XVÀ peine Mariette avait-elle prononcé ce mot, qu’une chaise de poste, passant rapidement près d’elle et de Luizzi, les força de s’écarter aux cris de gare ! que poussait le postillon. Luizzi jeta un regard rapide dans la chaise, et reconnut Fernand et Jeannette qui en occupaient le fond. Fernand se pencha à la portière et cria à Armand sans faire arrêter ses chevaux : – N’oubliez pas ma lettre à M. de Mareuilles, je vous la recommande ; c’est un de mes bons amis. Luizzi crut remarquer que la mouche qui avait piqué Fernand ne l’avait point abandonné, et qu’elle avait agité et fait frémir ses ailes au moment où ce jeune homme lui avait fait sa recommandation. Luizzi était tellement préoccupé de tout ce qu’il venait d’entendre et de tout ce qu’il avait vu, il eût payé si cher un moment de