Clotilde, cependant, entra ; tandis que Charles restait dehors, intéressé par le hurlement continu du chien. – Ah ! mon Dieu, quelle odeur ! dit-elle. Qu’y a-t-il ? Et, lorsque Pascal lui eut expliqué l’extraordinaire catastrophe, elle frémit. Déjà, elle avait pris la bouteille pour l’examiner ; mais elle la reposa avec horreur, en la sentant humide et poissée de la chair de l’oncle. On ne pouvait rien toucher, les moindres choses étaient comme enduites de ce suint jaunâtre, qui collait aux mains. Un frisson de dégoût épouvanté la souleva, elle pleura, en bégayant : – La triste mort ! l’affreuse mort ! Pascal s’était remis de son premier saisissement, et il souriait presque. – Affreuse, pourquoi ?… Il avait quatre-vingt-quatre ans, et il n’a pas souffert… Moi, je la trouve superbe, c
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