CHAPITRE XVILe lendemain un pauvre juif demanda à parler à madame Riche. – J’ai, dit-il, un excellent parti pour votre fille aînée. – Restez ici, répondit celle-ci. Après le dîner nous en parlerons en présence de ma fille, car je ne voudrais pas vous charger d’une mission qui de prime abord serait en pure perte. Donc, après le dîner, madame Riche, ordonna à Couronne de rester avec elle, son père et le vieil entremetteur de mariages. – Ma fille, dit-elle, voici un homme qui désire te marier. Il sait ce qui s’est passé dans notre maison. Mais, comme tu sais à ton tour que jamais je ne te donnerai à l’enfant de la besace, tu écouteras et nous diras si tu agrées le mari qu’on te propose. Couronne ne répondit pas. – Qui ne dit mot consent, dit le vieux. Et il se mit en position d’étaler