– Père Madurec, interrompit le Parisien, je ne sais quel mal vous a fait l’amiral Lorgnon ; à tout propos, vous dites de lui pis que pendre. – J’ai tort, peut-être, répondit le gabier de beaupré, mais c’est surtout en vous contant l’Ombre d’un Navire que je pense aux traits dont il est l’auteur, vu que je me rappelle comment cette histoire est venue au sujet de notre pauvre Caboulot. – Un fin matelot ! murmura Prigent. – Un bon travailleur ! ajouta Cestac. – Un brave gabier ! fit Gimblard. – Un cœur d’or ! reprit Madurec en soupirant. Eh bien ! l’amiral Lorgnon faillit le rendre fou à bord de l’Inflexible, à force d’être mauvais envers lui… – Tiens ! demanda Bleu-de-Ciel, est-ce que Lorgnon était déjà amiral à bord de l’Inflexible ? – Non, répondit Madurec ; il n’était encore que ca