« Chère Elina ! charmante Elina ! divine Elina ! » Et comme la dame retirait sa main et le regardait d’un air un peu choqué, il promena les yeux autour de lui avec surprise, tout en s’asseyant sur le fauteuil qu’elle lui indiquait. « Qu’est-ce que vous cherchez ? lui demanda-t-elle. – Je cherche si M. Leblond n’est pas caché dans quelque coin. – M. Leblond n’a pas besoin de se cacher ici, il y est toujours le très bien venu. Vous avez pu en juger vous-même. – En effet, il est chez vous comme chez lui. – Du moment que je ne le trouve pas mauvais, personne n’a le droit de s’en plaindre. – Eh quoi ! méchante, vous prétendriez… – Monsieur de Valberg, ménagez vos expressions, je vous prie. – Pardon. Je voulais dire : Eh ! quoi, madame, vous prétendriez que vous ne m’aimiez pas il y a tr