Chapitre 14

4721 Words
Zoe était paralysée d'apprendre ce côté lesbien de Victoria, mais elle était tellement choquée qu'elle ne pouvait pas croire ce qu'elle entendait. Isabelle : Je t'avais dit que c'était tendu... Mais il y a plus. - Dit calmement et avec un ton de mystère. Zoe : PLUS ???? Isabelle : Euh, tu as remarqué que Victoria n'aime pas beaucoup Maya, n'est-ce pas ? Zoe : Jambon... Quoi de neuf ? Isabelle : Alors, ah oui. Victoria sortait bien avec un garçon, puis ce garçon a aimé Maya et un jour, Victoria a surpris ce garçon en train d'embrasser Maya. – Zoe était encore plus choquée. – C'est pourquoi elle est en colère contre Maya, en plus, Maya a toujours été attachée à Jay et était comme lui, mais ensuite elle a été influencée par Callie qui sont les meilleures amies et c'est tout.  Zoe : Ah ouais ! Mais c'est le moins, à CHO-CA-DA comme une nana qui vient de sortir d'un œuf, comme si les Victoria avaient une liaison avec Callie, les gars. - Elle a commencé à imaginer les deux en train de s'embrasser et de se lécher le pepeka. – EKAAAAAAAAAAA ! Répugnant. Isabelle : Victoria est lesbienne ! Et elle forçait toujours les filles à baisser leurs jupes pour leur faire une pipe… Elle et Callie. - Son amie a fait des gestes comme si elle allait vomir et elle a commencé à rire, mais est vite devenue sérieuse. – Mais j'en ai aussi souffert. Zoe : SOUFFRAIT DE QUOI ? OO Isabelle : C'est vrai. - Il rit. Zoe : De quoi ? Isabelle : A partir de là... Zoe : Et ça ? Qu'en est-il de cela ? - Elle a dit confus. Isabelle : Qu'est-ce qu'on t'a sucé connard. Zoe : MAIS QUOI ? Isabelle : Et je vais te dire un truc... Se faire s***r c'est vraiment sympa, évidemment pas pour elle, mais la langue de Callie est délicieuse. - Dit-elle en se rappelant quand Zoe a fait une grimace dégoûtée. Zoe : Fais attention à ne pas te mouiller. - Dit avec ironie. – Et épargnez-moi les détails assortis. Isabelle : As-tu déjà été sucé par une fille ? - Demandé curieux après s'être souvenu. Zoe : JE NE SUIS PAS FOLLE, JE VOUS LAISSE, JE PREFERE LA LANGUE D'HOMME QUE LA LANGUE DE FEMME. A ce moment deux dames qui passaient par cet endroit avec une bible à la main et la regardaient avec des yeux désapprobateurs et l'une commentait à l'autre à voix basse : « ces jeunes gens sont des pervers, ils brûleront tous en enfer » « si mon petite-fille a dit qu'elle aimait la langue d'un homme que j'allais lui couper la langue". Zoe et Isabelle ont regardé les deux vieilles femmes partir, puis le bus est arrivé et les deux sont montés et se sont assis dans les rangées du fond pour continuer cette conversation chaude. Zoe : Mais viens ici, quelque chose que je n'ai pas compris... Tu es lesbienne ? o.o. Isabelle : Non, je suis bisexuelle, j'aime coucher avec des filles et des garçons, même si je n'ai jamais couché avec personne jusqu'à présent, mais je pensais que tu étais bi aussi, parce que tu m'as embrassé à la fête, tu te souviens ? rappelles toi..? Zoe : je me souviens mais j'étais bourré je huh uu Isabelle : Ah ouais, je sais... ivre, désolé que tous les bisexuels non-outs consomment. - J'ai ri avec elle. – Mais dis-moi quelque chose… Zoe : Quelle chose ?!. Isabelle : Est-ce que tu vas vraiment coucher avec Adrian ? – fait une grimace dégoûtée Zoe : Ah ! Je ne sais pas, je suis vraiment dedans, non... Je ne sais même pas pourquoi j'ai dit oui. - J'ai dit désolé. Isabelle : Je sais pourquoi... PARCE QU'IL EST TROP MIGNON, même moi j'allais dire oui. Zoe : Alors s**e-le toi !!! – À ce moment-là, tout le monde dans le bus l'a regardée avec de grands yeux. Isabelle : Baissez de voix. - Il rit. – Et je s**e vraiment, j'allais s***r cette bite chaude jusqu'à ce qu'il jouisse. Zoe : FILLE, ramenez ISABELLE KKKKKKKKKKKKKKK MON DIEU KKKKKKKKKKKKKKKKKK. Isabelle : Il doit avoir une grosse bite fine, hein, avec une tête rose, oh que c'est délicieux. Zoe : J'espère que c'est gros, parce que la bite de Jay a l'air grosse et la bite de Kris a l'air grosse. Isabelle : J'ai vu la bite de Jacob et elle est moyenne, mais ça doit être vraiment bien, car la fille n'arrêtait pas de bouger quand ils faisaient l'amour. Zoe : Isabelle. - Il rit. Isabelle : Il ressemble à un p****n de chien. - Elle riait et bientôt le conducteur du bus s'arrêta devant les deux et il ressemblait à quelques amis. Cobrador : Votre conversation dérange les passagers, je vais vous demander de descendre du bus. Zoe : Comment ça va ? - Il a fait la grimace de quelques amis. Collectionneur : Vous êtes trop novice dans ce type de conversation. Zoe : Et de quoi veux-tu qu'on parle ? A propos du piru de Ken ? Du vagin de Barbie qui n'existe pas ? Isabelle retint un rire. Cobrador : Tu es très grossière, espèce de fille impolie, tu as bien mérité des gifles. Zoe : Et tu méritais de prendre ta vie en main parce que mon ami et moi payons ce voyage, si les gens sont gênés par nos conversations qu'ils achètent un casque ou prennent un autre bus. Isabelle : Fille... C'est notre propos, maintenant. - Dit-il en tirant le chemisier de la fille et en la saluant. Zoe : Heureusement pour toi petit piru, je parie que tu dois avoir plus de morveux que de piru sous ce pantalon percé. La jeune fille a fait rire certains passagers et elle et son amie sont descendues du bus en commentant et en disant du mal du conducteur jusqu'à ce qu'elles arrivent chez elle. Dès qu'ils sont rentrés à la maison, il était tard et les deux sont allés raconter à leur tante ce qui s'était passé à l'intérieur du bus, bien sûr elle est morte de rire. Ils passèrent du temps à discuter et après quelques minutes ils prirent une douche. Avant de se coucher, Zoe et Adrian échangent des messages pour organiser ce qui serait leur première fois. Zoe : C'est possible de rouler demain ? C'est un peu tard. Adrian : "Pas de problème. Je n'ai même pas dit à ma mère que j'allais dormir dehors" Zoe : "Très bien alors... Demain on le fera". Adrian : "Je meurs d'envie qu'il arrive demain bientôt. Zoe : "Moi aussi" a-t-elle écrit, mais en fait elle était super énervée "Je meurs de sommeil, à demain bonne nuit oppa". Adrian : "bonne nuit Zoe". Le lendemain matin tout s'est très bien passé, les filles se sont réveillées et ont pris leurs douches, leur petit déjeuner, Isabelle a profité du beau temps pour se promener, Zoe a profité de la présence de sa tante à la maison pour lui parler de ce qui allait se passer ça nuit. Martha Len, la tante du même, s'était réveillée très tôt et était dans sa chambre en train de choisir une variété de vêtements. Elle allait dans son grand placard blanc, prenait une robe qui se trouvait dans une cabine suspendue, rassemblait la robe sur son corps et se rendait au miroir pour voir si cela lui convenait. Zoe a juste regardé le mouvement de sa tante d'un côté à l'autre. Elle voulait entrer dans la pièce, mais elle était très nerveuse, ses mains n'arrêtaient pas de transpirer, son dos aussi commençait à transpirer de nervosité, un côté d'elle voulait entrer dans la pièce et tout lui dire tout de suite, l'autre Side voulait abandonner, décrocher son téléphone portable et dire "Adrian! Je n'ai plus envie de faire l'amour", mais elle avait peur de blesser son amie et avait peur d'être giflée par sa tante. La fille était tellement perdue dans ses pensées qu'elle ne remarqua pas que sa tante était à la porte de la chambre, la tirant par le bras et demandant de l'aide pour l'aider à choisir une robe. Martha Len : VOUS DEVEZ M'AIDER, J'AI UNE FÊTE AVEC VOTRE ONCLE ET JE NE SAIS PAS QUELS VÊTEMENTS PORTER. – Dit-elle en jetant la robe sur sa nièce qui était assise sur le lit en regardant vers le bas. – J'AI UNE FÊTE TRÈS IMPORTANTE ET TOUS LES VÊTEMENTS QUE J'AI, J'AI DÉJÀ UTILISÉ. - Elle a continué à ramasser les robes et à les jeter sur elle. – J'AI BESOIN D'AIDE, D'AIDE !!!!!!!!!!!!!!! - A crié. Zoe : TANTE BESOIN DE VOUS PARLER. - Dit en retournant le cri et en enlevant lui-même la robe et en jetant tout par terre avec colère. Martha Len : J'ai trouvé la robe que je n'ai jamais portée. – La robe était blanche et sans manches, elle avait des détails scintillants qui au contact du soleil brillaient encore plus, elle se dirigeait vers le miroir, joignait la robe à son corps et était admirée. – Maintenant, dis ce que tu as à me dire. Elle s'est tournée alors qu'elle était assise sur le lit vers la même personne qui se regardait toujours dans le miroir, elle a regardé une de ses jambes sur le lit et a soutenu son bras droit et a fait claquer sa tête du même côté qui soutenait son bras, elle prit une profonde inspiration, ouvrit un sourire et dit : - Zoe : Ce soir j'amène un garçon ici à la maison et... ... - Il s'arrêta et déglutit. Martha Len : Hein ? - Elle est devenue si sérieuse qu'elle a été surprise. Zoe: *prend une profonde inspiration quand elle voit l'expression de sa tante* et... Lui et moi avons convenu de faire l'amour ici aujourd'hui... - Dit-elle toute embarrassée. - Cool hein!? - Il a fait un petit sourire en montrant ses dents. Martha Len : AVEC QUI ? PENSEZ-VOUS QUE JE VAIS LAISSEZ MA NIÈCE PERDRE SA VIRGINITÉ ICI ? JUSTE DANS MA MAISON ? - Il a crié si fort que les pigeons à l'extérieur se sont envolés. - QUEL EST VOTRE PROBLÈME? La fille était surprise et sans voix. Martha Len : MAINTENANT DITES-MOI LA CHOSE, AVANT QUE JE T'APPELLE LA PIRE CHOSE QUE JE PENSE. Zoe : Ouais. - Dit entre ses dents presque aucun son ne sortait. Martha Len : C'est Jay ? - Il a ouvert un sourire. Zoe : Non. – Étrange. Martha Len : N'EST-CE PAS IL ?? QUI EST LE BUM QUI b***e AVEC VOUS ? - L'ancienne expression est revenue. Zoe : C'est Adrian... Un de mes amis, il est gay et voulait savoir ce que c'est que d'avoir des relations sexuelles avec une femme. - Dit pâle. Martha Len : Oh hein gay ? Wow Zoe : C'est o.o. Martha Len : Ah tah, alors peut... Oh ! Tu peux faire l'amour partout dans la maison aujourd'hui, je ne serai pas à la maison. – La fille a encore eu peur. – Et si tu veux un préservatif, si tu n'en veux pas, tu en voudras parce qu'il faut se protéger, il y a des promenades ici dans ce placard à côté du lit. - Dit-elle en pointant du doigt et la fille regarda l'endroit. – Bon p****n ! - Il a souri. Zoe : D'accord... - Elle a dit toujours effrayée Martha Len : SORTEZ MAINTENANT DE MA CHAMBRE AVANT QUE JE LAISSE LES YEUX. – L'ancienne expression est revenue et la fille s'est enfuie et a verrouillé la pièce. Dès qu'elle est arrivée dans sa chambre et qu'elle a fermé sa chambre, elle a reçu un message d'Isabelle lui disant qu'elle allait dormir chez sa mère, car elle ne voulait pas entendre ses bruits en train de coucher avec son "petit copain". Zoe était tellement stressée qu'elle s'est endormie, en fait elle s'est tellement endormie qu'elle ne s'est même pas rendu compte que sa tante était partie et qu'il faisait déjà nuit. Elle s'est réveillée si effrayée que la seule qu'elle a vue après s'être réveillée était la lettre qui était sur le sol de sa chambre, elle s'est levée à moitié en chancelant et s'est penchée et a ramassé la lettre, s'est levée et l'a ouverte, dès qu'elle l'a ouvert, elle s'est rendu compte que la lettre faisait référence à votre tante, dans la lettre dit qu'elle a beaucoup frappé à la porte, mais s'est rendu compte qu'elle dormait et a dit qu'elle ne reviendrait que l'après-midi le matin et qu'elle devoir prendre le bus pour aller à l'école et qu'elle a laissé de l'argent dans la cuisine où c'est les cuillères, elle a envoyé un bisou, une bonne nuit et une "bonne b***e et ne tombe pas enceinte", elle a souri et a vite entendu quelqu'un sonner la cloche, elle a désespérément ouvert la porte de sa chambre et est descendue presque en tombant, dès qu'elle est arrivée à la porte, elle l'a ouverte avec une telle proie qu'elle a été effrayée par quiconque était à l'extérieur. Zoe : Adrian ? - J'ai eu peur Adrian : Salut - Il a dit embarrassé et en riant. Zoe : Oh mon dieu c'était aujourd'hui, allez ma fille, il fait froid dehors. - Il entra dans sa maison et resta debout à la regarder pendant qu'elle fermait la porte et réparait ses cheveux qui étaient tout en désordre, elle se tourna vers lui. – Content que tu sois arrivé, je t'attendais. - Ses yeux n'arrêtaient pas de cligner et elle se mordait la lèvre inférieure. Adrian : Apparemment... Euh... - Il l'a regardée de haut en bas. – Tu ne m'attendais pas, tu avais l'air de dormir. - Il rit. - Admet le. Zoe : Oui, je dormais. Elle ferma les yeux et faillit tomber, mais ensuite elle se réveilla et croisa les jambes et mit ses mains sur ses hanches. - AVONS DU SEXE ? UHUUUUUUUUL. - Elle s'est mise à crier quand Adrian l'a regardée étrangement sans comprendre et sans rire. Adrian : Ouais, d'accord. – il a jeté son sac à dos sur la première chaise à proximité et a suivi la fille (NOTE : il portait une veste noire avec une lettre en forme d'EXO sur la poitrine en blanc, un pantalon de la même couleur et des chaussures de tennis également de la même couleur avec des détails sur le côté blanc). Zoe monta les escaliers à reculons, s'appuyant sur la rampe et l'appelant avec son autre main avec son index et passant sa langue sur ses lèvres en disant : RENCONTREZ TARZAN, VENEZ MON TARZAN, VENEZ!" Le garçon avait tellement peur qu'il se retourna pour voir si elle lui parlait vraiment, quand il vit qu'il n'y avait personne, il haussa un sourcil et continua selon la fille jusqu'à la chambre de son oncle. Lorsqu'il entra dans la pièce elle était sans chemise, en fait sa chemise était dans sa bouche, elle la mordait pour essayer de séduire le garçon qui avait encore plus peur. Adrian a essayé de se concentrer sur ses seins amples, mais la folie était de trop. Adrian : Tu vas vraiment bien ? Vous avez l'air un peu drogué ? - C'était étrange. Zoe : Je suis droguée, oui. - Elle a jeté le chemisier par terre et est allée au sol, elle a mis ses mains sur ses épaules et l'a poussé en arrière, lui qui avait les mains baissées a fermé la porte et les deux sont restés là, il a eu peur et elle... .. – Je suis drogué au SEXE. Il secoua la tête en criant le mot. Adrian : Je pense que c'est mieux... Zoe : Psst...... - Elle a posé son index sur ses lèvres pour se taire et l'a regardé profondément dans les yeux et est devenue sérieuse. - Aujourd'hui je veux te faire sentir comme un homme, je veux te donner le plus grand plaisir de ta vie. - Elle gloussa, puis redevint sérieuse. – Oublie tout, tout le monde et concentre-toi sur ça ici, concentre-toi sur nous, laisse ce sentiment te prendre et embrasse-moi comme tu ne m'as jamais embrassé. En entendant ces mots, il enroula ses bras autour de sa taille et l'embrassa avec une telle intensité qu'elle se souleva un peu du sol. Zoe a mis ses mains sur la porte et a commencé à l'embrasser avec intensité, leurs langues semblaient danser l'une avec l'autre, la chaleur du b****r était si forte qu'elle a obligé Adrian à enlever son manteau et à l'enlever complètement sans le haut et ils ont tous les deux se sont remis à s'embrasser comme s'ils ne s'étaient jamais embrassés. Adrian était si sexy qu'il a arrêté d'embrasser la fille et a commencé à prendre de légères bouchées et à lui faire des petits suçons dans le cou. Elle ressentait tellement de plaisir et était tellement cédée au moment que dès que ses lèvres avaient raté les siennes, lui vint bientôt dans la tête le b****r qu'elle devait à Jay. Cela ne la quittait pas du tout l'esprit, mais pendant qu'elle pensait à lui, Adrian descendait avec ses baisers et se dirigeait vers ses seins, elle posa sa main sur sa tête et essaya de s'y soumettre, mais elle n'y parvint pas, comme je pensais que je trompais Jay d'une manière ou d'une autre. C'était une bataille à laquelle elle faisait face à un très mauvais moment et elle ne savait vraiment pas quoi faire. Adrian cessa d'embrasser le sein de la jeune fille et s'accroupit un peu, posa ses mains sur sa cuisse et la souleva, elle s'appuya sur ses épaules pour ne pas tomber. Il a emmené la fille au lit et l'a jetée, puis il s'est penché sur le lit et a commencé à embrasser son ventre guéri, Zoe a fermé les yeux pour essayer d'oublier Jay, mais cela n'a pas fonctionné et les baisers d'Adrian sont devenus encore plus lancés, jusqu'à ce qu'il déboutonne le mini short de la fille et quand elle le sentit tirer la fermeture éclair, elle se pencha sur le lit et s'exclama : -Zoe : NON ! POUR! - Dit avec désespoir. – Je… je ne peux pas, désolé. - dit-elle presque en pleurant et en fermant le bouton de son short Adrian : Mais qu'est-ce qui s'est passé ? Tout se passait très bien. – Il s'est assis sur le lit, juste en face d'elle. Zoe : J'ai essayé de devenir folle, mais ça n'a pas marché... J'ai essayé de me donner à toi... Mais ça n'a pas marché. – pleurnicher Adrian : Tu n'as même pas besoin de me dire pourquoi. - Il a dit en reniflant. – Jay. Zoe : Euh... Ecoute... - Elle a mis sa main derrière sa tête et a commencé à se gratter en essayant de s'expliquer. Adrian : Pas de problème. – J'ai dit énervé. - Je te comprends. - Bientôt un silence s'installa et la honte était si grande de la part de la fille qu'elle ne pouvait même pas lui faire face. - Je ferais mieux d'y aller, ça ira mieux. - Je me suis levé. Zoe : Non ! Attendre! Au moins, reste très tard, tu peux dormir avec moi ce soir. - Dit encore en train de mourir de honte. Adrian : Je ne sais pas, non (continue de s'énerver). Zoe : S'il te plait ! - Elle a fait quelque chose et lui a tendu le bras puis il s'est dirigé vers la fille et les deux ont commencé à s'installer dans le lit pour dormir. Zoe et Adrian partageaient la même couette, ils dormaient face à face et le visage très collé, Zoe fut la première à s'endormir, tandis qu'Adrian la regardait et regrettait de ne pas avoir couché avec son amie. Le ciel était gris et nuageux, on aurait dit qu'il allait pleuvoir, le vent était très froid, les gens qui marchaient dans ses rues portaient des manteaux, des bottes, des gants et une écharpe, à cause du froid qu'il faisait lundi, le jour l'école allait avoir une grosse frayeur. Zoe éteignit son téléphone portable et resta éveillée en regardant le plafond, pensant à la vengeance qui allait arriver dans quelques heures, une partie d'elle avait peur, peur d'aller à l'école et que tout le monde penserait que tout ce qu'elle faisait. était un montage pour nettoyer sa peau et incriminer Victoria, pour faire semblant d'être méchante et Zoe pour faire semblant d'être gentille, d'un autre côté, elle était très confiante que tout allait s'arranger et que tout le monde se rendrait compte que ce que faisait Victoria était un configuration pour tuer Zoe, avec Maya et Callie. En plus d'y penser, elle pensait à la réaction de Jay, quelle serait sa réaction quand il savait qu'elle n'était pas morte mais vivante ? Cela ne sortirait pas de la tête de la fille jusqu'à ce qu'elle se rendorme à nouveau. Avec le froid, Isabelle et Adrian étaient à l'extérieur de l'école attendant le même qui n'arrivait pas et il était presque l'heure de sonner la première cloche et aucune d'elle ne s'est présentée. Isabelle : J'ai un froid glacial ici. - Dit-il les bras croisés et tapant du pied de colère. – Si j'ai une pneumonie, je tuerai ce chien qui doit dormir. Adrian : Appelle-la. – Quand il a dit cela, il a regardé droit devant lui et a fait une expression dégoûtée. Victoria : Regarde, les animaux sont de retour, la chienne et le pédé. - Dit-elle en s'approchant des deux avec un sourire ironique. – Comment était la jungle ? Ça devrait être bon, n'est-ce pas, parce que la semaine prochaine, c'est le test, vous savez et je vous encourage à obtenir zéro. Isabelle : Il y a un test la semaine prochaine qui ? – J'ai dit peur. Victoria : Je pensais que tu étais plus intelligent, mais j'avais tort, tu veux traîner avec quelqu'un qui n'est pas bon... Oh j'ai oublié qu'elle est morte. Il posa sa main gauche sur sa poitrine, ferma les yeux, prit une profonde inspiration et se retourna vers eux. – Comment s'est passé la veillée ? C'était amusant? Avez-vous eu du gâteau? - Il a continué avec ce sourire ironique. Adrian : Va jouer avec des morts, parce que laisse-moi te dire quelque chose. – J'ai dit sans patience. Victoria : Dis-moi ! - Il a ouvert un sourire. – Quel voyage le pédé va-t-il me raconter ? Je suis très curieux. - Il s'est moqué. Isabelle regarda juste pour voir ce qu'Adrian allait dire et se retenait d'avancer sur elle. Adrian : Les morts reviennent toujours pour se venger de ceux qui les ont maltraités, tu sais !? Il sourit au coin de sa bouche et haussa un sourcil. Isabelle : Si j'étais toi je faisais attention, les fantômes sont plus proches que tu ne le penses. - Elle regarda Adrian et les deux se mirent à rire, tandis que Victoria faisait une grimace à quelqu'un qui ne comprenait rien. Victoria : Regarde ! Je ne comprends pas ce que disent les animaux. - Il a fait une grimace dégoûtée. Isabelle : Oui, parce que ça répond à tout ce qu'on dit. - A ce moment Victoria était silencieuse et fronça les sourcils de colère. – Mais l'animal serait-elle Lu ? – Elle l'a regardé. Adrian : Un serpent... euh... type serpent ! Isabelle : C'est vrai, tu es un cobra. - Dit-elle en se regardant dans les yeux et avec un sourire sur son visage, elle a quitté l'endroit en mourant de haine et est entrée dans l'école Adrian : Elle a été offensée par quoi ? Le serpent est un animal tellement cool. - Il rit. Isabelle : Les gens s'offusquent si facilement. - Il s'est moqué. Adrian : Maintenant, appelle Zoe tout de suite, car il reste 5 minutes. Isabelle a pris son portable et a appelé son amie, le portable a sonné deux fois et elle a répondu : – Espèce de vache, où es-tu ? - Dit avec colère. Zoe : Je suis à l'arrêt de bus, je me suis réveillée et je me suis rendormie à cause du froid, mais j'y suis déjà, est-ce que tout est prêt ? Isabelle : Tout est prêt, dès que nous entrerons, nous irons directement à l'auditorium et nous nous retrouverons là-bas... N'oubliez pas qu'on ne vous voit pas. Zoe : Je connais ton tapir, le plan que j'ai créé. Isabelle : Ah ouais ! Désolé, LEADER. Zoe : Haha~ laisse-moi raccrocher parce que le bus vient d'arriver, au revoir. - Éteindre   Isabelle : Elle m'a raccroché au nez. - Elle le regarda avec indignation alors qu'il riait, soudain la cloche sonna et les deux se regardèrent nerveusement Adrian : C'est l'heure. Il déglutit difficilement. Isabelle : Allons-y. - Il a pris une profonde inspiration. Les deux sont entrés dans l'école super nerveux et n'ont regardé personne, alors qu'ils traversaient le couloir, certaines personnes leur ont parlé, et pour ne pas être impoli, ils ont parlé au personnel, mais ils ont été un peu malchanceux car ils ont rencontré Ian, Dominic , Axel , Jay et Jacob, qui venaient vers eux pour leur parler, mais ils ont couru à l'étage jusqu'à leurs dortoirs. Jacob : C'est juste moi ou ils nous fuient ? – Il s'en doutait. Dominic : J'ai ressenti la même chose, ils ne nous ont même pas regardés en face. - D'accord avec la même chose. Ian : Laisse-les... - Dit-il d'un air sec. "Peut-être qu'ils veulent un peu de paix ou qu'ils n'ont pas accepté le mor..." Dominic : Allons en classe car la semaine prochaine il y a un examen. – J'ai dit en changeant de sujet. Pendant ce temps dans le dortoir, les deux amis étaient désespérés et leurs cœurs battaient à la vue des garçons. Isabelle : Je n'ai jamais été aussi nerveuse en voyant les garçons, surtout Jacob et Chan. - Dit en entendant les cheveux avec un stylo car ça sonnait. Adrian : Et moi avec Ian... Il est toujours aussi beau. – Dit-il en se jetant sur le lit et en souriant. Isabelle : Quoi ? – Elle s'approcha du garçon, mourant de haine, grimpa sur lui et garda son visage pressé contre le sien. Adrian : Qu'est-ce que tu vas faire ? - J'ai eu peur. Isabelle : Un oral sur toi. - Il s'est moqué. Adrian : Quoi ? - Ses yeux se sont agrandis. Isabelle : Arrête d'être idiote. Elle descendit de lui et se leva et lui lança un regard noir. - Après tout ce qu'il t'a fait, tu t'es encore moqué de lui ? Comment cela peut-il arriver ? Adrian : Je ne dirige pas mon cœur. - Il s'est assis. – Je l'aime toujours, même en faisant tout ce que je fais, je l'aime toujours. Isabelle : *soupire et s'assit à côté de lui* J'aime aussi toujours Jacob et je me sens toujours attirée par Chan. - Il a dit en regardant le sol et en pleurant presque. – Pourquoi est-il si difficile d'oublier la personne qui nous fait souffrir ? - Regardé la même chose. Adrian : Peut-être qu'on aime souffrir... Quand on aime, on accepte tout, même souffrir par amour. Isabelle : C'est vrai... - Soudain son portable se met à sonner. - Hé, j'ai un message. "Je viens d'arriver à l'école ^~^ J'ai réussi à entrer avec l'aide du proviseur, je lui ai parlé et dans peu de temps il va appeler l'école à l'auditorium, mais je suis déjà là, xoxo !" Adrian : Qu'est-ce qu'elle a dit ? - Il a demandé curieux. Isabelle : Elle est déjà là, quelque part cachée et est entrée avec l'aide du réalisateur. Adrian : Le réalisateur connaît-il l'histoire ? OO Isabelle : Tu sais, il sait tout, c'est pour ça qu'elle a monté cet avion… - Elle se leva, attrapa son sac à dos et le mit sur son dos. – Allez, il est temps de mettre le plan en pratique. Adrian : Allons...    
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