Après ça, nous étions rentrés. Sur le retour, personne ne parlait. Mais je sentais bien les regards de tous le monde sur moi.
Chacun essayait de voir si j'allais bien après mettre faite presque v****r par ce porc.
Le plus étrange, c'est qu'après-avoir relâché la pression dans les bras du démon plus aucune larme n'avaient gagnées mes joues. Rien.
J'étais rapidement partie dans ma chambre. Et m'étais douché. J'avais frotté tellement fort que ma peau avait rougis. Presque brûlé, à cause de la force que j'y avais mise.
Mais comme toujours, j'avais ce besoin d'effacer les traces de ses mains qui m'avaient touchée.
Aucune larme.
Aucun sanglot.
Aucun cri.
Rien. Si ce n'est le vide. Le néant. Un peu comme mon âme...
Après ma douche. J'avais enfilé un débardeur et un short. Puis je m'éta
