Godemiché

1597 Words
Beaucoup d'hommes pensent que connaître une femme signifie, la déshabiller. Avoir accès à sa nudité. Moi je pensais autrement. L'objectif de ma vengeance n'avais jamais été de coucher avec Serena pour me tirer ensuite. Non! Mon désir était de mettre à nue son âme. Qui elle était réellement. C'est ça la vraie nudité d'une femme. La briser ensuite. La briser de l'intérieur, pour qu'elle implose. Et quelle en souffre toute sa vie. Le seul véritable moment où elle est vulnérable. C’est quand elle te montre ce qu'elle est en réalité. Mais pour qu'elle se révèle, il faut lui tendre une perche. *** --- Serena! Toute ces années je n'ai pas arrêté de penser à toi. De l'eau a coulé sous les ponts et je sais que tu es une toute autre femme aujourd'hui (Dis-je en l'embrassant dans le cou) Le soleil commençait à se coucher et la lumière orangée du ciel avait recouvert toute la pièce. Il fallait l'avouer, l'appartement de Serena était en tout point un mélange de luxe et d'art. Mais même au milieu de tout ça, c’était elle le véritable chef d’œuvre. Je passais ma main sous sa chemise ample et je pouvais sentir le bas de son ventre battre sous l'effet mes caresses. J'avais la main trop curieuse et je la remontait jusqu'à sa poitrine. Une fois son soutien-gorge dégrafé, je la sentais pousser un léger geignement lorsque je lui caressais le bout des seins. Je la sentais encore qui me résistait. Non... Plutôt, elle hésitait. Ses mains me caressaient le dos et ses jambes étaient ouvertes. Elle n'attendait que ça. Que j'aille plus loin... Il fallait plus que ça pour que la véritable Serena se montre enfin. Je longeais son cou de baisers tendres, jusqu'à ses lèvres charnues et je l'embrassais cette fois avec plus d'entrain. Le goût de sa langue pétillante ne me laissait pas de marbre. Je pouvais sentir mes pores s'ouvrir à chaque fois qu'elle prolongeait notre b****r. Je devais continuer ... Je déboutonnais sa chemise sans toutefois l'enlever. Par contre avec mes mains je descendais lentement son pantalon, mais je la sentais émettre encore un brin d'hésitation. Pour l'inciter à céder, je descendis avec mes lèvres, de l'antre de ses seins bananes fermes, jusqu'à son nombril. Je m'arrêtais à ce niveau et j'embrassais langoureusement, sentant son bas ventre tambouriner de l'intérieur. J'essayais de nouveau de baisser son jean, et cette fois ci, elle cédait. Je me redressais et pendant que je retirais ma chemise. Je regardais avec admiration la plus belle de toutes les œuvres d'art que j'avais vu jusqu'ici. Serena en chemise ouverte et un slip en dentelles, de couleur bleue. La moquette toute blanche qui servait de tableau ne suffisait à contenir la peinture à la fois sauvage et innocente de son corps. Comme un prisme, la lumière orangée du ciel convergeait traversais la fenêtre et aller s'étaler sur son corps avec finesse comme une couche de vanille sur un gâteau au chocolat... Mes yeux tombèrent sur ce regard vulnérable qu'elle me montrait à chaque fois que j'étais dans l'intimité avec elle, il y a cinq ans. Mais cette fois-ci, je l'avais bien remarqué. Au-delà de sa vulnérabilité, il y avait cette lueur, cette soif grandissante dans le creux de sa rétine. J'allongeais mon torse contre sa poitrine et je l'embrassais avec ardeur en lui caressant ses cuisses ouvertes. --- J'ai beaucoup changé ces cinq dernières années Serena... (Dis-je en descendant avec ma bouche lentement sur elle. Je pouvais sentir son corps en chaleur, et j'étais disposé. Depuis plusieurs années, j'attendais patiemment ce moment. Je n'avais jamais autant marqué d'attention pour d'autres femmes qu'elle, il fallait l'avouer. Avec ma langue mouillée, je continuais ma course jusqu'à son ventre, je fis de petits cercles autour de son nombril et je descendis plus loin... Tenant ses cuisses bien écartées. Enfin! Son bas ventre n'attendait que ça! Je décalais son slip et je marquais un temps d'arrêt devant l'entrée de son jardin bien entretenu. À mesure que je soufflais dessus, les pétales s'écartaient l'une de l'autre, et la fleur allait bientôt éclore. --- Laisse-moi te faire profiter du nouvel homme que je suis (Dis-je en insérant ma langue chaude dans sa crème) Serena : Ryan... Je... Hmmmm...! Ça y est! La glace dégivrait lentement sur ma bouche... Et je continuais de lécher, espérant que le cornet se remplirait encore. Je la sentais cambrer son dos en levant la tête, la bouche grande ouverte, s'efforçant à ne pas crier pour admettre sa défaite. Nous commencions à peine. Je caressais ses longues jambes lisses et je pouvais les sentir trembler à mesure que je m'amusais dans son jardin de roses. Je sentais ses mains se fixer sur ma tête et me caresser les cheveux. Elle aimait ce que je lui faisais. Je remontais avec mes bras jusqu'à sa poitrine et je malaxais ses seins pendant que je lui faisais sa petite gâterie. Elle agrippait la moquette d'une main et maintenait ma tête dans son entrejambe pour me garder jalousement dans cette position. Les pétales de ses roses étaient devenues toutes rouges. Je caressais lentement son bassin et je remontais avec ma langue chatouiller son c******s qui m'attendait déjà pour un dernier manège. Serena : Hmmm... (Fit-elle en remuant ses hanches pour savourer le plaisir) Je ne m'arrêtais pas et je la savourais avec entrain et appétit jusqu'à ce qu'elle se mette à haleter et qu'elle n'en puisse plus de se contenir. Le désir devenait intenable. Serena : Han! (S'écria-t-elle enfin, les jambes pliées vers le haut) --- Tu veux que j'arrête ? Serena : Je... non... De ma langue habile, je continuais ma gâterie. Sa voix ressortait un peu plus. Elle mordit sa lèvre inférieure et ses hanches ondulaient de plaisir. Tout d'un coup, son corps entier se mit à frémir. Ses caresses devenaient plus prononcées et ses gémissements plus forts. Serena, Serena... Combien de fois t’ai-je appelée ? Serena : Han !!! Haaann! (Criait-elle en coinçant ma tête entre ses cuisses) J'accélérais le mouvement de ma langue tandis qu'elle gémissait des plus belles. Ses jambes se figèrent d'un coup et ses pieds fins pointaient le soleil couchant Le glace avait totalement fondue... Le souffle saccadé, elle cachait son visage éhonté en me regardant me redresser vers elle. Je l'embrassais tout amoureusement puis je la regardais en souriant. Serena : C'est bon tu as eu ce que tu voulais ? --- Voyons, ce que je veux c'est toi. Mais je ne sais pas si tu es prête. --- Je ne suis pas encore prête ? (Demandait-elle, le regard perplexe) --- Oui, je t'ai dit que je n'étais plus le même. Je retirais lentement son slip et elle se laissait faire. Je gardais ensuite son slip dans ma poche et j’insérais un doigt en elle en lui caressant le c******s. Serena : Hmmm... Ryan! --- Oui ? Serena : Qu'est-ce que tu attends pour ... --- Pas aujourd'hui! (L'apostrophais-je, en retirant mon doigt en elle) Serena : Quoi comment ça ? --- Je vais à un dîner d'affaire demain et je voudrais que tu m'accompagne. Si tu parviens à résister toute la soirée avec moi. Tu auras droit à la suite de ce moment qu'on vient de passer (Dis-je l'air confiant) Serena : Pourquoi est-ce que j'accepterai cette invitation ? --- Pour deux intérêts. Moi d'abord. Serena : Laisse-moi rire --- Ensuite, il s'agit de collaborateurs étrangers. Ils sont à la recherche d'une entreprise à la pointe du marketing pour faire valoir leur produit ici au pays. Et coïncidence, ton entreprise a le profil idéal. Serena : Tu veux dire que ces collaborateurs viendront pour moi ? --- Oui c'est exact. Ce sont de gros poissons. Tu n'auras pas deux occasions dans une vie! Serena : A quoi est-ce que je devrais résister toute la soirée ? --- À moi (Le regard plongé dans le sien) Serena : Tu m'as l'air sûr de toi on dirait (Toute souriante) Je me relevais et j'enfilais ma chemise en sortant. --- Si tu es d'accord, je t'enverrai les informations concernant tes futurs collaborateurs. Fais toi belle. Je t'enverrai ce que tu devras mettre sous tes vêtements. Je sortis de son appartement et je pris quelques secondes pour souffler. Les minutes les plus intenses depuis mon arrivée au pays. Il m’avait fallu énormément de contrôle pour ne pas aller plus loin… Je souris et en marchant jusqu’à ma voiture, mon téléphone vibrait. C'était un message de Rebecca Elle me répondait enfin. --- J'ai quelque chose à te montrer. Je rentrais chez moi, curieux de savoir de quoi elle parlait, et impatient à l'idée d'un dîner avec Serena... *** Le lendemain matin arrivait vite. En soirée j'avais rendez-vous avec Serena. Je ne tardais pas à lui faire livrer ses sous-vêtements. DIIINNNG --- Madame. Il y a un livreur. Vous avez reçu un paquet. Serena : Faites-le entrer! --- Bonjour. Je viens de la part de M. Ryan. Serena : Oui. Posez ça ici. Il déposait le cadeau sur sa table et le bouquet de fleur juste à côté. Le livreur s'en allait une fois qu'elle eût émarger. Elle ouvrit son cadeau dans l'étonnement. Un soutien-gorge et un slip rouges écarlates. Mais ce n'était pas ça le plus surprenant. Son téléphone sonnait ensuite. C'était un message de ma part. --- Alors tu l'as reçu ? Serena : Tu veux que je porte ça pour un dîner avec des collaborateurs aussi importants ?? --- Oui. J'espère que tu aimes jouer. Rendez-vous à 19hr ce soir. Elle fermait son téléphone et regardait à l'intérieur du paquet. --- Un godemiché !
Free reading for new users
Scan code to download app
Facebookexpand_more
  • author-avatar
    Writer
  • chap_listContents
  • likeADD