Chapitre Vingt-et-Un Il faisait encore nuit lorsque Mon adj’ entendit la trompette sonner trois coups. “On se fait attaquer, les gars!” hurla-t-il en sortant de son sac de couchage. “Allons-y!” Tout le monde se leva rapidement, et s’équipa. Cateri suivit Mon adj’ hors de la tente, avec son arc et ses flèches. Le soleil n’était pas encore levé mais ce serait bientôt l’aube. “Il faut qu’on trouve où sont Liada et Tin Tin,” dit Mon adj’, “pour savoir où ils nous tombent dessus. Est-ce que quelqu’un sait où elles dorment?” “Moi, je sais,” dit Kawalski. Mon adj’ fixa la mentionnière de son casque et alluma la radio. “Prenez des munitions en plus.” Il compta les têtes pour être sûr que tous étaient prêts pour le départ. “Pas le temps de seller les chevaux. Mettez-vous en binômes et on y v