Monsieur quelque chose ne va pas?» me demandait-elle.
Je ne comprenais pas ce qui m'arrivait. J'avais pris le sac chez la caissière, sans rien dire. J'étais enfin au dehors,devant le supermarché. J'avais commencé par réfléchir parce que ce que j'avais ressenti lorsque j'ai posé mes yeux sur cette caissière, était Inexplicable. On dirait que cette caissière avait redonnée une autre
force au feu qui s'éteint à l'intérieur de moi. J'étais monté dans ma voiture, pour rentrer chez moi.
À la maison, Denise et Cynthia, les deux femmes de ménages sont au salon et regardaient la télé. Quand elle m'ont vue entrer dans le salon, elles voulaient prendre le sac que j'ai en main et je les ai dit de laisser.
Toujours ma tête plongée dans les pensées, je suis monté dans ma chambre. Une fois dans ma chambre,j'ai déposé l'achat que j'ai fait sur ma table de nuit et décide de m'allonger un peu dans mon lit. J'étais dans mon lit quand le sommeil est venu me prendre.
DÉNISE ET CYNTHIA ( LES FEMMES DE MÉNAGE AU SALON)
– Dénise , Que penses-tu de monsieur Nick ?
– Cynthia que veux-tu dire par là ? Parce que je ne comprends pas trop ta question.
– Toi aussi t'es une grande fille et non une gamine. Ma question est bien claire. Ce que je te demande est la suivante : Comment tu trouves monsieur Nick ? Il te plaît ?
– Ma chérie tu sais très bien que monsieur Nick est un homme simple, compréhensif cool , élégant et beau. Tu sais très bien que je suis tombé sous son charme depuis le jour que j'ai posé mes yeux sur lui. Ce qui me fait mal est que malgré qu'il n'a pas une petite amie, et que je fais tout pour qu'il me voit, j'ai l'impression qu'il ne me remarque même pas. Je veux bien qu'il devient mon mec.
– Donc tu veux me dire que toi aussi tu es amoureux de lui?
– Bien sûre que oui, pourquoi tu as changée de mine? Ne me dis pas que tu le veux aussi hein.
– Il me plaît bien et ma seule prière est qu'il me demande juste une nuit. Je veux qu'il soit à moi, rien qu'à moi.
– Cynthia tu es vraiment mauvaise, tu as mis ton mec où ? La seule personne qui peut dire ces genres de choses c'est bien moi. Parce que j'ai pas un homme dans ma vie, mais toi oui.
– Tu parles de quel homme au juste ? Cet imbécile qui n'arrête pas de courir d'après les femmes ? Ce coureur de jupon? Arrête avec ce que tu chantes là parce que le seul homme qui fait battre mon coeur en ce moment est monsieur Nick.
– Dans tes rêves Cynthia.
– Ma chère tu te fatigues pour rien tu me connais très bien. Nick est déjà à moi.
– Bonne soirée à toi madame, mais sache que je vais pas te laisser me piquer monsieur Nick. Parce que tu as déjà un homme dans ta vie.
RÉSIDENCE DE LA CAISSIÈRE QUE J'AI VU AU SUPERMARCHÉ
La caissière est venue à la maison avec les larmes qui jaillissaient de ses yeux. Sa mère et son père étaient dans le salon, une fois au salon, elle les avait salué et entre dans sa chambre. Sa mère commençait par l'appeler parce qu'elle a remarqué que sa fille a un souci. Mais elle n'était pas sorti de sa chambre, sa mère décide d'aller la voir dans sa chambre. Elle frappe à la porte et sans tarder elle entre. Sa fille était allongée dans le lit et pleurait à chaude larmes.
– Ma chérie qu'est-ce que tu as? Pourquoi pleures-tu ?
Elle ne répondait pas et sa mère a continué à lui demander ce qui ne va pas avec elle.
– Grâcia tu as quoi au juste ? Tu as eu un problème au boulot ?
– Non maman j'ai rien, et il n'y a pas un problème au boulot. Maman c'est rien de grave.
– Mais pourquoi tu pleures alors ? Parles moi ma chérie.
– Maman j'ai vu Nick aujourd'hui.
– QUOI? Tu as vue qui? Nick? Où ?
– Il est venu acheter dans le supermarché aujourd'hui.
– C'est pas vrai, comment tu as su que c'est lui ?
– Maman je peux reconnaître Nick parmi une multitude de personne. Et aussi j'ai vu son nom sur sa carte bancaire. Maman il ne m'a pas reconnu, C'est vrai qu'on dirait qu'il a senti quelque chose. Mais il ne m'a pas reconnu maman.
Grâcia s'est fondue en larme, elle dépose sa tête sur la poitrine de sa mère en pleurant.
– Ma fille, s'il te plaît, arrête avec ça. Toi même tu sais bien que c'est pas de sa faute s'il ne te reconnaît pas. Avec l'opération que tu as subi à cause de cet accident, ton visage n'est plus trop comme avant. Ma chérie, ne pense plus à ces choses. Oublie ce garçon, refais ta vie. Il y a beaucoup d'homme qui courent après toi, alors s'il te plaît ma fille. Dieu merci qu'il t'a pas reconnu.
– Maman vous savez très bien que je ne peux pas vivre dans ce monde sans mon Nick. Il est tout pour moi maman, je ne peux pas faire comme si de rien n'était.
– Grâcia, arrête de raconter des sottises, tu as quel problème au juste ? Tu sais très bien que c'est la mère de cet garçon qui a demandé à ce qu'on fasse savoir à tout le monde que t'es décédé. Tout ça juste parce qu'elle veut que son garçon voyage pour L'Amérique. Si nous avions refusé tu seras plus de ce monde. Parce que c'est elle qui a payé tous les frais de ton opération. Alors je ne veux pas avoir de problème à nouveau avec cette femme. J'espère que tu me comprends bien ? Va prendre ta douche pour que nous allons passer à table.
Grâcia n'avait pas pu dire quelque chose avant que sa mère l'a faussée compagnie. Elle s'est replongé en larme.
Le Lendemain matin, je me suis réveillé de mon sommeil en transpirant. Parce que j'ai fait un rêve, dans le rêve, j'ai vu Grâcia qui pleurait à chaude larmes et je la consolais mais elle n'arrêtait pas de pleurer. J'étais obligé d'aller prendre une chaise pour m'asseoir à côté d'elle. Mais lorsque j'étais venu avec la chaise, j'avais remarqué que la personne qui était en face de moi, n'était pas Grâcia. Mais la caissière que j'ai rencontré au supermarché.
J'étais complètement déboussolé, j'ai décidé de prendre ma douche pour me rendre au boulot. J'étais prêt et une fois au salon avec mon sac dans la main, les femmes de ménage commencèrent avec leurs affaires de petit déjeuner. Mais je les ai juste salué et pris la direction de la porte du sortie. Je suis monté dans ma voiture et prends la route pour me rendre au boulot.
Une fois au boulot, c'était pas du tout la joie pour moi. La seule chose qui me passait à l'esprit était de revoir la caissière. Je me suis dis que peut-être, elle connaisse Grâcia. Parce que le rêve que j'ai fait... J'étais sorti du boulot et j'avais décidé de faire un tour au supermarché.
Je suis devant le supermarché, mais je me demandais, ce que j'allais acheter. Parce que j'ai presque tout à la maison et aussi j'ai pas besoin de quelque. J'ai réfléchi pendant un moment et décide d'acheter de biscuits à ces deux femmes qui partagent la maison dans laquelle je suis avec moi. Cynthia et Denise sont des filles vraiment sympa, même si des fois elle se comportent bizarrement. Alors j'ai décidé de prendre de biscuits pour elles. Je descendis de ma voiture après l'avoir garée et entré à l'intérieur de supermarché. J'avais passé par là où se trouvais la caissière pour voir si c'était la même caissière que j'avais vu. Parce que des fois, c'est quelque chose à tour de rôle.
Mais heureusement pour moi, c'était la même caissière, je l'avais dépassé pour aller prendre ce que je voulais.
Je regardais les biscuits parce qu'il avait beaucoup et différentes qualités. Je me
demandais ce que j'allais prendre quand, j'entendis une voix derrière qui dit : « CHOISISSEZ LE BISCUITS SUR LEQUEL C'EST ECRIT “MY LOVE”»
J'ai tourné ma tête pour voir la personne et c'était la caissière. Je ne comprenais plus, rien. Ce que m'avait poussé à vite tourner ma tête pour voir la personne qui me parlait, est que c'est la voix de Grâcia que j'avais entendu.
Mais j'étais surpris de voir que c'était pas elle,mais la caissière. Comme j'avais mal agit la première fois et pour ne pas me montrer bizarre. Je souris et lui demande la raison pour laquelle, elle veut que je prenne le biscuits “MY LOVE”.
– Ah bon? Madame pourquoi vous me conseillez ça ? Il y a quoi de particulier dans ça ? Oh excusez moi, bonsoir la salutation avant tout.
– Bonsor monsieur, excusez moi d'avoir mise ma bouche dans ce qui ne me regarde pas. Mais c'est juste que j'aime bien cet biscuits et c'est bien chocolaté. C'est aussi bon de choisir ça, si c'est que vous voulez donner ça à quelqu'un, à cause de ce qui est écrit sur ça. “MY LOVE”
– Oh je vois “MY LOVE”, Ce qui signife en français “MON AMOUR”. C'est bien ça, alors vous êtes romantique de la sorte ?
–Bon, on peut dire ça, comme ça, mais je ne suis pas trop romantique que ça.
– D'accord, merci beaucoup je vais prendre ça, alors. Et comme c'est pour donner ça, à mes soeurs, je vais commencer par vous. Alors prenez.
– Oh non!!! Monsieur, c'est gentil. Mais merci beaucoup, ne vous dérangez pas.
– Comment ça ? C'est quoi le dérangement en ça ? S'il vous plaît ne me refusez pas ça. Oh je vois, allons-y à la caisse pour que je puisse payer. Et là vous allez prendre le votre.
– Monsieur, s'il vous plaît.
– S'il vous plaît mon nom c'est Nick JOHNSON, et j'aime pas trop qu'on me vouvoie. Alors si tu veux pas m'appeler par mon nom, alors faut me tutoyer. Si je vais pas trop demander, possible de connaître le nom de la déesse qui est en face de moi?
– Oh moi déesse? Je suis vraiment flattée, je ne suis pas sûre d'être une déesse. Mais merci quand même pour le compliments. Mon nom c'est GRÂCE.
– Grâce ?
–OUI, oui y a-t-il un problème ?
– Non il n'y a rien du tout, c'est juste que j'ai compris quelque chose.
– Ah bon? Quoi ?
– J'ai réalisé que celles qui portent les prénoms GRÂCIA et GRÂCE ont presque les même caractéristiques.
– Vous êtes sérieux là ? Et comment ?
– Vous parlez de le même façon que ma petite amie. Elle s'appelle Grâcia. Vous avez sa voix, sa démarche, presque tout d'elle.
– Oh d'accord !!! Et je vois que vous l'aimez vraiment. Parce que j'ai remarqué ça lorsque vous avez commencé par parler d'elle. J'aimerai bien faire la connaissance de cette Grâcia.
Je voulais prendre la parole quand l'un des collègues de Grâce a fait signe à Grâce et cette dernière décide de me fausser compagnie.
– Monsieur Nick, je vais te fausser compagnie. Le travail m'appelle.
– D'accord et merci beaucoup pour l'importance que vous m'avez taillé. Vous allez fermer à quel heure ?
– On ferme à 23h, mais moi, je vais rentrer chez moi déjà à 20h. Bon bonne soirée monsieur Nick et je suis vraiment contente de faire votre connaissance. À plus...
– OK mais Grâcia tu as oublié quelque chose.
– Ah bon? Quoi ? Oh je vois c'est mieux que vous amenez ça à la caisse. Merci beaucoup monsieur c'est gentil. Mais n'oubliez pas mon prénom c'est Grâce et non Grâcia. Je vois que votre petite amie vous a ensorcelée. Excusez moi c'est juste pour blaguer.
– Ne t'inquiète pas, je comprends.
J'ai suivi la caissière, et une fois à la caisse, j'ai payer et lui donne son biscuit. Elle est vraiment contente.
À l'extérieur du supermarché, j'ai consulté l'écran de mon phone et il sonnait 19h 35 min. Je ne savais pas ce qui m'a pris et j'ai décidé d'attendre la caissière. Je suis monté dans ma voiture et attendais sa sortie du supermarché. Comme elle m'avait dit qu'elle va rentrer chez alle à 20h. J'étais dans ma voiture quand je vis cette dernière sortit du supermarché. J'avais démarré ma voiture.
Elle avait son sac dans les mains, commençait par chercher de taxi moto quand je suis venu garer ma voiture devant elle. Elle voulait se déplacer, et j'avais commencé par Klaxonner.
Elle s'est arrêté et décide de venir vers moi.
J'ai rabaissé les vitres de la portière de ma voiture et elle était surprise de voir que c'était moi.
– Bonsoir à nouveau Grâce, tu rentres déjà ?
– Oui monsieur Nick, mais je ne comprends pas vous êtes dans le quartier c'est ça ? Sinon je ne pensais pas vous voir encore à cette heure ici. Ou bien vous êtes venu payer encore autres choses ?
– Non non, et aussi je ne suis pas dans le quartier. Pour dire la vérité je t'attendais.
– Vous m'attendez ? Comment ça ?
– J'ignore même la raison, mais c'est pas grave. Je peux te déposer ?
– Non monsieur Nick, s'il vous plaît, je vais prendre de taxi moto et surtout n'insistez pas. Vous oubliez que votre Grâcia sera pas d'accord de me voir avec vous ? Je ne veux pas vous créer de problème.
– Je te comprends, et effectivement tu as raison. Ma Grâcia est vraiment une femme très jalouse. Mais malheureusement pour moi elle n'est plus de ce monde. Alors ne t'inquiète pas et saches aussi que j'ai pas une autre idée derrière la tête.
– Monsieur Nick, mais vous m'avez dit que.
– OUI je t'ai dit que j'ai une petite amie, mais c'est une longue histoire. S'il te plaît monte pour que je te dépose, en te voyant c'est comme si je suis avec elle. C'est pour ça que...
– Je suis vraiment désolée monsieur Nick.
– Ne t'inquiète pas, monte et arrête de me vouvoyer.
– D'accord mais , je veux bien que tu me parles un peu de ta petite amie.
– D'accord je ferai l'effort de te parler d'elle.
Grâce est monté et je démarre la voiture.
À suivre...
RICHY PLUME-RAM