Félix était en train de réussir ses études, après avoir surmonté les obstacles posés par Mme Dupont. Mais il ne s'attendait pas à la nouvelle menace qui allait émerger : Conrad, un de ses camarades de classe.
Conrad était un étudiant populaire et influent. Il était issue d’une famille assez influente et aisée sur le plan matériel. Il avait également la réputation d’être très généreux envers ses laudateurs et flagorneurs, qui cherchaient toujours à trainer avec lui pour bénéficier de sa générosité. Mais il était également jaloux de la réussite de Félix. Il ne pouvait pas supporter l'idée que quelqu'un d'autre puisse être plus brillant que lui. Conrad commença à répandre des rumeurs sur Félix, disant qu'il trichait pour obtenir de bonnes notes. Il fit également en sorte que les autres étudiants se retournent contre Félix.
Félix fut pris au dépourvu par ces attaques. Il ne comprenait pas pourquoi Conrad se comportait ainsi. Il essaya de l'ignorer, mais les actes d'hostilité de Conrad se multiplièrent. Un jour, Félix trouva son ordinateur portable vandalisé dans la salle d'étude. Ses notes et ses documents importants avaient été effacés. Il fut complètement dévasté et désespéré. Il savait que Conrad était derrière cela, mais il n’avait aucune preuve contre lui.
Ses résultats scolaires commencèrent à en pâtir. Il avait du mal à se concentrer en classe et ses notes chutaient.
Thomas, son ami, s'inquiéta de la situation. "Félix, qu'est-ce qui se passe ? Tu n'es plus toi-même." Félix lui expliqua la situation avec Conrad. Thomas lui conseilla de parler au professeur ou au doyen, mais Félix hésitait. Il ne voulait pas que Conrad s'en prenne encore plus à lui. Il connaissait sa capacité de nuisance, et voulait éviter au maximum d’aggraver la situation.
Et puis, un jour, Félix reçut un appel anonyme : "Arrête de te laisser faire. Fais quelque chose contre Conrad." Comme avec Mme Dubois, Félix se demanda qui avait envoyé ce message, dans quel but, et ce qu'il devait faire devant cette situation.
Il décida de parler à Thomas à nouveau. "Thomas, j'ai reçu un message anonyme. Qu'est-ce que je devrais faire ?" Thomas lui conseilla de prendre des mesures. "Félix, tu ne peux pas laisser Conrad te détruire. Tu dois te défendre." Félix réfléchit au conseil de Thomas. Il savait que Thomas avait raison, mais il avait peur des conséquences.
Il décida de parler au professeur de classe, M. Lefèvre. "Monsieur, j'ai des problèmes avec Conrad. Il me harcèle et je ne sais pas quoi faire." M. Lefèvre écouta attentivement et promit de prendre des mesures. "Félix, je vais parler à Conrad et à ses parents. Nous allons régler cela."
Mais Conrad ne s'avouait pas vaincu. Il commença à répandre des rumeurs encore plus horribles sur Félix, disant qu'il était menteur et qu'il était atteint d’une maladie sexuellement transmissible, maladie qu’il cherchait à contaminer au maximum de personnes.
Félix fut dévasté par ces accusations sordides et méchantes de la part de son camarade de classe. Il se sentait isolé et seul. Les autres étudiants commencèrent à douter de Félix. Ils se demandaient si les rumeurs étaient vraies.
Un jour, il vit Conrad dans le couloir. Ce dernier lui jeta un regard méprisant, accompagné d’un demi-sourire narquois. Félix le regarda dans les yeux ; il voulut se dérober, mais Félix lui saisit le bras "Conrad, arrête cela. Tu vas trop loin." Conrad sourit. "Je vais continuer jusqu'à ce que tu sois détruit, Félix." Félix réalisa que Conrad était plus dangereux qu'il ne l'avait pensé. Il décida de prendre des mesures radicales.
Félix décida de rassembler des preuves pour démontrer la vérité sur Conrad. Il commença à enregistrer les conversations avec Conrad, à collecter des témoignages d'autres étudiants qui avaient été victimes de son harcèlement et à documenter les actes de vandalisme. Il découvrit également que Conrad avait un passé trouble. Il a perpétré des incidents similaires par le passé. Félix réalisa que Conrad avait une tendance à harceler les personnes qui représentaient pour lui une menace. Il s’est rendu à plusieurs reprises coupable de t**************e dans l’établissement, mais certains camarades de classe et enseignants corrompus ont passé l’affaire sous silence.
Avec ces preuves, Félix décida de créer un dossier et de le présenter au doyen de l'université. Il voulait que Conrad soit tenu responsable de ses actes.
Mais juste au moment où Félix allait présenter le dossier, il reçut un appel téléphonique de Conrad. "Félix, tu ne vas pas gagner. J'ai des amis puissants qui vont me protéger." Félix fut pris au dépourvu. Il se demanda qui étaient ces amis puissants et ce qu'ils pouvaient faire.
Félix décida de chercher l'aide d'un journaliste pour dénoncer Conrad et ses agissements. Il contacta un journaliste d'investigation local, M. Dumont, qui était connu pour ses enquêtes sur les affaires de harcèlement. M. Dumont fut choqué par les révélations de Félix et décida de mener une enquête approfondie. Il interviewa plusieurs étudiants qui avaient été victimes de Conrad et collecta des preuves de ses actes.
Le journaliste publia un article explosif sur Conrad, dénonçant ses agissements et révélant son passé trouble. L'article fit scandale et provoqua une vague d'indignation dans la communauté universitaire. Le doyen de l'université fut contraint de prendre des mesures. Il convoqua Conrad et ses parents pour une réunion disciplinaire. Conrad fut exclu de l'université pour une période de deux ans, et ses parents furent tenus responsables de ses actes.
Félix fut soulagé et heureux. Il avait enfin trouvé justice et avait pu dénoncer Conrad pour ses agissements. M. Dumont lui dit : "Félix, vous avez fait preuve de courage et de détermination. Vous avez changé les choses." Félix sourit. "Je suis juste heureux que cela soit fini. Je peux maintenant me concentrer sur mes études."
Thomas et les autres étudiants vinrent féliciter Félix pour son courage. Ils lui dirent qu'ils étaient fiers de lui. Félix lut également l’article paru dans le journal, avec sourire et satisfaction. Il pensait être venu à bout d’un adversaire gênant. Mais ce fût loin d’être le cas.