chapitre 72

1334 Words
(Quelques pars) Bordel j’ai mal partout, je tousse, je crache du sang. J’ai du mal a reprendre mes esprits, mes oreilles siffles. Bordel je suis où,? je reste immobile, j’essaie de reprendre ma respiration, j’ai vraiment mal partout, je crois entendre quelqu’un s’approcher, je sens quelque chose glisser sous moi. Je force mes yeux a s’ouvrir, il fais sombre mais y a comme un feu plus loin, quelques chose glisse encore à côté de moi et me fais rouler sur le ventre. Je me retrouve face au visage de William. J’étouffe un crie, le brouillard se dissipe, je me mets a pleurer en silence, puis la rage me monte, je vais tous vous brûler, vous allez tous brûler pour se que vous avez fais. J’ai tellement mal partout, le type s’approche encore, j’ai compris je fais partie du charnier. J’embrasse une dernière fois le visage de William, je suis tellement désolé… une main m’attrape je retiens mon cri. Il me bascule sur son épaule et me jette juste devant le feu avant de repartir. Je regroupe toutes les forces qu’il me reste et décampe. Je prends le premier couloir devant moi et la première porte. Des cris sortent de partout, tout est sombre et l’odeur… c’est celle de la mort. Je sais où je suis, ils ont jeté ma dépouille a capa. Putain Elliott t’avais raison… Je me retrouve dans la pièce centrale, il y a des caisses d’arme partout on dirait, des poteaux de tortures se trouve au milieu et des cris viennent de cage plus au fond. Il y a des crochets au mur avec des mecs attaché dessus. Je reconnais l’un deux…. Bordel, faut que je te sorte de la… ok allé, rappelle-toi Eliott ta dis quoi… la sortie… ra je sais plus. Je m’énerve, je ne peux pas me lancer comme ça désolé mon pote. Je prends discrètement le couloir qui a l’air de s’enfoncer au cœur de la montagne. Je me fais le plus discret possible, plus on s’enfonce plus les gars dedans ont perdu leur humanité, je fouille un peu les caisses autour de moi . Je ne peux pas prendre d’arme a feu sa ferai trop de bruit et je sais pas combien ils sont. Clairement je ne fais pas le poids. Je trouve un couteau et un arc « Mesdames et messieurs bienvenue au dernier hunger-games » je ris seul. Au moins j’ai toujours ma folie pour compagnie . Je progresse dans le couloir du milieu, Eliott m’a dis qu’on y avait une cachette. J’avance lentement en mettant mon ouï aux aguets, au bout de quelques mettre je sens qu’il y a un problème je m’accroupi prend une grande inspiration et ferme les yeux. Là, devant moi, je l’entends. Je décroche une flèche, ils sont plusieurs « Non arrêtez, lâché moi p****n. Je connais cette voix. Je m’élance à sa rencontre, c’est tom… ils sont deux dessus un l’étrangle l’autre lui tien les jambes, je commence par celui qui est à sa tête et lui décoche ma flèche puis plante mon couteau dans la gorge de celui a ses pieds. Tom panique, il se met a crier. Je lui saute dessus et lui ferme la bouche. « Chut Tom, maman est la. Calme-toi. Il se met a pleurer en me serrant la main. Je le soulève par les épaules « Allé suis moi. Je fini par trouver la grille dont il m’avait parlé. C’était l’ancienne arène, un puis a ciel ouvert au cœur de la montagne. Maman l’avais fais condamné mais Eliott, kyle et moi on passé par là grille de ventilation, c’est ce qu’il m’a racontait. On y entre avec Tom et barricade la grille avec ce qu’on trouve puis on s’effondre tous les deux. On pleure un long moment chacun de notre côté, puis on se sert dans les bras. Il me raconte son histoire, il n’a jamais reçu mon message et c’est fais choper en pensant trouver Kyle chez Noémie, je ne lui demande pas pourquoi mais lui raconte la photo. « Tu crois que c’est possible ? Elle aurait pu faire sa ? « C’est la sœur de Ben sav…. En même temps, c’est la seul qui avait accès à tout nos téléphones… elle aurait bloqué ton numéro pourquoi ? « Elle a toujours eu un faible pour Kyle, « C’est vrai qu’elle a essayé de prendre ta place dans la famille mais… j’te jure Sav j’ai cru qu’il t’avait fais plié. Tu donnais plus de nouvelles « Vous n'en preniez pas… « on avez les boules pour Kyle… « vous n’avez pas cru en moi « Si, si bien-sûr, tu l’aurais vu m’man… on pensait qu’il allait se tirer une balle. Je ne sais pas, sur le moment on a pensé plus a le soutenir lui et a ne pas perdre de vu l’objectif. Tu nous a tellement habitué à te sortir de situation extrême, je croix qu’on c’est tout simplement pas posé la question m’man désolé. Il renifle. Et toi alors c’était prévue ? « Plus ou moins, pas dans ses circonstances en tout cas… je lui raconte ma version. « m***e m’man mais il te faut un médecin là ! « Si tu en connais un, autre que celui empilé dans le charnier là-bas, prend moi rendez-vous. Je lui fais un clin d’œil avec un peu d’amertume. « Du coup t’a un plan ? « te faire sortir « et Sucker ? « C’est plus ma place… ils m’ont tourné le dos Tom « Laisse leur l’occasion de s’expliquer. « Ils t’ont laissé crever ici aussi Tom… « Je veux l’entendre de leur bouche… « je te fais sortir, va les chercher tu verra bien. Moi je retrouve Jared et Steeve après je fais tout péter. « M’man… se qui se passe ici c’est horrible… il se saute dessus, abuse les uns des autres, ils se mangent entre eux p****n. Ils…ils ont une pièce où ils les pendent comme des saucissons…les plus fou ressemble a des bêtes… ils arpentent les couloirs plus profond et se nourrissent de rat ou de gars qui passe par la. « Qu’est ce que tu faisais la toi ? « J’ai réussi à me détacher…je cherche la sortie depuis 2 jours. Je sens la fatigue me monter, j’installe une pile de planche pour essayer de ne pas être trop mouillés au sol et avec Tom on se colle pour dormir. « Ça va aller m’man ? « on va s’en sortir Tom, on s’en sort toujours.. « Non m’man toi ? Ça va aller ? Tu peux compter sur moi tu sais… Il me prend dans ses bras et je me met a pleurer en me tenant le ventre, je perdais beaucoup de sang. Dans la nuit j’eu des crampes horrible… c’est fini mon espoir s’envolais plus la douleur s’intensifié. J’étais égoïstement contente que Tom soit avec moi cette nuit la. Il ne m’a pas lâchée, un orage terrible a éclaté, la pluie a balayé le sang de mon visage mais aussi celui que je perdais, il a plut trois jure entier, on était frigorifié, pour ma pars si c’était pas de l’hémorragie c’était l’hypothermie ou la septicémie qui me tuerai. L’orage a fini par partir emportant tout trace de quoi que se soit avec lui… même si on avait pu boire grâce a la pluie la faim était devenu insoutenable. « laisse moi venir avec toi Savannah t’es pas en état ! « Tom le prend pas mal mais tu fais beaucoup trop de bruit et tu tiens pas sur tes jambes… Si tu te fais chopper, je suis pas en état de venir te sauver…. « Si ça arrive M’man, tu me laisse crever ici et tu te casse de là seul ! « Je ne peux pas…. (Ma gorge se sert) J’ai beaucoup trop perdu, je ne sacrifierai plus personne pour mon combat. « C’est le nôtre a tous Sav. « Plus maintenant chaton... je ne veux plus jamais perdre quelqu’un.
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