Ma respiration était maintenant hachée et saccadée.
J'étouffais! Bordel. J'allais mourir asphyxiée !
J'étais maintenant plaqué contre son torse, son bras entourait toujours ma taille. Et sa tête était logée dans mon cou.
- Arrête de faire ça, dit-il la voix dangereusement basse.
- Qu... Quoi ? Répondis-je difficilement.
- De me fuir. Claqua-t-il aussitôt ; arrête de vouloir tout le temps le faire !
- Non, je..., Puis ma voix se mourut dans ma gorge.
Quoi? Qu'est-ce que j'allais dire ? Non, je ne te fuis pas ?
Et bien SI!
Si, c'est exactement ce que je m'évertuais à faire! Et alors ?
Je sentis alors sa deuxième main caresser une fraction de seconde mes cheveux. Mais il se ravisa rapidement, en laissant retomber son bras le long de son corps.
Comme si ce geste l'avait brûlé de l'i
