VII Le trou de SatanRetournons maintenant à la salle à manger, où les forgerons et les serviteurs demeuraient toujours après le départ des maîtres. La vieille Jeannon en sa qualité de sexagénaire, et par conséquent de plus instruite des choses du temps passé, tenait le dé de la conversation. – Il n’empêche, disait-elle que voilà de retour ce marquis que Satan confonde ! M’est avis que le guignon de Flars revient. – Tais-toi, vieille, dit le père Jean, désignant d’un regard oblique les forgerons introduits par le marquis. – Bah ! bah ! on peut me chasser, mais on ne me liera point la langue, vieux gars. Je dis ce que je dis : quand la Parisienne et son cousin sont entrés ici, le malheur est entré de même. – Pour çà, allait dire un forgeron, c’est vrai… Mais la peur ferma prudemment s