XLII Envoi du cheval blanc. — La rencontre. Profitant de la distraction causée par Quackenboss et ses mésaventures équestres, je dépêchai mon n***e à l’hacienda et attendis avec anxiété le résultat de sa mission intéressante. Du haut de l’azotea, je vis mon messager, menant le fier coursier à la main, gravir la colline et franchir la grande porte de l’habitation. Un instant après, il en sortit sans le cheval. Le cadeau avait donc été accepté. Je comptai les minutes, jusqu’à ce que des pas pesants se fissent entendre dans l’escalier et que la face joyeuse et brillante de mon n***e parût sur la terrasse. Il n’y avait ni lettre ni message autre que : Mil gracias (mille grâces). Je m’étais attendu à des remercîments moins froids. Mon homme paraissait plus satisfait. Une onza d’or (pièce m