les défis de la vie

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Est-ce notre volonté de naitre dans une famille riche ? Est-ce notre volonté maudit ? Cette histoire parle de Jiro un frère jumeau accuser d'être le malheur de la famille vite il devient orphelin mais ne cessa de vivre il voulait prouver qu'il était quelque chose, durant toute sa vie, ce libérerait il de cette malédiction ?

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Tant qu'il y a la vie, il y aura la mort ; le bien, il y aura le mal ; la lumière, il' y aura les ténèbres, mais retient que tu dois toujours faire le discernement entre ce qui est juste et ce qui ne l'est pas ¨me disait mon père¨. La vie ne me souriait pas, les gens disaient que j'avais tué ma propre mère. En effet, au moment de notre accouchement, mon frère jumeau était sorti le premier et moi le deuxième, mais ce n'était pas facile parce qu'au moment de mon accouchement ma mère était vraiment faible donc j'étais né par césarienne, après quelques secondes de mon accouchement ma mère partie, j'étais gardé sous l'oxygène, mon père appela les devins, ils dirent à mon père de me donner un nom étranger puisque j'étais le fruit d'une malédiction. Après quelques heures, je revins à la vie et on me nomma Jiro du nom Jiro ko ce qui veut dire la `'renaissance'' et mon frère Jacques. Après quelques jours, nous quittâmes l'Hôpital et revinrent à la maison. Pris soin par notre tante Geneviève qui n'avait pas eu d'enfant et qui nous aimait malgré nos différences. J'aimais notre tante et aussi mon frère qui avait pris la beauté de notre mère, moi, je ne ressemblais ni à mon père ni à ma mère, personne de notre famille, peut-être est-ce une malédiction ? Après être revenu chez notre père à l'âge de cinq ou six ans, nous restons sous sa protection. À l'âge de 14 ans, j'aimais sortir, jouer avec mes amis. Il y avait une charmante jeune fille qui venait chaque vacance chez sa grande mère, avec son petit frère romain que je connaissais bien parce qu'on jouait ensemble. Peu à peu, je me rapprochais de la jeune fille d'une beauté hallucinante comme la rosée du matin. J'attendais avec impatience les nouvelles vacances, et puis le temps passa je ne me rappelle plus depuis quand j'ai commencé à aller chez elle, elle était chaleureuse intelligente, elle me suivait partout en disant qu'elle voulait connaître notre quartier. On a vécu longtemps, peu à peu, je commençais à nourrir un amour pour elle ; c'était la fin tragique d'un amour qui n'avait même pas débuter, mon frère jumeau était aussi amoureux d'elle et je compris qu'elle aussi aimait mon frère. Mais après elle partit pour la France, mais moi, j'avais oublié mon amour à sens unique. À l'âge de 17 ans notre père mourut d'une maladie du cœur. Après les pleines funérailles de notre père. On eut une réunion familiale pour décider où nous allons vivre, moi-même, je savais que je n'aurais pas la même occupation que mon frère, très vite, on enverrait mon frère chez notre tante (la sœur de mon père) moi, on avait prévu de m'envoyer chez le frère de mon père qui était militaire, mais je refusai, j'allai chez mon grand-père qui fut, lui aussi, militaire, c'était lui seule qui m'aimait donc au lieu d'aller en ville, je choisis la campagne, j'aimais ce village-là, il y avait de l'eau qui coulait des rochers un train qui passait toujours la soirée, c'était un monde béni le Corey. Et vite, j'eusse reçu par mon grand-père qui vivait seule, il était octogénaire, je l'aimais vraiment, on allait toujours avant le premier chant du coq dans son champ, il aimait planter les légumes, tout le monde l'appréciait dans le village, il était le plus âgé de tous, souvent après les récoltes, il partageait le revenu à nos voisins et avec ceux qui l'aidait. Tous les soirs, il racontait toujours ses exploits quand il était jeune, il se vantait, parlant de sa défunte femme avec des sourires aux lèvres des fois pleurant. J'aimais aller à la rivière pleine de cailloux dont l'opposé reflet les rails où le train passait toujours à l'aube et revenait vers le coucher du soleil ou pendant le crépuscule. J'étais en classe de terminale et j'étudiais zoologie, je n'étais pas vraiment intelligent ni sot, je réussissais dans toutes les classes. Mais à Corey l'école était très loin de notre village. La rentrée sera la semaine prochaine, mais je n’avais pas tant d’argent sur moi avec les légumes vendus, je n’avais pas tellement de moyens de m’acheter tout ce dont j’avais besoin, papi (nom commun de mon grand-père) appela ses fils de m’envoyer au mois certaines choses pour commencer la rentrée, ils acceptèrent, mais ils n’envoyaient rien. Je me suis dit en moi que si Dieu existait vraiment qu’il fasse un miracle, le jour suivant, on reçut certaines personnes qui se disaient des personnes de l’ASE qui aidait les démunis bien que je n’aimais pas exposer mes problèmes, ce fut un moment de panique et d’introspection, mais l’opportunité était ouverte pourquoi ne pas la saisir, j'ai reçu toutes les fournitures scolaires. J’étais vraiment content au moins mes bénéfices, je les réserverais pour les frais de scolarité puis pour toutes mes dépenses vraiment, c'était un miracle qui ne vient qu’une seule fois dans la vie, je me demandais pourquoi notre village et encore pourquoi les fournitures, mais j'ai reçu aucune réponse, et la vie continua comme elle était. Papy était vraiment content, mais pas plus que moi, je voulais courir dire aux gens que je suis une bénédiction par ce que de toute ma vie, je n’ai connu que des malheurs. Le soir venu, c’était un mercredi donc c’était une coutume pour nous de se rassembler tous les mercredi soir pour parler rire, c’était là-bas, j'ai eu le coup de foudre pour une fille qui était venu avec sa grande mère, aussi sa grande mère aimait tellement mon grand-père qu’après la fin de notre rencontre, elle restait toujours attachée à mon papy, c'est là-bas, je connus plus la fille, elle s’appelait Élisabeth et était muet à cause d’un accident avec ses parents ou elle eut une fracture au cou depuis ce jour, elle ne parla plus, elle était introvertie centre sur elle-même pensant qu’elle a tué ses parents, comme elle ne parlait pas, je ne savais pas comment l’approcher, je me demandais Est-ce qu’elle irait a l’école, mais le destin a fait qu’on s’est rencontrés, c’était un jour pluvieux, je retournais du champ et je la voyais tremper sous la pluie premièrement, je ne la reconnus pas, et je m’approchais d’elle pour la demander si elle allait bien et elle courut immédiatement, je me demandais si elle a honte que les gens ne sache pas qu’elle ne parlait pas ou quoi, mais je repris chemin, j'arrivai à la maison et papy m’envoyant donner des légumes à la grande mère d’Élisabeth et j'ai reçu une autre occasion de la rencontrer, mais quand j’étais chez eux, elle n’était pas là, je demandais d’après elle, on m’a dit qu’elle est allée au marché, au fait, elle parlait, mais sa voix ne portait pas tellement, c’est ce que j’ai remarqué, aujourd’hui était ma dernière occasion de la rencontrer demain serait la rentrée Est-ce qu’elle viendra à l’école, vite à la maison, je préparais mon cartable quand ses pensées sont revenues en moi Est-ce qu’elle viendra à l’école je questionnai mon grand-père et il me dit si elle viendra ou pas, je verrai ça demain et je me couchai.

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