DESIRE....
SEXUELLE “C’est une émotion, une impulsion, une force qui nous pousse à une rencontre intime avec d’autres personnes. Il nous incite à entrer en relation, à partager notre intimité, à entretenir des relations affectives et sexuelles, à nous amuser et à prendre du bon temps, à ressentir du plaisir..."
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Je me tiens à nouveau debout et je regarde derrière moi avec détermination, pour lui faire savoir que c’est moi qui ai décidée, pas lui.
Qui suis-je en train de tromper, sûrement moi-même, si je suis comme de l’argile entre les mains de cet homme inconnu.
J’enlève ma culotte et me mords à nouveau les lèvres, je ressens un besoin inouï de me toucher, qu’il me touche à nouveau.
J’attends anxieusement qu’il m’ordonne de me toucher, mais il ne le fait pas. Je n’ai pas besoin d’attendre qu’il m’ordonne quoi faire, si je veux me toucher, je le fais et c’est tout.
Je suis plongée dans mes divagations lorsqu’une lumière s’allume à côté d’un divan, mes yeux s’écarquillent et je vois l’homme le plus beau et le plus masculin que mes yeux aient jamais vu.
Il est vêtu d’un costume formel, la paille est défaite et il a les jambes écartées et un bras sur le dossier du canapé avec un verre à la main, l’autre est sur son genou et je peux voir ses longs doigts semblables à ceux d’un pianiste.
Je lève les yeux et m’arrête sur son visage, sa mâchoire carrée, l’ombre de sa barbe de deux jours, son nez aquilin et ses sourcils broussailleux, la lumière de la lampe donne un éclat particulier à ses cheveux et à ses yeux, je ne sais pas de quelle couleur ils sont, mais je jurerai qu’ils sont sombres, noirs, profonds.
Je soupire, ma respiration devient plus faible et mon centre devient complètement humide.
— Agenouille-toi ! — Il me l’ordonne, le ton de sa voix a complètement changé, plus rauque, plus profond, mon corps frissonne à nouveau et je me laisse tomber sur le sol, comme une p**e soumise.
Le sol est doux, un peu froid, ce qui m’aide à calmer un peu la sensation d’étouffement, je ne comprends pas comment je peux avoir envie de quelque chose d’aussi fort, si jusqu’à il y a quelques minutes, je ne savais pas que cela existait.
Il se lève du canapé et je vois à quel point il est grand et imposant, je l’avais imaginé en le sentant derrière moi, mais le voir est incroyable.
Il s’approche de moi et s’arrête devant mon corps exposé et agenouillé, il se penche et passe sa main puissante dans mes cheveux en s’arrêtant dans mon cou, il me caresse en relevant mon menton, mon regard se perd dans le sien, sombre, comme je l’imaginais, profond, orageux.
J’ouvre mes lèvres devenues inexplicablement sèches, j’avale ma salive et passe ma langue dessus, j’ai besoin de les hydrater et je meurs d’envie de l’embrasser.
- Tellement belle — Sa voix me secoue à nouveau, et plus je la sens proche, plus l’effet est fort, comme si un coup de vent venait d’effleurer ma peau.
Il place sa main derrière ma tête, saisit fermement mes cheveux et me serre la nuque, son corps s’appuie contre le mien et mon cœur s’emballe.
— Que veux-tu, petite souris ? — Je me mords les lèvres, je déteste qu’il m’appelle ainsi.
— Je ne suis pas une petite souris — lui dis-je.— Oh non, qu’est-ce que tu es donc, petite souris ! — me demande-t-il calmement, avec un sourire dédaigneux, que j’adore immédiatement, je suis en train de devenir folle !
— Une femme, je suis une femme — lui dis-je en me mordant à nouveau la lèvre inférieure, si je continue ainsi, je vais finir par me blesser.
— Alors, que veux-tu, petite souris ? — Quel idiot ! C’est moi qui fais un geste dédaigneux.
— Je ne veux pas que vous m’appeliez comme ça — Sa main sur ma nuque ne me permet pas de bouger, la position commence à me fatiguer, mais je m’en moque, je ne laisserai personne m’appeler comme ça, surtout pas quelqu’un qui ne me connaît pas.
— Et comment tu veux que je t'1appelle ? Je te préviens, je ne veux pas de ton vrai nom. — Je me perds en regardant ses yeux — Comment je veux qu’il m’appelle ? Je n’en ai aucune idée — Trésor, tu es comme un trésor que je viens de découvrir, c’est ce que tu seras, mon trésor. — Je cligne des yeux et déglutis à nouveau, mourant de besoin et d’envie de sentir ses lèvres.
— S’il vous plaît — je murmure.
— S’il te plaît quoi ? Qu’est-ce que tu veux, trésor ? — Sa bouche s’approche, son souffle se mêle au mien, et pourtant je me sens si loin, j’ai besoin de son contact, juste un contact.
— Embrassez-moi, comme personne ne l’a jamais fait — je suis perdue, il ne m’a même pas touchée et je sens déjà qu’il sera si important dans ma vie.
— Approche-toi — ses lèvres touchent les miennes — Prends ce que tu veux — Dieu ! Je veux tout.
Je soulève un peu mon visage, juste assez pour que ses lèvres puissent dévorer les miennes, je lève mon bras et m’accroche à son cou.
Ses lèvres sont froides et ont un goût de whisky, j’ouvre les miennes et ma langue agitée se glisse dans l’humidité de sa bouche, mon ventre se contracte complètement et je veux juste le sentir, lui tout entier contre mon corps, je passe mon autre main dans son cou et mon dos se cambre sous la force du b****r.
L’homme me pousse à me lever et je me colle complètement nue à son corps, je sens le tissu de son costume contre mes parties sensibles, je presse mon bassin contre le sien, le b****r devient de plus en plus possessif, sauvage.
Mes dents se heurtent aux siennes et dans mon désespoir, je me penche en cherchant la friction de son bassin contre le mien, je sens un renflement prononcé entre ses jambes et je gémis quand il entre en contact avec mon bassin, ma chatte devient complètement humide et mon esprit vagabonde, je suis vierge, personne dans ma vie ne m’a jamais tentée comme ça, pas même Enzo, le garçon que j’aime. Comment quelqu’un que je ne connais pas peut-il me faire ressentir cela en quelques secondes ?
— Comment voulez-vous que je vous appelle ? — L’homme interrompt le b****r et me retourne, son torse contre mon dos, sa bouche qui respire dans mon cou, sa main sur mes seins qui serre fort et l’autre sur mon ventre. Oh mon Dieu !
— Pervers, appelle-moi M. Pervers — Il se penche un peu et deux de ses doigts entrent dans mon vagin, je me mords les lèvres en retenant un gémissement de douleur — Écarte tes jambes — Il insère à nouveau ses doigts et je me mords à nouveau les lèvres, la sensation de douleur a changé, Je serre mes mains sur son bras musclé et appuie ma tête sur son épaule — J’aime ta chatte, si humide et serrée — Il retire ses doigts humides et les passe sur mon clito, il commence à masser et je me perds dans les nouvelles sensations — Ouvre les yeux — Quand j’ai le fait, je suis surprise de voir que nous nous sommes retournés et que notre image est projetée dans le miroir de la chambre.
Oh, mon Dieu ! Je n’arrive pas à croire que je suis cette femme complètement nue, les pupilles dilatées, les tétons en érection, la bouche et les jambes écartées et qu’elle est perdue dans les bras d’un inconnu, en costume, qui lui mord le cou, lui presse les seins et lui masse vigoureusement le clitoris... Je dois rêver !
M. Pervers glisse à nouveau ses doigts, puis les retire, masse mon clito et l’effleure fortement,
Je sens que le feu monte dans mon corps et que le liquide chaud coule le long de mes parois vaginales, se perdant dans mes jambes, je crie, car la sensation m’envahit, mes jambes tremblent et je sens que je ne peux plus respirer, que j’ai atteint un point incroyable, mais qu’il me manque quelque chose d’autre, je veux quelque chose de plus.
Je concentre mon regard sur le miroir et je regarde M. Pervers continuer à me masser calmement entre les jambes, il se penche un peu et insère à nouveau ses doigts en moi, je sursaute, il me prend par surprise et je recule mon bras pour saisir ses cheveux, je suis tellement mouillée que ses doigts glissent doucement en moi, il les retire et je le regarde les lèvres écartées et les yeux extrêmement dilatés, prendre les deux doigts dans sa bouche.
— Exquis — murmure-t-il à mon oreille, en me regardant toujours à travers le miroir. — Je pourrais94 me perdre dans ton goût — je me sens à nouveau en feu, “Suis-je normale ? Je n’ai entendu aucune des filles parler de tout cela lors de leurs premières fois, enfin, ce n’est pas encore arrivé, mais c’est la première fois que quelqu’un me touche comme ça.
M. Pervers s’éloigne et je reste debout, l’observant à travers le miroir tandis qu’il disparaît dans un coin de la pièce que je ne peux pas voir, ma respiration bruyante et superficielle et la musique douce étant les seules choses que je puisse entendre.
— Allonge-toi sur le lit - j’entends à nouveau sa voix, j’essaie de me tourner pour le regarder et sa voix m’arrête — Maintenant ! — Je me dirige vers le grand lit aux draps noirs et m’assieds sur le bord, puis me laisse lentement aller — Au milieu du lit. — Je me dirige vers l’endroit où il veut que je sois, je regarde vers le haut où il y a un énorme miroir rond et je peux me voir en entier. Qu’est-ce que je fais ici ? Je me le demande à nouveau.
Je sens ses pas feutrés s’approcher, je focalise mon regard sur lui, il s’approche du bord du lit. Mère du verbe ! Mes yeux se perdent dans son bourrelet, je pourrais l’appeler membre ou phallus, je n’ai aucune idée du nom à utiliser, mon esprit vagabonde et mes joues s’échauffent, M. pervers est complètement nu et son phallus, il est si gros que je commence à me torturer en imaginant la façon dont une femme peut le recevoir, si avec ses deux doigts, je ressentais une petite douleur, que se passerait-il si je le laissais finir et me dépuceler ?
En fait, je crois que je viens de me poser une question stupide, je suis dans son lit, nue, après avoir atteint mon premier o*****e avec ses doigts, il est clair que ce soir, je vais perdre ma virginité. Je porte la main à mon visage et j’écoute son sourire.