Je descendais donc les escaliers, ne me retournant point. Pour moi, Linda avait certainement dû avoir trop fumée et en aucun cas ne devait être prise au sérieux. Je filais donc retrouver ma mère dans nos loges, remarquant que cette dernière avait déjà les yeux fermés. La fatigue avait finalement réussit à l'envoûter. Alors, marchant comme une voleuse, sur la pointe des pieds pour ne pas la sortir de ses rêves, je me rendis dans ma chambre pour poser mon sac à linge avant d'aller vers la salle de bains. Devant la glace, je retirais lentement mes vêtements, repensant aux yeux de Franck que j'avais plus tôt croisé. Un sourire m'enveloppa le visage, lorsque ma voix intérieure contait combien j'étais heureuse d'avoir sentie le corps de cet homme, lisser la peau de mes lèvres. Aussi, il av