— Mais mademoiselle Paule ? — Oh ! elle adore son frère, elle ; mais ce n’est certainement pas son ascendant qui a pu agir en quoi que ce soit sur sa belle-sœur. Toutes deux savent, d’ailleurs, que Valvèdre n’aime pas qu’on le suive et qu’on le tiraille pour le déranger de ses travaux. Il doit y avoir quelque chose là-dessous, et je cours m’en informer, s’il est possible de le savoir. Moi, je courus m’habiller, espérant que les voyageuses dîneraient dans la salle commune ; mais elles n’y parurent pas. On les servit dans leur appartenant, et elles y retinrent Obernay. Je ne le revis qu’à la nuit close. — Je te cherche, me dit-il, pour te présenter à ces dames. On m’a chargé de t’inviter à prendre le thé chez elles. C’est une petite solennité ; car, de la terrasse, nous verrons, à neuf he