Plus tard dans la soirée, j'allais retirer mon linge de la machine, à la buanderie. Innocemment, je chantonnais t'elle une petite fille dans les couloirs, ne sachant pas que ce chemin menait vers un volcan. Une joie incomplète m'accompagnait et me tenait par la main. Et alors que j'étais en train de anodinement jeter mes affaires dans mon sac à linge, j'entendis une voix. Cette même voix qui avait l'habitude de souffler à mon oreille, des mots que je n'entendais nulle part ailleurs. Cette même voix qui faisait toujours trembler ma peau. Cette même voix qui me donnait la chair de poule et me réanimait après m'avoir assommée. Je me retournais donc à l'appel de cette voix, pour tomber sur les yeux couleurs océans de Franck. Il se tenait à la porte et y avait passé quelques secondes, à