Leyth
Cinq minutes après qu’Harry soit parti, j’ai continué à fixer la porte par laquelle il est rentré comme un débile profond.
Lorsque je sors de ma léthargie, deux choix s’offrent à moi. Soit, je retourne à l’appart, et j’essaie peut-être d’arranger un peu les choses. Soit, je reste sur le toit à fixer le vide jusqu’à ce que morts s’ensuivent.
Nah. Après ce qu’il s’est passé, je n’ai pas envie de rester seul si c’est pour me noyer dans mes pensées.
Je soupire et passe les mains sur mon visage. p****n si je pouvais hurler à m’en arracher les cordes vocales, je le ferais.
Doucement –parce que je n’en ai pas trop envie hein–, je retourne dans la cage d’escalier et rejoins l’appartement.
Je rejoins discrètement la chambre d’ami avant de m’asseoir sur le lit. OK, encore 5 minutes pour
