Chapitre 13

4565 Words
Devant l'école il y avait un taxi qui l'attendait, elle est montée dans le taxi, a fermé la porte et est partie. En chemin elle n'arrêtait pas de penser à ce que Jay avait dit à Victoria, elle était très contente de la gifle qu'il lui avait donné, elle voulait l'avoir donné aussi, mais a décidé de ne pas s'impliquer, mais elle avait déjà beaucoup de problèmes. Après quelques minutes à l'intérieur du taxi, il s'arrêta devant un hôpital, elle ouvrit la porte et sortit et entra bientôt dans l'hôpital. Dès qu'elle est arrivée, elle est allée directement au comptoir et la fille l'a guidée où elle devait aller pour trouver la pièce, elle a pris les informations et les a mises en pratique. Elle marcha un peu et entra dans un couloir qui avait plusieurs portes et fenêtres transparentes. Isabelle s'arrêta devant une porte et sortit rapidement, ouvrant et entrant. La pièce était blanche et avait une fenêtre qui éclairait la pièce. Au milieu de la pièce, mais près du mur, il y avait un lit recouvert d'un rideau blanc, à côté de ce lit il y avait une petite table et une chaise. Isabelle s'est approchée du lit et a tiré le rideau pour qu'elle puisse voir qui était allongé sur son visage, quand elle a fini de tirer le corps de Zoe était là, la fille a semblé s'endormir dans un profond sommeil éternel, mais.... Zoe : MERDE ! VOUS AVEZ BEAUCOUP PRIS ! - Elle ouvrit les yeux d'un coup et fit une expression de colère. Isabelle : Désolé ! Mais il y avait une plus grande cabane à l'école, Jay a giflé Victoria au visage. - Dit-elle en redressant la chaise et en s'asseyant. Zoe : MENSONS ! - Elle a essayé de s'asseoir dans son lit, mais ressentait toujours des douleurs au ventre. – NOTRE CE JOUR EST POMPE ! – Elle s'est mise à rire, puis s'est arrêtée parce qu'elle ressentait de la douleur. Isabelle : Mais comment va ton ventre ? Qu'est-ce qu'ils ont parlé? Zoe : Ils ont dit que j'avais de la chance que le couteau ne m'ait pas beaucoup enfoncé dans l'estomac, mais ils ont dit que j'avais perdu beaucoup de sang, mais ce trou, mais il n'a percé aucun de mes organes... Je ne sais pas , je n'ai pas bien compris. Isabelle : Tout le monde pense que tu es mort. - Il a dit en prenant son téléphone portable. Zoe : Laisse-leur faire, ils auront peur quand je serai belle et puissante, mais viens ici... Dis-moi quelque chose. – dis-je, curieux. Isabelle : Dis-le ! Zoe : Pourquoi es-tu sorti de la cafétéria en courant ? Je voulais savoir ce que Victoria t'avait dit. Isabelle : (elle inspira profondément) Ecoute.. C'est très intime, tu sais ! - Elle a baissé les yeux presque en pleurant. Zoe : C'est bon si tu ne veux pas le dire. - Il a souri. Isabelle : Je ferais mieux de te le dire tout de suite, on a tellement vécu que je ne peux pas te le cacher. - Il a rendu le sourire. Zoe : Ah ! Isabelle : Alors... ouais. Elle déglutit difficilement. – Quand j'étais petite, vers 5, 6 ans, je vivais avec ma mère, elle était séparée, j'ai deux sœurs et lui, mon père a pris ces deux sœurs et je suis resté avec elle. Dès qu'il a quitté la maison, elle a mis un gars à vivre avec nous, il se promenait toujours nu dans la maison près de moi et il faisait toujours quelques mouvements avec son pénis. - Elle s'est arrêtée pour se retenir de pleurer, alors que Zoe était effrayée par ce qu'elle entendait. - Parfois ma mère quittait la maison et il restait avec moi et il y avait un jour où il allait me donner un bain, je ne pouvais pas prendre de bain seul, mais il est allé me le donner, je me suis mis nu et alors il l'était aussi, je me souviens qu'il n'arrêtait pas de mettre les doigts sur... Em. Ah ! Savez-vous. - Elle a dit avec difficulté. Zoe : Euh ! - Dit presque en pleurant et surpris. Isabelle : Il n'arrêtait pas de se toucher devant moi et me demandait d'aller le toucher, jusqu'à ce qu'il ait dû attendre un moment avant qu'il... Qu'il... - Elle a essayé de dire, mais s'est mise à pleurer en se rappelant le viol. Zoe : Non, s'il te plait arrête ! - J'ai dit en suppliant. Isabelle : Laissez-moi continuer, s'il vous plaît. - Elle a essuyé ses larmes et a recommencé à compter. - Il a commencé à faire la pénétration. Zoe leva les mains vers sa bouche choquée. – C'était horrible, c'était une douleur horrible et il a dit que si je le disais à quelqu'un, il me tuerait. - Dit en pleurant encore plus. - Je voulais le dire à ma mère, mais elle n'arrêtait pas de dire que j'étais responsable de la séparation de mon père et ainsi de suite. Elle m'a toujours rabaissé et a dit que je ne serais personne dans la vie, c'est pourquoi je suis devenu cette fille savait dans le passé... Une fille qui avait peur, que tout le monde se moque d'elle, mais tu m'as montré que je ne suis rien A dit que tout le monde parlait de viol ? Il n'y avait aucun moyen que je puisse oublier, mais tu m'as fait oublier ça d'une manière ou d'une autre et je ne sais pas, tu as fait disparaître cette douleur. Zoe : Nan ! Je n'ai rien fait, je suis content que tu me fasses confiance pour te dire ton secret. - Elle a souri. – A propos du viol, c'est parti, c'est parti... Maintenant tu es une nouvelle personne, tu es une personne forte, j'ai aussi traversé beaucoup de choses difficiles, mais je m'en fiche, tu sais Pourquoi!? Parce que tout passe, si je continue à me souvenir de tout le mal qui m'est arrivé, je ne grandirai jamais, je pleurerai toujours dans les coins, je sais qu'un jour ces gens paieront pour le mal qu'ils nous ont fait, c'est pourquoi je ne m'embête même pas avec ça. - Il a souri. Isabelle : Ooownt, merci d'être mon amie. Elle se leva de sa chaise et se dirigea vers le lit et serra son amie dans ses bras. Zoe : De rien mon amour, je te remercie d'être venu dans ma vie. Les deux se lâchèrent et essuyèrent leurs larmes. Zoe : Maintenant, dis-moi quelque chose... Comment l'a-t-elle découvert ? – Elle a demandé curieusement. Isabelle : Je n'ai jamais su ! Mais elle découvre toujours tout, mais j'en sais aussi beaucoup sur elle. Zoe : Utilisons ça pour l'achever, si elle veut la guerre, elle aura la guerre... OH !!!!!!!!! - Elle a dit en criant de peur. Sa tante était arrivée, ouvrant la porte avec une telle force qu'elle fit sursauter les filles. Martha Len : QUE S'EST-IL PASSÉ ??????? CETTE MERDE AU COUTEAU, LA MORT... Êtes-vous fou?? - Dit-elle en entrant dans la pièce comme une folle en se coiffant les cheveux et en jetant son sac par terre. – Salut Isabelle. - Il a souri quand il s'est rendu compte que la fille était dans la pièce. Isabelle : Salut.- J'ai dit peur. – C'est ta tante ? - Demanda doucement Zoe. Zoe : Euh. - Dit sans expression. Martha Len : RETOURNONS À LA MAISON MAINTENANT ! PEU IMPORTE SI VOUS ÊTES MALADE OU AVEC UN CERVEAU RENDEZ-VOUS MAINTENANT. Elle se pencha, attrapa son sac à main et quitta la pièce en claquant la porte. Les deux se regardaient sans rien comprendre. Zoe : Tu vas chez toi ?? - Il a demandé. Isabelle : Je le ferai, c'est ça... Ma mère me tuera, mais je le ferai. - Il soupira. Zoe : Dommage... Parce que tu vas chez moi, tu n'entres chez toi que quand je t'accompagne. - Clignotant. [...] Quelques jours s'étaient écoulés depuis que la mort de Zoe avait été annoncée, mais même si tout le monde pensait qu'elle était morte, elle était chez sa tante avec Isabelle, qui a été suspendue par les ordres de sa tante. La mort de Zoe était un secret aussi bien à l'école qu'à l'extérieur, à l'intérieur de l'école personne ne pouvait en parler ou me dire qu'un élève avait été poignardé, à l'extérieur, sa mère ne pouvait pas savoir ce qui arrivait à votre fille. Les jours avaient passé et le week-end était enfin arrivé. Au cours de la semaine, Isabelle a appelé Adrian en lui disant qu'elle voulait le voir et qu'elle avait quelque chose de très important, elle s'est arrangée pour qu'ils se rencontrent chez elle. Isabelle voulait que Zoe rencontre sa mère, alors elle a emmené la fille samedi après-midi la voir chez elle. Les filles ont quitté la maison après le déjeuner et sont allées s'arrêter à proximité et sont montées dans le bus qui venait d'arriver, les deux se sont assises sur les derniers bancs qui se trouvaient près de la porte de sortie, Zoe s'est assise à la fenêtre et Isabelle s'est assise à ses côtés. Zoe : Je n'ai pas hâte de rencontrer ta mère, vraiment. - Elle est le visage de quelques amis. Isabelle : Je n'ai même pas hâte de la voir... Je veux juste vous montrer à quoi ressemble ma maison. Zoe : Est-ce que ce type sera là ? Parce que s'il est là... - Elle a commencé à élever la voix, faisant que le bus la regarde. – JE VAIS COUPER LE PÉNIS ET LE COLLER DANS CE CUL PLEIN. Isabelle baissa la tête de gêne, prit une profonde inspiration et dit en criant : – TAIS-LA, TOUT LE BUS REGARDE ! Zoe : LE PROBLÈME EST LEUR. - Elle regarda tout le monde dans le bus et bientôt ses yeux trouvèrent un beau garçon aux cheveux raides et noirs, il était très blanc et souriait, elle le regardait fixement et soudain il se leva et se dirigea vers les filles. Les deux regardaient le garçon qui soudainement. Il est passé directement par la porte de sortie. Isabelle : Qu'est-ce que c'était ? - Les deux se sont regardés et ont commencé à rire aux éclats, obligeant les gens à continuer de les regarder. – Bon sang, c'est le point suivant. Les deux se sont levés et ont donné un signal pour que le bus puisse s'arrêter, tandis que les deux attendaient que le véhicule s'arrête, les gens ont remercié Dieu pour leur sortie du bus. Lorsque le bus s'est arrêté, Zoe a été la première à descendre et avant qu'Isabelle ne descende du bus, elle a dit " TOUT LE MONDE f**k OFF " et est descendue du bus. Les filles se sont arrêtées et soudainement Zoe a commencé à suivre les traces de son amie. Le quartier où vivait son amie était très beau et avait de nombreux magasins et un endroit où les gens restent avec leurs familles, c'était comme un parc familial. La rue était très calme et il n'y avait pratiquement pas de voitures ou de bus qui passaient. Ils marchèrent un peu jusqu'à arriver à un très grand portail et large sur les côtés, de l'autre côté du portail il y avait des maisons les unes à côté des autres, comme ces films américains, il y avait un balcon et les maisons étaient très grandes. Après quelques minutes d'attente, Isabelle réussit à ouvrir la porte et ils entrèrent et commencèrent à marcher tout droit. Le village était très calme et comme si les maisons étaient vides, ce qui faisait très peur à Zoe. Isabelle : N'aie pas peur ! Ici dans le village les voisins sont vraiment calmes Zoe : Je vois. – J'ai dit peur. Isabelle : Une fois. – dis-je très doucement. – La voisine a commencé à être battue par son mari au milieu de cette rue et les gens qui étaient dehors n'ont rien fait, ils l'ont fait battre et l'ont laissée tranquille. - Il soupira. – Mais celui-là, c'était déjà très chargé. Zoe : Et pourquoi ça a arrêté d'être comme ça ? Isabelle ; parce que le gars qui m'a violée a commencé à v****r d'autres femmes et enfants. – J'ai dit sérieusement. « Les rumeurs disent qu'il a tué une famille parce qu'ils ont découvert que c'était lui qui violait les gens. Zoe : Les gars, c'est horrible. - Isabelle : C'est vrai ! - Dit un peu triste. - Oh! C'est la maison de fous dans laquelle je vivais. - Elle a pointé du doigt une belle maison blanche qui avait une maison devant elle. Ils marchèrent un peu et arrivèrent finalement sous le porche de la même maison, quand les deux arrivèrent à la porte, elle s'ouvrit toute seule faisant prendre peur aux deux avec la porte qui était de l'autre côté : FAITES L'ENFER. - Dit une femme brune et un peu plus grande que les deux amis ensemble, ses cheveux étaient noirs et étaient tout en désordre, elle portait une robe verte fleurie et se reposait. Isabelle est entrée dans la maison l'air de s'ennuyer et Zoe est entrée tout de suite et la femme a fermé la porte et s'est dirigée vers sa fille. Mme Kang : VOUS AVEZ BAISÉ b***h VOUS AVEZ ÉTÉ SUSPENDU, p****n !?? - Dit en criant. – ET TU M'APPORTES TOUJOURS UNE DE TES AMIS PUTAINS ICI ? QU'EST-CE QUE JE T'AI DIT ? JE NE VEUX PAS QUE MA FILLE SE MÉLANGE AVEC LA s****e ET C'EST QUOI CES CHEVEUX ? O SONT TES p****n DE LUNETTES QUE J'AI PAYÉ PRESQUE MILLE GAGNÉES ? PEUT TENIR CES CHEVEUX, CHIENNE PORTANT DES CHEVEUX LÂCHES Isabelle se tenait les bras croisés, écoutant juste quand Zoe regardait, effrayée et mourant de haine. Isabelle : Je n'attacherai rien, je garderai mes cheveux comme je veux. – J'ai dit sérieusement. Mme Kang : COMMENT ÇA ??? - Dit presque leva la main. Zoe : TU N'ALLES PAS LA FRAPPE, NON. - S'exclama. Mme Kang : Qui êtes-vous pour dire ce que j'ai et ce que je n'ai pas à faire ? - Dit en allant vers la fille. Zoe : Je suis Zoe, la meilleure amie de ta fille... Et tu es une g***e sans valeur, comment peux-tu appeler ta fille comme ça ? - Dit avec un ton de grossièreté. – C'est une fille formidable, je suis désolé qu'elle ait une sorcière pour mère, elle ne devrait même pas t'appeler mère, mais diable. Mme Kang : EST-CE QUE CES AMIS QUE VOUS AVEZ ? - Dit-il en regardant sa fille. Isabelle : JE NE DIS RIEN, ELLE A RAISON uu Mme Kang : En faisant bien comprendre à ma fille, s****e, tu verras ce que je vais faire de toi. Elle s'est approchée et a giflé Zoe exprès et a quitté la maison nerveuse. Isabelle : Ma maman est si gentille non ? - Dit ironiquement. Zoe : Un exemple de sa mère. - Dit sur le même ton que le même. Le salon de la maison était très beau, il y avait des meubles où ils gardaient des verres, des assiettes et des livres, il y avait aussi un très grand canapé de couleur vert foncé avec un ton grisâtre, près de la table il y avait une table avec quelques photos , Zoe a échantillonné d'elle-même et a pris le cadre photo qui avait trois filles, Mme Kang et un très bel homme. Isabelle : Ces filles sont mes sœurs. - Elle a dit en s'approchant. – Et ce type, c'est mon père qui habite loin d'ici. Zoe se taisait, rien ne se passait dans sa tête... Quand elle changea la direction de son regard elle vit une photo d'un homme qui avait une moustache, des cheveux un peu courts et un peu forts, il n'était pas gros, mais il l'a fait, de gros bras. Isabelle : Ce type est le type qui m'a violée. - Dit mourir de haine. 'Je… je…' Zoe la regarda puis fut effrayée par son attitude. Isabelle avait pris le cadre photo et l'avait jeté par terre avec colère, les deux se regardaient et un silence s'installa. – Je n'arrive toujours pas à croire que ma mère est toujours avec ce type, elle doit rompre avec lui… Je dois faire sortir cet homme de cette maison. Zoe : Mais ta mère ne te croira jamais... Les mots doivent sortir de sa bouche, ta mère te déteste et pour qu'elle te déteste il doit y avoir une raison. Isabelle : C'est comme je l'ai dit, elle me déteste pour le simple fait que mon père quitte la maison... Je voulais savoir pourquoi elle est en colère contre moi, ça ne devrait pas être que ça, j'en suis sûr. Zoe : Calme-toi, un jour tout le monde le saura. - Elle a souri. Soudain, quelqu'un frappa à la porte et Zoe s'assit sur le canapé. Isabelle sortit en courant et l'ouvrit, quand la porte fut complètement ouverte, qui était de l'autre côté était Adrian... Isabelle : ADRIAN ??? - Il sursauta en regardant les cheveux du garçon. – QU'AVEZ-VOUS FAIT DE VOS CHEVEUX ?? Adrian : Je... ZOE ?? - Il a été surpris et a ouvert un grand sourire quand il a vu la fille. Zoe : ADRIAN ??? Elle se leva du canapé et se leva. Puis Adrian est entré dans la maison d'Isabelle et s'est dirigé vers la fille qui se tenait au milieu de la pièce, lorsque les deux se sont approchés, ils ont fait une étreinte très serrée. Isabelle ferma la porte avec un visage de quelques amis regardant les deux enlacés ressemblant à deux amants. Adrian : Je pensais que tu étais mort. - Il a dit près de son oreille. - Content que tu sois en vie. - Les deux s'éloignèrent et la fille regarda bouche bée ses cheveux. Zoe : Mec, c'est quoi ces cheveux ? Vous êtes si mignon. - Dit en rougissant et en pleurant presque. Adrian : Ouais. - Dit tous gênés. – Mais… Comment vivez-vous ? J'ai vu le couteau entrer dans ton ventre ?? - Il a dit effrayé, heureux.Tous en même temps. - Isabelle pourquoi tu ne m'as pas dit ça avant ? Pourquoi me l'as-tu caché ? Zoe : Je lui ai demandé de garder ça secret... Je veux te dire ce qui s'est passé pour que tu comprennes pourquoi je l'ai fait. Isabelle : Mais pas ici ! Parce que ma mère peut être là à tout moment et ça va la faire flipper si elle voit un garçon ici. Zoe : Comme elle est, elle est capable de penser qu'elle traverse un tas de merde. - Il a souri. Isabelle : Et bien je suis d'humeur à faire une sorba avec cette blonde chaude. - Tout le monde a rigolé. – Mais sortons d'ici, je t'emmènerai dans un endroit près d'ici pour que nous puissions parler. Les trois ont quitté la maison en parlant beaucoup et en riant. Adrian n'a même pas prêté beaucoup d'attention à Isabelle, il voulait continuer à regarder Zoe qui lui expliquait ce qui s'était passé et pourquoi elle était là chez son amie. Isabelle a emmené ses amis dans un parc près de l'arrêt de bus qu'ils ont déposé. C'était très beau, même, il y avait de très gros arbres où les gens aimaient rester, ils ont vu un arbre et sont allés s'y asseoir. Adrian s'est assis au milieu et les filles se sont assises à ses côtés, devant elles elles pouvaient voir les voitures passer et les bus. Zoe avait fini de tout lui dire et Adrian était choqué par ce qu'il avait entendu. Adrian : Alors tu as tout fait pour que tout le monde pense que Victoria est la grande, mais c'est trop risqué fille, tout le monde était inquiet, surtout moi. – Il fronça les sourcils. Isabelle : Mais maintenant tu connais la vérité, mais je pense que le plan de Zoe a mal tourné et_e. Adrian : Pire que la vérité, tout le monde parle mal de toi, disant que tu l'as fait exprès et tout le monde voit Victoria comme une reine. Zoe : Les gars, mais c'est ce que je veux vraiment... qu'elle se sente à nouveau puissante et ensuite la pousser du haut. Isabelle : Et dis moi comment tu vas faire ? hein! Tout le monde pense que vous êtes mort et vous n'avez aucune preuve contre elle. Adrian entendit de quoi les deux parlaient et se souvint qu'il avait des preuves contre Victoria : - Je sais comment je peux t'aider. Zoe & Isabelle : COMMENT ? - Ils ont dit ensemble. Adrian : Avec ça. Il a sorti son téléphone portable de sa poche et l'a montré aux filles. Isabelle : Tu es devenue blonde et muette ? Comment un téléphone portable peut-il nous aider ? Adrian : Non, quand je suis allé te chercher. - Dit en se référant à Isabelle. – J'ai trouvé Victoria, Callie et Maya en train de parler de leur plan pour tuer Zoe. Zoe : C'EST COMMENT ? OO Adrian : Ecoute ça ici. - Il a joué avec son téléphone portable et a mis l'enregistrement pour qu'ils l'écoutent. Les deux écoutaient attentivement chaque mot qu'ils disaient... Quand l'enregistrement fut terminé, Zoe réfléchissait déjà à un plan... Adrian et Isabelle se contentèrent de regarder. Adrian : Qu'est-ce qu'elle fait ? - Il a demandé curieux. Isabelle : En pensant à un plan, surement 3 minutes ils se sont tus, jusqu'à ce que.... Zoe : Je sais ce qu'on va faire, j'ai besoin que tu me donnes cet enregistrement pour que je puisse le mettre sur un CD. Isabelle : Que comptez-vous faire ? – Elle a demandé curieusement. Zoe : Je te le dirai plus tard, mais j'ai besoin de ton aide pour mettre fin au règne de Victoria, qui est avec moi ? - Elle a souri. Isabelle : Tamo se joint à ça. - Il a rendu le sourire. Adrian : Bien sûr que je vais t'aider, nous sommes un trio, nous sommes ensemble pour tout. – Il a souri aussi. Zoe : Ravi de savoir que je peux compter sur vous les gars, vraiment sérieusement ^-^ mais... Avant que vous n'évoquiez le plan. - Elle prit une profonde inspiration. – Comment va Jay ? – Les deux trouvent la question étrange. – Pas que je me soucie de lui.. Mais je veux savoir comment il a raison. - Dit tout maladroitement. Adrian : Il était très triste et il a toujours raison, il pleure toujours dans les coins et il se dispute toujours avec Victoria et il s'est coupé les cheveux. Isabelle : COUPER ? Jacob aussi ? Adrian : Non, il ne le fait pas... Mais Axel le fait. Isabelle : Aaaah ! Elle baissa les yeux et eut un sourire timide. Zoe : C'est Ian ? As-tu aussi coupé tes cheveux ? - Dit en taquinant le garçon. Adrian : Ça a coupé, mais je m'en fiche, tu sais que tu veux essayer de nouvelles choses. Isabelle : Comme ??? - Il a retenu le rire. Adrian : Sexe avec des femmes... Zoe & Isabelle : Salut ????? - Ils ont dit peur. Adrian : Ça doit être bien, si ce n'était pas bien... Je veux essayer de nouvelles choses. Isabelle : Mais embrasser une femme ne suffit plus ? – Elle avait encore peur. Adrian : Non, je veux b****r, je sais si ça me plaira... Et je me demandais si l'un d'entre vous voulait perdre sa virginité avec moi ? - Il a regardé deux avec un regard timide. Isabelle : Ne me regarde pas je te b***e pas. Elle détourna la tête et il regarda Zoe. Zoe : Je pense qu'avoir des relations sexuelles est une chose très intime et que nous devons perdre notre virginité avec les personnes qui nous sont chères. – Il a eu peur. – Non pas que je ne t'aime pas, si, mais je dis rendez-vous. Isabelle : Dis juste que tu veux une bite, parce que je n'y vais pas. – Il a boudé. Zoe : Mais j'accepte de te b****r. – J'ai dit timide. Isabelle : QUOI ? - Il a regardé la fille effrayée. Adrian : Vraiment ? – Tu as fait quelque chose de timide. Zoe : Sérieusement, mais d'abord je veux te s***r. Adrian : Alors d'accord, ça pourrait être aujourd'hui ? Zoe : Oui, tu peux dormir chez toi aujourd'hui ? Isabelle a regardé les deux parler et marquer ce "petit honte" et a dit: - Je vais dormir chez moi, je ne veux pas vous entendre gémir tous les deux Zoe : Arrête de faire le clown, ma fille. (en riant) Isabelle : Ça va être aujourd'hui non ? Demain je vais chez toi car je ne veux pas dormir du dimanche au lundi chez moi. Adrian : Alors ça va, d'accord... Isabelle : Tout quoi ?? - C'était étrange. Adrian : Je fais référence au plan e_e. Isabelle : Aaaah oui ! je te connais Zoe : Oui, quand tu iras chez moi Lu je te donnerai le plan et Na, je te dirai le plan demain, d'accord. Isabelle : D'accord... Ah ! bon sexe pour toi uu Les deux se regardèrent sans comprendre l'ironie de la fille. [...] Tout allait bien pour le plan, Zoe était super confiante que ça allait marcher, mais elle était un peu anxieuse car elle ne savait pas comment tout le monde, surtout Jay allait la recevoir, elle avait simulé sa mort et c'est une chose assez sérieuse, mais elle savait que c'était pour une bonne cause. Mais une autre chose qui traînait également dans la tête de la fille était le petit secret de Victoria qu'Isabelle faisait tellement de mystère. Après que les trois amis aient quitté le parc, Adrian est allé chez lui et les filles sont allées à l'arrêt de bus. Pendant qu'ils étaient dans la voiture, Zoe en profita pour aborder le sujet du secret de sa rivale. Zoe : Isabelle ! Isabelle : Parle ! - Elle s'est tournée vers le même et l'a regardé. Zoe : Maintenant que nous sommes seuls, j'ai besoin que tu me dises sur quel secret de Victoria tu fais un tel mystère. - A rappelé la fille. Isabelle : Ah ouais ! - Il rit. – Écoute, si j'étais toi, je me préparerais, car le truc est tendu. Zoe : Isabelle ! Dis-le-moi bientôt fille. - Elle a dit déjà anxieuse et avec ses mains qui sonnent Isabelle : D'accord, mais ne dis pas que je ne t'avais pas prévenu. - Dit en faisant un mystère et en riant. Zoe : PARLER BIENTT ET ARRÊTER GRATUITEMENT. - Dit affligé. Isabelle : Alors, Victoria n'arrête pas de dire qu'elle aime Jay, n'est-ce pas !? - Son amie l'a confirmé en disant "ha-ham". « Alors… » Il prit une profonde inspiration. – En fait, ce n'est que mensonge, elle a une liaison avec Callie et elles sont toutes les deux copines… ooh, depuis longtemps. Elle claqua des doigts en parlant.
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