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ABIGAIL
« Mais qu’est-ce-que tu fais ? » criai-je. Ils pouvaient voir mon derrière !
« Merde. » J’entendis le murmure de Tucker. « Quel joli petit cul, ma douce. Même avec la trace des mains de Gabe, tout rose et chaud.
— Gabe ! » criai-je encore, en essayant de me libérer. Je n’avais jamais été exposée de la sorte pour personne auparavant. Pas seulement physiquement, ils essayaient aussi de percer à jour mes secrets. Et je rougis à l’idée qu’ils puissent voir mon cul teinté de rose comme Tucker l’avait décrit.
Mais si j’étais mortifiée qu’ils me voient ainsi, ce n’était rien comparé à ce qu’ils verraient et penseraient de moi en apprenant mes mensonges. Je voulais leur avouer, vraiment—j’en avais envie—mais je savais qu’ils me quitteraient dès qu’ils connaitraient la vérité. Bien q
