OCTAVIAJe sais ce qui va t’arriver. TULLIAJe me tourne comme il voulait, sachant que c’était une loi pour moi et qu’en favorisant sa volupté je trouverais la mienne. Lorsqu’il aperçoit mes fesses, dont la blancheur aurait obscurci l’ivoire de la neige : « Oh ! que vous êtes belle ! » s’écrie-t-il. Sur ses instructions, j’incline la tête et la poitrine, et je me hausse sur les genoux. « Quelle voie prends-tu ? demande Aloisio. – La même que toi, répond Fabrizio ; après, nous verrons. » OCTAVIAC’était une menace. TULLIAIl alla par où il devait aller, tenant un sein de chaque main ; bientôt je ressentis d’indicibles délices, et peu s’en fallut que je ne me pâmasse de volupté. Dans ce seul assaut, j’avais perdu plus de forces que dans les trois précédents. Ainsi se passa la chose ; tel fut