J'étais tellement préoccupé à laisser ma peine se déverser que je n'avais même pas entendu la porte s'ouvrir à nouveau. Toujours là. Sur ce sol froid. Les yeux beignant dans mes larmes de souffrance. Deux bras m'avaient alors entouré, m'offrant une chaleur réconfortante. Ce parfum. Hadriel. Mon protecteur était là. Me maintenant fermement contre lui. Ma peine et mes larmes venaient de doubler, voir tripler. Il ne dit rien. Il ne fit rien. Il était juste là. Et c'était suffisant. Plus que suffisant même. Après avoir réussi à me calmer, mes sanglots avaient diminués. Pour laisser place, seulement à quelques larmes chaudes. Vous savez ces larmes brûlantes. Ces larmes qui viennent du fin fond de votre cœur. Ces larmes brûlantes. Ces larmes qui vous écorchent à vifs de l'intérieur. Ces