– En ce cas, reprit Marcoine, vos clercs doivent être bien heureux, Monsieur. Ils doivent trouver la besogne toute mâchée ; ce n’est pas comme chez nos patrons de Paris, dont nous faisons les affaires et qui perçoivent les bénéfices. – Ah ! monsieur est dans la cléricature ? dit M. Bador en regardant le jeune homme par-dessus l’épaule. – Et dans le notariat, repartit le jeune homme en mesurant M. Bador d’un air très-dédaigneux. – Ma foi ! Messieurs, dit le baron, puisque chacun de vous veut bien dire ce qu’il est, je crois devoir vous montrer la même confiance : je m’appelle Armand de Luizzi, et je ne fais rien. – Voilà un bel état ! dit M. Furnichon, en se levant de toute sa belle taille et en se cambrant devant un petit miroir ; mais il faut espérer que cela nous viendra, car j’ai as