Près de la maison de Julia.
Octoc : ENCORE, VENEZ MAINTENANT À L'ENTREPT DE LA VILLE UNIVERSITAIRE !!
Griffon : (avec des griffes creusant les côtes d'un voyou) ouais... je ne pense pas que tu le savais vraiment, mais merci quand même pour ta coopération... (rétractant les griffes)
Bandit : AAAAHHHH ! (tombé par terre en saignant)
Lavinhu dans l'entrepôt a échangé des coups de feu avec les bandits et en a tué deux autres, quand plusieurs voitures sont arrivées avec plus de bandits, à ce moment-là une véritable armée de motos est arrivée, plus de 100, toutes avec le cousin de Lavinhu, ils sont arrivés en tirant sur les bandits et les ont tués tous.
Cousin de Lavinhu : Hé mec, comment vas-tu ?
Lavinhu : Ok maintenant, merci cousin.
Cousin de Lavinhu : Ne t'inquiète pas, n'hésite même pas avant de m'appeler la prochaine fois, personne ne b***e avec mon cousin.
Lavinhu : Merci !
Renata : Merci.
Cousin de Lavinhu : Qui est-ce ?
Lavinhu : Longue histoire...
Soudain, trois cyborgs sont arrivés, sautant, tous avec des pièces métalliques, mais sans bras laser, ils ont commencé à tuer les amis du cousin de Lavinhu, tous en tirant mais cela semblait n'avoir aucun effet.
Lavinhu : MAIS QU'EST-CE QUE C'EST UN p****n D'ENFANT ? DAMN PRIMO, ALLONS-Y, IL NE POURRA PAS VAINCRE CES IDIOTS.
Cousin de Lavinhu : OK LES GARS RETRAIT, ALLONS RAPIDEMENT. (tous en marche)
Lorsque Lavinhu, son cousin et Renata arrivaient sur la moto, un quatrième cyborg est venu et a sauté devant eux.
Lavinhu : Putain...
Cyborg : (souriant) Veux-tu me supplier de ne pas te tuer ?
Lavinhu : ALLEZ RÊVER DE VOUS BREAKER.
Le cousin de Lavinhu a essayé de pointer le pistolet sur la tête du cyborg, mais le cyborg a attrapé sa main et l'a tordu jusqu'à ce qu'il laisse tomber le pistolet.
Cyborg : (agrippant le poignet du cousin de Lavinhu) Alors, derniers mots ?
Griffon : Et si tu vas te faire foutre, es-tu sur mon chemin ??
Griffon a donné un coup de pied au bras du cyborg, lui faisant lâcher la main du cousin de Lavinhu, puis lui a donné un coup de pied dans le ventre, lui a donné un coup de pied dans la jambe, le déséquilibrant et a poussé son visage au sol le faisant tomber, puis l'a rattrapé par la jambe, tournée et jetée.
Lavinhu : Après tout ce qui s'est passé ces derniers jours, j'ai pensé que je ne dirais pas ça, mais SUPER DE VOUS VOIR GRIFFON.
Griffon : Hahahaha.
Renata : GRIFFON... (effrayée)
Lavinhu : C'est bon, il est avec nous, il est bon.
Renata : MAIS...
Griffon : Alors tu lui expliques, va-t'en, je m'occupe des autres connards...
Lavinhu : Ok, attention mon frère.
Griffon : Merci, Vinhu rouge... (souriant)
Lavinhu : Hahaha, s****d.
Cyborg : Griffon, Griffon...
Griffon : Vous êtes comme le cyborg dans le bâtiment de la faction à première vue, des gars avec des implants robotiques, ce qui signifie beaucoup de parties humaines à couper... sauf que vous ne lâchez pas de lasers comme lui...
Cigorgue : Héhé, tu penses vraiment que ça va être aussi facile ?
Griffon : Bien sûr que non, loin de moi, après tout c'est du 3 x 1 non ?
Cyborg 2 : Qui a dit 3 ??
Griffon : ... (levant les yeux)
Le cyborg que Griffon avait jeté est revenu en sautant sur le Griffon, Griffon a esquivé et le cyborg a posé un poing sur le sol, puis a balancé son bras pour frapper les jambes de Griffon, mais les griffes ont bondi pour esquiver, lui ont donné un coup de pied au visage et a esquivé un autre cyborg qui allait le frapper au visage, a attrapé le bras du cyborg et lui a enfoncé des griffes dans le coude, puis lui a donné un coup de pied dans le ventre qui l'a fait voler.
Griffon : Ok ok simplifions les choses, pourquoi ne me dites-vous pas vos noms ou surnoms ? Comme ça on aura de quoi mettre sur les pierres tombales... C'est si triste d'être enterré comme un pauvre...
Cyborg : Hahaha, espèce d'enfoiré, mais tu peux nous appeler des numéros, nous sommes les quatre premiers, je suis le numéro un, il a deux, c'est trois et l'autre est quatre. Ce que vous avez vaincu au quartier général de la faction était le numéro cinq, chacun de nous a le numéro tatoué sur son bras droit.
Griffon : Et qu'est-ce que ça veut dire exactement ?
Numéro 1 : Cela signifie que nous avons fondé la faction d'origine et que nous sommes 13...
Griffon : Les 13 fondateurs, ça explique le nom de la faction... Mais je pensais que Charles était le chef de la faction.
Numéro 1 : Charles ne s'occupe que de la branche de la faction ici en Géorgie, il était censé montrer les idéaux de la faction et apporter plus de compagnons, mais à la place, il a décidé d'établir un mini royaume de la corruption, dont il est le roi.
Griffon : Intéressant... Et quels sont les idéaux de la faction de toute façon ?
Numéro 2 : (enlevant les griffes du bras) la vraie faction dont nous faisons partie a la liberté sociale comme idéal, nous n'avons pas besoin de gouvernements, nous voulons y mettre fin, les gens n'ont pas besoin d'un collier sur eux, nous nous possédons, nous ne prenons pas d'ordres, nous sommes des anarchistes. Cette faction pleine de criminels et de corrompus qui s'est établie ici en Géorgie est celle de Charles, qui ne cherche que le profit, pas la liberté. Nous l'avons appris de notre idéalisateur, une personne qui nous a tout appris et qui était si fidèle aux idées qu'elle n'a pas voulu fonder la faction et nous a laissé le soin de la fonder.
Griffon : Je vois... Je veux dire, je n'ai juste pas compris deux choses, parce que tu es venu ici sous les ordres de Charles et comment êtes-vous devenus des cyborgs ?
Numéro 3 : Et qui a dit que nous étions venus ici à cause de l'ordre de Charles ? Nous sommes venus parce que nous avons entendu parler de vous et nous savions que si nous avions cette femme, elle nous conduirait à vous... Quant au numéro 5... eh bien, il a été corrompu par l'argent de Charles.
Griffon : Allez, laisse-moi comprendre. Vous et 9 autres représentez la faction 13, 13 d'entre vous qui ont maintenant 12 ans, parce que la cinquième a été corrompue... Vous l'avez créée, mais vous avez laissé la partie de la faction ici en Géorgie entre les mains d'un idiot qui veut juste savoir de l'argent, trahissant les idéaux de la faction... Est-ce vrai ?
Numéro 4: Plus ou moins comme ça, nous avons laissé Charles en charge ici, de répandre l'idéal de la faction et d'amener plus de gens dans la faction, alors nous sommes allés dans d'autres États, seul le cinquième d'entre nous est resté ici, mais nous avons récemment appris ce qui était qui se passe ici, la corruption, les ordres, le pouvoir et la chaîne de commandement dans la faction... Nous ne sommes pas d'accord avec ça.
Griffon : Et ça veut dire quoi exactement... ?
Numéro 1 : Cela signifie que nous sommes ici pour vous aider à « détrôner » le despote de Charles, le faire sortir du commandement de la faction dans cet état et restaurer la véritable faction 13 ici.
Griffon : Wow, c'est... touchant, je pense... Mais ils n'ont toujours pas parlé de la façon dont ils sont devenus des cyborgs...
Numéro 2 : Pensez-vous que les scientifiques de l'armée ici ont créé les cyborgs eux-mêmes ? Nous avons d'abord eu l'idée, avant que l'un d'eux ne rejoigne l'armée en tant qu'infiltration, il a juste utilisé les ressources du gouvernement pour construire ce que nous imaginions et améliorer, nous étions les premiers cyborgs de tout le monde, mais le général de l'armée ici voulait élever des esclaves, n'a pas t idéalistes, il a donc commencé à vouloir que le projet devienne un véritable essai de Frankenstein, utilisant les morts pour revenir à la vie en tant que super cyborgs, avec des puces de contrôle du cerveau et des caméras oculaires pour une surveillance constante...
Numéro 3 : Mais comme tu l'as vu, ça n'a pas très bien marché... Tu as vraiment frappé ce cyborg lui faisant retrouver son humanité...
Griffon : Vous avez un scientifique dans l'armée... wow !
Numéro 4 : C'est plutôt un ingénieur robotique...
Griffon : Ok, alors qui t'a parlé de la corruption qui se passe ici ?
Numéro 1 : je pense que vous l'avez déjà rencontré... Von Stokker, quelque peu contradictoire compte tenu de qui est sa famille, ce qui va à l'encontre de tous nos idéaux... Mais apparemment il a tendance à être le mouton noir de la famille, cela revient à venir en notre faveur.
Griffon : Von ?... Il m'a même rendu un grand service en m'informant des représailles de Charles, mais je pense que c'était juste pour son "grand plan", j'ai l'impression que ce type les a tous utilisés, je pense qu'il t'utilise trop...
Numéro 1 : Je pense que tu es trop paranoïaque, nous ne sommes pas tes ennemis, nous sommes des alliés et je sais qui t'a piégé en te transformant en méchant... Notre infiltré de l'armée, Francisco, nous l'a dit... Il ne connaît pas beaucoup de détails de l'ensemble du plan, mais c'était quelque chose conçu par le directeur généticien du centre de recherche génétique, le Dr Alberto...
Griffon : Mais... qu'est-ce qu'il veut avec tout ça ?
Numéro 3 : L'argent, c'est toujours une question d'argent... Il a besoin d'argent pour avancer dans ses recherches monstrueuses et le seul moyen d'y parvenir est avec l'approbation du gouvernement, du président pour être exact, alors ils créent un véritable monstre public , Griffon... un t********e, de sorte que le gouvernement sera obligé de donner ce dont il a besoin pour aller de l'avant avec le soi-disant "projet antiterroriste"... Si c'était le cas...
Griffon : Okay... Okay... Je suis plus confus qu'autre chose en ce moment, beaucoup de choses à assimiler je suppose... Donc tu veux dire que tu ne veux pas me battre ?
Numéro 4 : j'aurais aimé vouloir... (regardant les autres) MAAS... Mes collègues ne sont pas d'accord, parce qu'on devrait l'aider... C'est nul, parce qu'on n'a personne de notre taille en termes de adversaires, ce serait amusant de se battre avec vous...
Griffon : Hahaha, qui sait un jour, mais alors qu'est-ce que tu me veux exactement ?
Numéro 1 : Nous avons entendu que vous aviez fait irruption dans le quartier général de la faction de Charles avec Von, n'est-ce pas ?
Griffon : Oui, j'ai pris une clé USB pour prouver qu'il dirige la faction 13 ici et je vais l'exposer dans le match de ce soir, il sera là pour un discours.
Numéro 2 : Bonne idée, mais alors quoi ?
Griffon : Qu'est-ce que tu veux dire et puis quoi ?
Numéro 2 : Vous ne vous attendez pas à ce qu'il soit arrêté, n'est-ce pas ? La police ici mange dans sa main et il a une force au-delà de l'ordinaire, à cause d'un sérum qu'il prend...
Griffon : Et que proposez-vous ?...
Numéro 3 : Tuez-le.
Griffon : (souriant)...
Numéro 1 : Pourquoi le sourire ?
Griffon : Non, rien, je viens de faire ma journée... Je pensais donner une bonne raclée à ce bâtard qui a fait tuer mon amour... Maintenant, je peux donner une fessée et tuer... Ça me semble un bon plan.
Numéro 4 : HAHAHAHA COMME TON GARÇON
Griffon : Et tu m'aideras ?
Numéro 1 : Nous ne pouvons pas être exposés comme ça, les gens ne peuvent pas connaître notre existence, pas avant que le moment ne soit venu.
Griffon : D'accord, d'accord... J'ai l'habitude que ça ne soit pas exposé, d'accord, j'y vais maintenant, jusqu'à la prochaine fois.
Numéro 1 : Bonne chance !
Numéro 4 : Vous aurez besoin de...
Griffon : Merci... (sautant)
Chez Lavinhu.
Lavinhu : NOUS SOMMES ARRIVÉS. (sur sa moto avec la mère de Julia)
Renata : O EST MA FILLE ?
Julia : MÈRE ??
Renata : FILLE !! (embrassant sa fille) Patricia : VINHU !!!!!
Patricia a couru pour serrer Lavinhu dans ses bras et avec émotion, ils sont tous les deux tombés avec le vélo et tout sur le sol, elle l'embrassait sur le visage en disant "NE FAIS PLUS JAMAIS CELA, TU ME FAIS TRÈS INQUIÉTUDE !!!" et lui disant "d'accord mon amour, je t'aime tellement".
Cousin de Lavinhu : Oh, c'est beaucoup d'amour, puisque tout va bien, j'y vais, cousin, prends soin de toi.
Lavinhu : Ok, ça en valait vraiment la peine, mec, prends soin de toi aussi.
Le cousin de Lavinhu et quelques autres motards qui étaient venus escorter sont partis. Tout le monde est entré dans la maison de Lavinhu en se manquant toujours.
Julia : J'étais tellement inquiète pour toi maman, tu vas vraiment bien ? Ils ne t'ont pas blessé ??
Renata : Non, ton amie est arrivée à l'époque pour me sauver.
Julia : Ouais, au fait, c'est maman d'Olavo, mieux connue sous le nom de Lavinhu.
Renata : Je sais, je me souviens de lui de sa fête d'anniversaire.
Julia : Ah, c'est vrai hahaha je suis tellement nerveuse que j'ai oublié, je suis contente que tu vas bien maman.
Renata : Toi aussi, mais qui étaient ces gens ? Que voulaient-ils ? Julia : Alors c'est plus compliqué à expliquer...
Renata : Et Griffon est arrivé là-bas, j'avais tellement peur à l'époque, mais il nous a aidés... Pourquoi ? à la télé les atrocités qu'il commet, c'est un monstre, pourquoi nous a-t-il aidé ? (regardant Lavinhu)
Julia : Ben... Alors c'est encore plus compliqué à expliquer...
Renata : JULIA, C'EST BON POUR VOUS DE COMMENCER À EXPLIQUER MAINTENANT, DEPUIS LE DÉBUT, TOUT.
Julia : Et bien... Ouais... Alors c'est vrai... Genre...
Lavinhu 2 : L'amour de ta fille, c'est Griffon, les gars qui étaient après toi voulaient se venger de Griffon et Griffon nous a aidés parce que c'est un héros et il aime sa fille.
Julia et Lavinhu : LAVINHU 2 !!!
Lavinhu 2 : Qu'est-ce que c'est ? Je viens de dire la vérité, car c'était difficile pour toi de parler
Renata : MAIS... ATTENDRE AH, TU DITES QUE CE MEC QUI A BRISÉ LE COEUR DE MA FILLE, QUE HENRY, EN PLUS D'ÊTRE UN LAPIN EST AUSSI LE MONSTRE DGRIFFON ??
Lavinhu : ... le dire de cette façon semble être une si mauvaise chose... Mais ce n'est pas BIEN comme ça.
Renata : COMMENT PAS ?? VOUS NE SAVEZ PAS CE QUE MA FILLE A VÉCU AU COURS DES DERNIERS JOURS, PLEURANT TOUT LE TEMPS, ET LES JOURNAUX MONTRENT TOUS TOUT CE QUE GRIFFON FAIT !! EN QUOI CE N'EST PAS BON ?
Julia : JE L'AIME MÈRE, IL EST L'AMOUR DE MA VIE.
Renata : OH NON, TU NE VAIS PAS RENCONTRE AVEC UN RÈGLE COMME ÇA, AVEZ-VOUS OUBLIÉ CE QU'IL VOUS A FAIT ?? AVEZ-VOUS PERDU LA TÊTE DE MA FILLE ?? CE QUI VOUS EST ARRIVÉ??
Julia : MAIS IL N'A PAS TOUT FAIT, QUELQU'UN L'A RÉGLÉ !!
Renata : OH BIEN SR, DONC LE SLICK QUI VOUS A CHOCÉ ET L'A ADMIS À VOTRE VISAGE ÉTAIT QUE QUELQU'UN LUI IMAGE ?? QUOI, IL A UN JUMEAU MAINTENANT EST-CE ??
Julia : NON MAIS...
Renata : MAIS QUOI ? EXPLIQUEZ MAINTENANT, IL N'Y A AUCUN MOYEN DE L'EXPLIQUER VOIR ? IL A TORT, ET VOUS NE RENCONTREZ PLUS AVEC LUI.
Julia : MAIS IL A DIT QUE CE N'ÉTAIT PAS LUI, IL N'A JUSTE PAS EXPLIQUÉ CE QUI S'EST PASSÉ !!
Renata : OH ET CROYEZ-VOUS EN CET ABSURDE ?? EST-CE JUSTE D'UN CLIQUER SES DOIGTS QUE VOUS COURIREZ APRÈS LUI COMME UN CHIOT EN REMOUISSANT LA QUEUE ?? Je ne t'ai pas élevée comme ça, ma fille, qu'est-ce qui t'arrive ??
Julia : IL EST ARRIVÉ QUE JE L'AIME... ET JE NE PEUX PAS CROIRE QUE CE MERVEILLEUX GARÇON QUE J'AIMAIS A FAIT TOUTES CES CHOSES... JE NE PEUX PAS...
Mathias : Ecoutez madame... J'étais avec Griffon pendant un moment et je peux dire que c'est une bonne personne et ils l'ont piégé... Je sais ce que c'est, j'ai vécu ça...
Renata : ET QUI ÊTES-VOUS ?? N'OUBLIEZ PAS, JE PARLE À MA FILLE.
Mathias : Désolé...
Renata : VOUS VOUS RÉVEILLEREZ MAINTENANT DE CETTE FOLIE MA FILLE, METTRE CET AMOUR DE LOIN, PARCE QUE VOUS AVEZ CHOISI LA MAUVAISE PERSONNE A AIMER, IL N'EST PAS UNE BONNE PERSONNE, VOUS NE RENDREZ PAS AVEC LUI.
Julia : (pleurant) TU NE ME COMPRENDS JAMAIS, NI TU N'ESSAIS PAS DE ME COMPRENDRE...
Renata : OUI JE COMPRENDS, TU ES AMOUREUX ET C'EST POURQUOI TU ES AVEUGLE D'AMOUR, JE TE METTRE LA CONSCIENCE DANS LA TETE CAR TU NE PEUX PAS VOIR !! VOUS N'AVEZ PAS VU CE QUI S'EST PASSÉ AUJOURD'HUI ?? NOUS MOURONS PRESQUE À CAUSE DE LUI, SI CE N'ÉTAIT SON AMI, OLAVO, NOUS SERIONS MORT À CAUSE DE CET AMOUR DE SON...
Lavinhu : Calme-toi, Renata, il s'est passé beaucoup de choses, pourquoi ne bois-tu pas de l'eau, détends-tu et ensuite en parle plus ?
Renata : APRÈS ? OÙ? IL NE DOIT PAS ÊTRE DANS MA MAISON, MAINTENANT IL Y A PLEIN DE BANDITS À CAUSE DU PETIT AMI FOU DE MA FILLE, O ALLONS-NOUS ??
Lavinhu : Ne vous inquiétez pas, vous pouvez rester ici aussi longtemps que vous en avez besoin.
Renata : OUI MAIS JUSQU'À QUAND ?? JE NE VIVRAI PAS ICI MA VIE ENTIÈRE D'ARREGO DANS LA MAISON DES AUTRES, QUI LE RÉSOUDRA? JE N'AI RIEN DEMANDÉ.
Lavinhu : Je sais madame, je sais, calmez-vous un peu s'il vous plaît, tout ira bien.
Renata : MAIS COMMENT ÇA MARCHE ? CES GARS DERRIÈRE NOUS ET JE NE SAIS MÊME PAS QUI ILS SONT !!
Griffon : Je m'occupe d'eux (entrant dans la pièce).
Renata : VOUS... COMMENT OSEZ-VOUS ME PARAÎTRE ENCORE ??
Julia : POUR MAMAN !! (embrassant Henry)
Griffon : (abaissant les capuches et le tissu) Je suis désolé pour ce qui s'est passé aujourd'hui madame, et encore plus pour ce qui s'est passé avant... Il y a quelques jours, ça a fait souffrir Julia... (en serrant Julia)
Renata : ALORS POURQUOI N'EXPLIQUEZ-VOUS PAS CE QUI S'EST PASSÉ PUISQUE CE N'ÉTAIT PAS VOUS ??
Henry : Qu'est-ce qui s'est passé je ne sais pas, mais je sais pourquoi, quelqu'un m'a imité aux yeux de tout le monde, pour me transformer en méchant, en t********e, ça a à voir avec un projet du département de génétique de l'armée, ils ont besoin de financement et l'approbation du projet, le seul moyen d'y parvenir est qu'un t********e implacable se présente, que seul leur projet pourrait arrêter...
Renata : QUELLE PETITE HISTOIRE AVEZ-VOUS VUE... ET O ÉTIEZ-VOUS ALORS ??
Henry : J'ai été pris par eux, ils ont utilisé mon sang pour faire des expériences et ont créé une sorte de sérum qui donne de la force... Je ne sais pas, mais c'était mon corps qui était là dans leur laboratoire...
Julia : Qu'est-ce que tu veux dire ?
Henry : ... Peu importe, tu ne croirais pas...
Renata : VOYEZ-VOUS MA FILLE ? IL EST EN TRAIN DE MENTIR.
Lavinhu : Mec, il est temps d'expliquer maintenant...
Henry : D'accord, mais alors ne dis pas que je ne t'ai pas prévenu... tu te souviens de ce jour à Lavinhu Beach ? Que tu parlais à des filles et que tu l'as ramené à la maison, c'était le jour de ton anniversaire et je suis allé sauver des gens ?
Lavinhu : Oui.
Henry : D'accord, j'ai combattu 3 androïdes là-bas, c'était dur, mais j'ai réussi à les vaincre, le problème c'est qu'ensuite le motard fils de p**e est arrivé...
Lavinhu : Quel motard ?
Henry : Un gars qui a volé deux armes "gravitationnelles" à labotec, j'ai essayé de l'arrêter, mais il avait la même force que la mienne, et il a utilisé les armes... Je n'ai même pas eu l'occasion. Quand j'ai vaincu les androïdes ce jour-là, il est apparu et a profité du fait que j'étais un peu faible et inattentif et m'a frappé... Il m'a emmené au labo, mais en chemin... j'ai vu un "spectre", un faucheur ... Il m'a fauché et techniquement je suis mort, je me suis retrouvé dans un royaume de faucheurs, un autre univers... Beaucoup de folie, mais je m'en suis sorti, très chanceux, puis je me suis réveillé dans leur labo, ils utilisé mon sang pour faire une sorte de super sérum qui super pouvoirs je ne sais pas... Puis je suis parti là-bas, c'est là que je suis arrivé chez Lavinhu et... je n'ai rien compris, il me détestait le plus et Julia n'était même pas là...
Lavinhu : D'accord... Vous savez que c'est un peu trop à croire ou voulez-vous poursuivre, n'est-ce pas ?...
Henry : Je sais...
Renata : Donc, en gros, votre excuse est la suivante...
Henry : La vérité, oui.
Julia : Je ne peux pas y croire Henry... La partie sur quelqu'un qui se fait passer pour toi, tu peux essayer de comprendre... Mais la faucheuse...
Lavinhu 2 : Ouais, ça a beaucoup voyagé champz, qu'est-ce que tu as senti ?
Renata : Tu vois ma fille ? Si vous croyez en un s****d comme ça, c'est évident que c'est un mensonge.
Julia : (s'éloignant d'Henry)...
Henry : (tête baissée) Je sais... C'est pour ça que je n'ai pas eu le courage de te le dire jusqu'à maintenant, parce que je ne sais même pas comment le dire... Et même toi tu ne peux pas me croire... Je sais, mais continue comme ça... Ne me fais pas confiance (mets la première cagoule) il y a quelqu'un dehors qui me fait passer pour, c'est dangereux pour toi de me faire confiance jusqu'à ce que je règle ça (mets le chiffon sur mon visage) juste ... Reste ici jusqu'à ce que je cède un passage (en mettant le deuxième capot) d'accord ? et regarde le match de ce soir (sortant par la porte) peut-être que c'est au revoir de toute façon, alors... (regardant en arrière) au revoir... (sautant)
Je n'avais pas grand-chose à faire, je veux dire, comment pouvaient-ils me croire... J'ai fait ce que j'ai pu, il n'y avait pas d'autre moyen. Ils doivent me détester, j'imagine, tant qu'ils vont bien, en sécurité... C'est tout ce qui m'importe. Ils sont tout pour moi, chacun d'entre eux Julia, Lavinhu, Lavinhu 2, la mère de Julia, Patricia d'être l'amour de Lavinhu, Carolina, Daniele... Ces deux là tellement hors de danger je pense, j'espère les autres aussi. J'ai juste besoin de m'installer avec Charles et puis... Ensuite, j'irai après le s****d qui a foutu ma vie en l'air en jouant avec mon nom, ce salaud... J'espère qu'ils pourront me pardonner un jour, ou au moins.. Lâche-moi de me haïr... J'ai déjà perdu mon père, je ne veux en perdre aucun... Je ne le ferai pas. C'est bientôt l'heure du match de foot, je vais au stade, Charles, attends moi... Il verra, il a fait tuer la mauvaise fille...
Numéro 2 : (au bord de la rivière Capibaribe) qu'en avez-vous pensé ? Pensez-vous qu'il a une chance?
Numéro 3 : Je trouve ça difficile... Charles a pris beaucoup d'injection de puissance... C'est un monstre.
Numéro 4 : J'ai foi en ce garçon, j'ai l'impression qu'il est né pour ça, il suffit de le regarder dans les yeux... Il a le sang bouillant et l'âme en feu. Un guerrier né et mourant d'envie de se venger de son amour.
Numéro 1 : ... Toi et tes idées barbares, mais de toute façon il faut voir ce qui se passe et il faut se préparer au pire, s'il ne réussit pas, il faudra finir Charles nous-mêmes par la vraie faction... (levant la main) Vive la faction 13 !
Numéro 2, 3 et 4 : (mains en l'air) faction 13 !
Animateur radio : Grand jour n'est-ce pas Rodolfo ?
Rodolfo : Certainement Gabriel, un grand jour, jour du classique du football de Pernambuco, deux des trois plus grandes équipes s'affrontent ici dans ce stade pour voir qui prend la coupe de la bonne action et se rappeler que l'argent du billet ira tous au fonds de charité enfant de demain.
Gabriel : Oui, oui une belle façon de dire que le football c'est aussi la conscience sociale. (au refuge des mendiants)
Griffon : Salut les gars, je sais... Je sais tout ce que vous avez entendu et vu sur moi, le monstre qui m'a peint dans les médias... J'ai essayé de vous aider un peu, mais ce n'était rien, je l'ai fait J'ai pas le droit de te demander quoi que ce soit... Mais j'ai besoin de ton aide et, franchement, je n'ai personne d'autre sur qui compter en ce moment que toi...
Mendiant : (touchant Griffon sur l'épaule) laisse tomber ami, je connais une bonne âme rien qu'en regardant, quoi qu'il arrive pour parler de tout ce qu'ils ont dit sur toi, la seule chose que je vois ici c'est une bonne personne et nous aidons toujours les bonnes personnes, n'est-ce pas ? (regardant les autres mendiants)
Tous les autres mendiants acquiescèrent.
Griffon : (excité) merci, merci beaucoup, comment tu t'appelles ?
Mendiant : Roger.
Griffon : (serrant la main de Rogério) Gentil Rogério, le mien est Henry.
Henry : Alors Rogerio, comment pouvons-nous vous aider ?
Quelque temps plus tard, Charles Godoy est arrivé au stade, sortant de sa voiture avec des gardes de sécurité, un homme monstrueusement grand et musclé, mesurant six pieds, vêtu d'un costume.
Charles Godoy : (regardant le stade et souriant) Grand soir, même Griffon ne va pas tout foutre en l'air et tu vas faire en sorte qu'il ne soit pas 5 ?
Numéro 5 : Oui, il pense qu'il m'a tué... C'était proche en effet, mais je suis vivant et prêt à le briser en deux s'il ose se montrer ici.
Charles Godoy : Eh bien, c'est ce que j'aime entendre, ne vous inquiétez pas que votre commission pour ce soir soit garantie, maintenant allons-y et ne vous exposez pas.
Le numéro 5 était vêtu d'un costume et de lunettes, cachant son bras avec un canon laser, déguisé en agent de sécurité Charles ordinaire. Charles est entré dans le stade en saluant les flics corrompus sur sa feuille de paie.
Gabriel : Quelle merveilleuse soirée, la foule excitée pour le derby, M. Charles Godoy, propriétaire du fonds caritatif Child of Tomorrow, va bientôt prendre le terrain, n'est-ce pas Rodolfo ?
Rodolfo : Oui Gabriel, même les enfants sont déjà là dans le coin du terrain, les enfants de l'institution de M. Charles, seront à ses côtés dans le discours.