When you visit our website, if you give your consent, we will use cookies to allow us to collect data for aggregated statistics to improve our service and remember your choice for future visits. Cookie Policy & Privacy Policy
Dear Reader, we use the permissions associated with cookies to keep our website running smoothly and to provide you with personalized content that better meets your needs and ensure the best reading experience. At any time, you can change your permissions for the cookie settings below.
If you would like to learn more about our Cookie, you can click on Privacy Policy.
Ah, lord de Stair, je vous connais bien ! Loin d’ici, ou je vais dérober votre âme, et vous renvoyer hurlant à travers la forêt, à l’état de loup-garou farouche, oui, quand vous invoqueriez à grands cris votre fragment de la vraie croix. Assurément, ce n’est pas la force qui manque dans ces vers, mais on ne peut s’empêcher de se demander si c’est bien la langue générale que parlera la future Renaissance romantique. Est-ce que nous allons employer le dialecte écossais et employer le mot mune à la place de moon, celui de saul pour soul ? Non, je l’espère. Et pourtant si cette Renaissance doit être quelque chose de vivant, d’animé ; elle doit avoir sa marque linguistique. De même que le développement spirituel de la musique, le développement artistique de la peinture ont toujours été accom