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MARY
Je me glissai dans une baignoire fumante dans la salle de bain, les yeux fermés. Les effluves du savon à la rose sentaient bon, tout comme celles des huiles de bain posées sur un panier en cuivre fixé contre la baignoire également en cuivre. Du cuivre partout, provenant certainement de la mine de mon père.
La maison close était silencieuse au petit matin, les clients étaient partis, satisfaits et les femmes dormaient pour se remettre de leur nuit de labeur. C’était le moment idéal pour soulager mes nouvelles douleurs. Peut-être pas des douleurs, mais j’étais clairement irritée. Impossible d’empêcher un large sourire de fendre mon visage radieux alors que je me remémorais comment j’en étais arrivée là.
« C’était bon à ce point-là ? »
J’ouvris les yeux pour apercevoir Chloé dans
