Chapitre 22

4380 Words
Toujours dans le couloir de l'école. La fille pleurait beaucoup, elle était dévastée par tout ce qui se passait, elle était sous le choc. Jay : Les gens viennent ici, j'ai besoin de votre aide. - Il s'est levé et est allé vers ses amis. – J'ai besoin que tu sortes ces photos des placards et que tu appelles les femmes de ménage pour nettoyer ce gâchis. Adrian : Je leur parle, je connais presque tout le monde dans cette école. - Il a souri. Ian : J'y vais avec Adrian. - Les deux se sont regardés et ont souri. Jacob : Beurk a commencé le voyage quel dégoût. – Il est parti. Jay : Ce n'est pas le moment pour ce Dino... Isabelle J'ai besoin que tu prennes des vêtements et que tu les apportes dans ma chambre. - Vous avez commandé. Isabelle : D'accord. - Il a dit sans comprendre. Jacob : Tu veux de l'aide pour monter les escaliers ? - Il a demandé à la seule fille là-bas. Isabelle : Non ! Je refuse votre aide. À la réflexion, peut-être, mais si vous me maltraitez, je vous pousserai en haut de cette échelle et vous ferai casser la jambe. - Nerveux. Dominic : Alors vous ferez un couple à la jambe cassée. - Il rit. Isabelle : Espèce d'idiot, ça ne m'a pas amusé. Jay : Les autres sortent les photos du placard, maintenant allons-y avant que le réalisateur n'arrive et voyons ce qui s'est passé. Ils avaient tous des devoirs à faire et se sont dispersés. Jay se dirigea vers Zoe qui était allongée sur le sol et toute recroquevillée, il se pencha, attrapa la fille et la fille souleva sa force. Les deux regards se croisèrent et se fixèrent. Zoe : Je n'ai pas besoin de ton aide, laisse-moi partir. – J'ai dit en pleurant. Jay : Je ne t'ai pas demandé si tu avais besoin de m'aider maintenant que je veux que tu te taises et que tu me rejoignes sans te plaindre. [...] L'inévitable était enfin arrivé... enfin pour certains et terrible pour d'autres. Le secret de Zoe était la grande victoire de Victoria. Mais ce secret ferait-il s'éloigner le couple ? Reviendrait-elle enfin au sommet ? Non, pas après la scène qu'elle avait vue ! Même humilier sa rivale devant tout le monde, c'était encore peu, mais très peu, elle avait besoin de plus, elle avait besoin de faire peur à son ennemi, encore plus peur que cela la fasse changer de pays, ou plutôt... de planète. Elle ne le savait pas encore, mais elle était sûre qu'elle découvrirait bientôt comment, alors que son esprit arrêtait de bouillonner d'idées terribles. Quand certains pensaient à des choses pour se détruire, certains pensaient à la façon de conquérir une fille. Jacob aidait Isabelle à monter les escaliers alors que sa jambe était immobilisée à cause de l'accident de voiture. Quand ils atteignirent le haut des escaliers, le garçon lui tendit la main pour qu'elle le prenne et les deux continuèrent leur chemin vers la chambre, mais elle le fixa sans comprendre pourquoi cette attitude. Jacob : Eeee... On va ? – J'ai dit sans grâce. Isabelle : Où ? - Il a répondu froidement. Jacob : Dans ta chambre. Isabelle : Oui ? Jacob : Prends les vêtements de Zoe pour les emporter dans la chambre de Lucca. Isabelle : J'ai dit que je voulais ton aide pour les vêtements de Zoe ? – Resté froid. Jacob : Je pensais que... Isabelle : Pensé quoi ? Je ne savais pas à quoi tu pensais, je suis complètement impressionné par ce qui vient de se passer, c'est l'événement de l'année. Jacob : Tu n'avais pas besoin de me traiter de cette façon Isabelle, je veux juste t'aider. - Attristé. Isabelle : Prête ! m'a déjà aidé à monter les escaliers. - Il sourit sèchement et bientôt son expression redevint froide. – Va-t'en, personne ici n'a besoin de ton aide. - Elle se retourna et continua de marcher seule jusqu'à la porte de sa chambre, tandis que le garçon descendait les escaliers triste et déçu. En entrant dans la pièce, la fille est allée directement au placard et a attrapé un uniforme, une culotte et un soutien-gorge, mais quand elle a ramassé les vêtements, elle a tout laissé tomber par terre, car sa jambe ne la laissait pas descendre, elle a regardé le porte en colère et dit : " - J'aurais dû laisser ce connard m'aider, et maintenant comment vais-je prendre cette porte et l'emmener dans la chambre de Jay ? Puis quelqu'un avait frappé à la porte pour attirer son attention et sans rien répondre, elle s'ouvrit, de l'autre côté il y avait Jacob qui entra dans la pièce sans demander la permission : "- qu'est-ce que tu fais ici ?" Jacob : J'ai pensé que tu pourrais avoir besoin de moi maintenant. - Il a souri timidement. Isabelle : Hein ? Jacob : Apparemment, c'est vrai. - Il a regardé les vêtements sur le sol et a commencé à sourire. - Laisse moi t'aider avec ça. – Il se dirigea vers le même et se pencha pour ramasser tous les vêtements qui étaient près des pieds de la fille, quand il regarda sur le côté il vit ses cuisses qui étaient épaisses, il déglutit et commença à rougir, puis se leva rapidement. – Compris, voulez-vous ? Isabelle : Allons-y. - Alors les deux se sont dirigés vers la porte et sont partis. Dans la partie inférieure de l'école qui serait le premier étage où se trouvaient les couloirs, Adrian était adossé aux casiers à regarder les femmes de ménage nettoyer toutes ces ordures. Les photos qui étaient au mur et dans les casiers avaient déjà été prises par Dominic et Axel, qui étaient dans la salle pour assister aux cours de relecture et les ont ensuite transmises aux autres. Tout est propre, mes amours. - Dit la femme de ménage en cherchant avec un sourire Adrian et Ian. – Je ne demande qu'une chose pour toi. Adrian : Dis-le ! Lorsque vous intimidez quelqu'un, jetez-le à la poubelle et non à la poubelle en lui, allons NaJin. - Elle a parlé d'une autre femme de ménage et les deux sont parties en marmonnant de colère Ian : Qu'est-ce qu'ils marmonnent ? Et leur obligation de nettoyer le désordre de chaque école. - Il a marché jusqu'au milieu du couloir et s'est tenu à regarder les femmes partir Adrian : Laisse-les Hunnie. - sourit Ian : Tu m'as appelé Hunnie, ouais !?! Adrian : Oui, de Hunnie, non ? Je t'appelle à nouveau Ian. - Il a donné une poussée en avant avec un sourire et s'est dirigé vers les escaliers, mais a été empêché de marcher car il lui avait attrapé le bras et l'avait jeté contre les casiers en faisant un grand bruit. - Que fais tu? – Ses yeux brillaient et leurs visages étaient si rapprochés que je pouvais sentir sa respiration. Ian : Que penses-tu que je vais faire ? - Un sourire apparut au coin de sa bouche, il avait peur de ce qui pouvait arriver, mais voulait que cela arrive. Le garçon s'approcha de ses lèvres et commença à donner de légers baisers suivis de suçons et de morsures. Adrian ne se retenait plus et commença à gémir très doucement près de son oreille, comme il l'aimait. C'était trop beau pour être vrai... Mais ça pourrait être pire ! Victoria : Comme cette scène est belle, j'adore ce film porno gay en direct. - Les garçons qui s'embrassaient bientôt ont eu peur en entendant la voix de la fille et sont partis sans grâce. – Tu peux continuer, je n'ai aucun préjugé, même parce que je suis lesbienne et que je sors avec une fille... Ian : Qu'est-ce que tu veux Victoria ? Il s'éloigna du garçon et la regarda droit dans les yeux. Victoria : Je ne veux rien de toi, mais j'en ai peut-être envie... Même parce qu'IAN ne sait pas que tu es gay, n'est-ce pas, imagine s'ils savaient que tu es gay et qu'Adrian s'en rend vite compte, hum ! ce ne serait pas bien. - Il a souri. Adrian : Ne lui fais rien, s'il te plait ! Je vous demande. Victoria : Hé ? Je suis une personne aimante. - Il s'est moqué. Adrian : Tu ne sais même pas ce qu'est l'amour. Victoria : Comme si tu savais bien !? ha~ ha~ dis-le à un autre Ian ! - Il s'est approché du garçon en se rapprochant de lui et lui faisant face et en pointant son doigt sur sa poitrine. – Toi qui as honte d'avouer ton GRAND AMOUR pour celui-ci. - Dit en se référant à Adrian. – Oh, viens me dire ça !? Comme tu es ignorant ! Tu préfères être vu avec une fille qu'avec le grand amour de ta vie. Je parie que quand tu seras marié, tu utiliseras Adrian comme amant, n'est-ce pas ? Tu peux dire que je suis… - Il s'interrompit alors qu'il se retenait pour ne pas la gifler, Adrian attendit qu'Ian dise quelque chose, mais rien ne sortit de sa bouche. –...c'était comme je l'avais prédit, tu ne peux même pas te défendre, parce que tu sais que j'ai raison. Maintenant toi Adrian, sachez bien choisir avec qui vous sortez. - Il a souri. – Parce que nous ne sommes pas toujours en sécurité. Adrian : Qu'est-ce que tu veux dire par là ? - Il a paniqué. Victoria : Je ne sais pas... Après ce que j'ai vu ici, tu ferais mieux de faire attention. - Il a fait un faux sourire. - Au revoir! - Il s'est retourné et a couru vers les escaliers. Ian : J'espère qu'elle ne fera rien contre nous Je ne suis pas encore prêt... - Il regarda le même qui marchait lentement dans une direction droite. - Qu'est-ce qui ne va pas? Tu as un visage bizarre ! Écoute, ne t'inquiète pas, je ne la laisserai pas te faire quoi que ce soit. Adrian : Comment puis-je être sûr de ça quand tu n'as pas le courage de te défendre devant elle en même temps ? Je pense qu'elle avait raison de dire ces choses. Ian : Je ne peux pas croire que tu vas croire ce qu'elle a dit. - Il a souligné quand il a entendu ces mots. Adrian : Je ne comprends pas pourquoi tu as élevé la voix pour moi alors que je ne t'ai rien fait. Vous voulez savoir quelque chose !? Je ne reste pas ici avec une personne qui a deux visages et qui ne sait pas ce qu'elle veut. – Bientôt, il a commencé à marcher vers les escaliers, mais s'est arrêté et a regardé Ian qui avait crié « ouais » ! Ian : Je sais ce que je veux... Adrian : Alors dis, dis-moi ce que tu... Sois un homme pour une fois. Ian : Adrian... Je t... – La cloche de l'école avait commencé à sonner ce qui l'a fait se taire rapidement. Adrian : Dirai "je" quoi ? - Il a quand même dit avec un peu d'espoir qu'il l'avait toujours dans son cœur, mais rien ne s'est passé, car les élèves avaient déjà quitté leurs salles de classe et le couloir avait déjà été pris par eux, alors il a soupiré d'un air de déception et a disparu dans la foule. Hé mec, qu'est-ce que tu fais ici dans le couloir ? - A l'époque Ian n'avait pas reconnu la voix, car il cherchait Adrian qui avait disparu, lorsqu'il se retourna pour voir que Dominic était accompagné d'Axel. - Salut mec!? Est-ce que tu vas bien? - Il a seulement réussi à secouer la tête avec un signe positif. Axel : Tu n'as pas l'air d'aller bien. Dominic : Apparemment tu as fini de reconnaître toutes les photos... Mais où est Adrian ? Ian : Quel est le prochain cours ? – J'ai changé de sujet. Axel : C'est espagnol. Ian : Je vais chercher mes affaires et j'irai dans le salon avec vous les gars. Quelque chose était étrange, très étrange. Dominic ne savait pas ce que c'était, mais il allait enquêter, et enquêter sur les choses était sa plus grande passion. Alors il a dit à Axel qu'il allait dans sa chambre pour mettre son téléphone portable dans le chargeur, mais c'était en fait un mensonge, il allait chercher Adrian et découvrir ce qu'il y a de mystère entre lui et son ami Ian. Pendant ce temps, dans la chambre de Hero Jay, le garçon cherchait une serviette dans la salle de bain au deuxième étage sur quatre. Zoe était debout, les bras croisés et fixait le sol, la fille toujours toute sale et figée par tout ce qui allait se passer. Jay : J'ai trouvé la serviette. - Il descendait les escaliers incurvés tenant une simple et grande serviette de couleur vert clair, le garçon se dirigea vers la fille qui se tenait au milieu de la pièce, mais il semblait qu'elle ne faisait pas la moindre attention. - Seul!? Je pensais que la serviette peut maintenant prendre votre bain. – La jeune fille a rapidement levé la tête lorsqu'elle a entendu le mot « baignoire ». Zoe : Bain !?! Quel bain ? – Elle a eu peur et dès qu'elle est revenue à elle, elle s'est rendu compte qu'elle se tenait au milieu de la pièce qui n'était pas la sienne, mais dans la même pièce. Quand ce qui s'est passé dans le couloir, la fille était devenue folle pendant quelques minutes et n'avait même pas réalisé que le garçon l'emmenait dans sa chambre, sans intention de la maltraiter, mais ce n'était pas ce qui se passait. son esprit. – Je ne vais pas prendre de douche, saviez-vous que chaque chambre de cette f****e école a une salle de bain ? Je pense que tu sais bien ! Étudiez ici. plus longtemps que moi, j'aurais dû savoir que la chambre des dames a aussi une salle de bain. - Sa voix élevée et ses bras qui avaient été arrêtés, bougeaient maintenant alors qu'elle donnait des coups de pied. Jay : Je voulais juste t'aider. Pourquoi joues-tu toujours dur pour avoir et ne me laisses jamais t'aider ou être autour de toi ? Si je voulais te faire du mal, je t'aurais mangé depuis longtemps. - Il a également augmenté le ton de sa voix. – Je ne suis pas comme Kris ou Jacob qui sont toujours avec une fille différente, je suis à l'opposé d'eux, et j'en ai marre d'essayer de te le prouver. - Il a jeté la serviette au visage de la fille et s'est retourné vers son lit et s'est assis. Ces mots l'avaient émue, et si elle devait comparer ce que Kris lui avait fait avant et comparer ce que Jay lui avait toujours fait, il avait raison. Il était toujours prêt à l'aider, même la fille avant de la frapper et de la rabaisser. existence. Était-il temps de donner un coup de main? Zoe : Désolée.... - Dit-elle d'un ton plus doux et plus calme, ce qui rendit le garçon étonné de ne pas savoir quoi dire ou comment réagir, en fait il ne croyait même pas ce qu'il avait entendu. Jay : Comment ça va ? Vous êtes-vous excusé ? Je ne pense pas avoir bien compris. – Il se leva et marcha lentement vers la fille qui lui tournait le dos. Zoe : J'ai dit désolé... Désolé d'avoir agi de cette façon avec toi. – Elle se pencha, ramassant la serviette qui était sur le sol et recouvrant un peu ses pieds. - Je vais prendre une douche. – La fille se dirige vers la salle de bain et ferme la porte. Était-ce un rêve ? eh bien, pour être un rêve, il suffisait d'un b****r pour enfin revenir à la réalité. Ces mots d'excuse étaient incroyables, tellement incroyables qu'il n'y croyait même pas encore, mais ces pensées furent bientôt interrompues par un coup frappé à la porte, alors il alla à la porte et l'ouvrit pour voir qui était de l'autre côté. Isabelle : Salut Jay, je t'ai apporté les vêtements que tu as demandé. - Dit dehors seul tenant un sac avec des vêtements et essayant de se tenir en équilibre avec des béquilles. Jay : Oh ouais, entre... Laisse-moi te chercher ces sacs. – Il a ouvert complètement la porte pour que la fille à la jambe blessée puisse entrer, il s'est penché et a pris les sacs de sa main et s'est dirigé vers le lit et l'a laissée là. – Merci d'avoir apporté la tenue. - Je lui ai dit que j'entrais toujours dans sa chambre. Isabelle : Inutile de me remercier, j'aiderais mon amie même si j'étais dans le coma. - Il rit. Jay : Et comment va ta jambe ? Besoin d'aide? - Il la regarda directement. Isabelle : Ah... ben... je gère du mieux que je peux, mes amis m'aident beaucoup. Jay : Sache que si tu as besoin de quoi que ce soit je suis là pour t'aider, n'aie pas honte. - Il a souri. Isabelle : Merci Jay... Ouais, tu sais quoi !? Je t'ai toujours aimé, je t'ai toujours vu différent des autres garçons, tu sais ! Zoe a de la chance d'avoir un si gentil garçon qui l'aime, j'espère vraiment que vous restez ensemble. - Il a rendu le sourire. Jay : J'applaudis aussi mais je suis sur le point d'abandonner, elle est vraiment coriace. – Il s'est assis sur le bord du lit. Isabelle : Je connais cette oppa, mais ne l'abandonne pas, elle t'aime aussi et je sens que le plan de Victoria va vous rapprocher encore plus, c'est pour moi, elle vous aime beaucoup. Jay : Alors pourquoi ne me montre-t-elle pas tout cet amour ? - Il a demandé confus. Isabelle : Elle a peur que tu la trompes et que tu joues avec ses sentiments, tu sais !? D'un côté, je la comprends, et je suis sûre que tu as déjà essayé de démontrer le contraire de ce qu'elle pense, mais malheureusement elle ne s'en est jamais rendu compte, mais je suis sûre qu'après aujourd'hui… » Elle laissa échapper un sourire joyeux . –…Elle le verra avec des yeux neufs, même parce que ce que tu as fait aujourd'hui, je ne pense même pas…huuum… je ne sais pas ! Je ne pense même pas que je le ferais, parce qu'elle pue beaucoup. - Les deux ont ri. Jay : Elle a de la chance d'avoir une si bonne amie comme toi, je suis content que tu ne laisses plus Victoria t'humilier, je n'ai jamais aimé ce qu'elle t'a fait à toi et aux nouveaux arrivants, à ce jour je suis contre, mais je jamais eu le courage de ne rien dire. Isabelle : Oublie ça ! déjà passé! Maintenant, je vais y aller, j'essaierai d'assister à quelques cours, si je peux. - Il se tourna vers la porte, mais se souvint bientôt de quelque chose d'important et le regarda à nouveau. - Je peux te poser une question? Jay : Oui ! Isabelle : Est-ce que tu aimes vraiment Zoe ? Et ferait-il face à quelque chose pour prendre son parti ? Jay : J'aime cette fille têtue et je ne la quitterais jamais pour quelque raison que ce soit, je suis fou d'elle mais pourquoi ? - Il a demandé curieux. Isabelle : Rien, juste une question. - Il sourit et marcha avec un peu de difficulté jusqu'à la porte. Jay : Laisse-moi t'aider. - Il s'est levé en courant et a aidé la fille à sortir de sa chambre, dès qu'elle est partie, elle l'a encore remerciée avec des étincelles dans les yeux et lui a dit au revoir. Jacob : Allons-nous ? – Dit le garçon qui était adossé au mur, l'attendant, il ne voulait pas entrer car il pensait que Zoe ne voulait pas le voir. Isabelle : Non merci ! J'abandonne les cours aujourd'hui, l'anglais et l'espagnol sont des matières faciles, j'irai demain car c'est juste des maths, de la physique et de la chimie, et je veux être de bonne humeur pour aller à ces cours... aujourd'hui c'était fatiguant jour, ça suffit ! Je vais dans ma chambre et je dors beaucoup. - Il a souri. Jacob : Ah ouais, d'accord ! Je vais assister à ces cours parce que je suis obligé et que je ne suis pas très bon en espagnol. - Il a fait la moue et s'est senti triste. Isabelle : Si tu veux je peux t'apprendre l'espagnol car je suis très bonne dans cette matière, je ne veux pas me vanter. - Il rit. Jacob : Bien sûr !! - Un sourire géant est apparu sur son visage. - On te voit dans la salle d'étude qui est là-haut, je ne veux pas que tu fasses un effort pour descendre et monter ces escaliers. Isabelle : Merci de votre sollicitude, mais on peut se voir, oui, serait-il 21h ? Jacob : Oui tu peux, je peux venir te chercher ou tu veux que je t'attende là-bas ? Isabelle : Attends-moi là-bas, c'est mieux, pas de me chercher à la porte de ma chambre... Espèce d'idiot, à plus tard. – Il est parti en marchant tout droit jusqu'au dortoir des filles. Pour se rendre au dortoir des filles, la fille avait deux options, descendre les escaliers exclusivement pour que les garçons se rendent dans son couloir ou continuer dans un long couloir jusqu'à atteindre les escaliers principaux et continuer tout droit, et c'est ce qu'elle a fait, gardé aller tout droit, être fatigué. Heureusement, la chambre qu'elle partageait avec son amie et Adrian n'était pas loin des escaliers. Après tant de marche et d'être morte de soif, elle était enfin arrivée au dortoir des filles... pour parler de cette étrange scène, le garçon venait toujours vers lui. Dominic : Isabelle ? Que faites-vous ici? - A parlé incroyable et a arrêté de boutonner le chemisier. Isabelle : Je... je... je... – "dis une bêtise" pensa-t-elle. – Je viens de monter… je ne t'ai même pas vu là-bas. - Déguisée et regarda le ventre en demi-teinte, elle vit aussi la marque des sous-vêtements du garçon, ce qui la rendit très excitée, mais quelque chose attira plus son attention que la marque des sous-vêtements qui semblait être très serrée comme elle l'aimait... Celle du garçon la fermeture éclair du pantalon était ouverte, ce qui lui fit élargir les yeux. Dominic : Isabelle ? ISABELLE ? - Cria en essayant d'attirer son attention sur lui-même et non sur ses parties intimes. Isabelle : Salut !? - Les deux étaient gênés par la scène, elle pour avoir vu le garçon quitter sa chambre tout en désordre et lui parce qu'il avait quitté la chambre de la fille en désordre. Dominic : Eeee... Laisse-moi rater le cours. - J'ai dit en essayant de sortir de cette situation Isabelle : Et je... je vais dans ma chambre. - Il a souri sans vergogne. Dominic : Ta chambre ? - J'ai eu peur. Isabelle : Oui, ma chambre, que je partage avec Zoe, que je partage aussi avec Adrian. - Dit-il en essayant de souligner les noms de ses amis. Dominic : Ah oui ! bien au revoir. - Il partit en courant, laissant la jeune fille pensive et curieuse. Isabelle : Au revoir. - Se dit toute seule. La curiosité de la fille était très vive. Que faisait Dominic en sortant de sa chambre tout échevelé et décompressé ? Zoe était dans la chambre de Jay, Adrian était avec Ian, ils étaient probablement en cours… eh bien… c'est ainsi qu'elle en est venue à la conclusion qu'aucun de ses amis ne pouvait faire l'amour là-bas, mais… qui serait-ce ? Assez de réflexion, il était temps de dissiper les doutes, elle se dirigea vers sa chambre, s'arrêta devant la porte et mit sa main sur la poignée et ouvrit la porte lentement, d'après ce qu'elle avait vu, la chambre était toute rangée, il n'y avait rien d'anormal là-bas. Mais quand elle ouvrit complètement la porte de la chambre. - TU? QUE FAIS-TU DANS MON LIT ? - A crié sur le gars. Cela faisait 45 minutes que la fille prenait une douche dans la chambre de Jay, mais le garçon ne s'en souciait même pas, il était froidement allongé sur son lit regardant le plafond et pensant à mille choses en même temps. C'était surréaliste tout ce qui se passait, ça ne lui avait jamais traversé l'esprit de tomber éperdument amoureux, ça ne lui avait jamais traversé l'esprit de courir après une fille autant, parce que d'habitude c'étaient les filles qui couraient après lui. Était-il malade ? Et si c'était le cas, le nom de cette maladie s'appelait Steven Zoe. Et cette maladie est-elle curable ? Je ne pense pas. Même si la fille lui donnait toujours des coups de pied, il n'a pas abandonné ses efforts. Même s'il avait couché avec la troisième et les étudiantes, il ne se sentait toujours pas satisfait. Même si Jay fréquentait toujours d'autres filles, il se mettait toujours en colère, parce qu'il pensait toujours à sa bien-aimée, à ce qu'elle faisait, à ce qu'elle rêvait, entre autres... Mais toute cette grossièreté qu'il recevait était fatiguée, il avait juste besoin d'une grossièreté, d'un coup de pied, d'une offense pour qu'il abandonne, même s'il ne voulait pas, il devait le faire, il se sentait déjà étouffé avec tout ça l'amour ne revient pas. Après tout... Il avait déjà abandonné ! Aujourd'hui il mettrait fin à toute cette histoire, mais ce qui s'est passé plus tôt dans la journée le faisait douter, mais pas changer sans plan.. Dès qu'elle sortirait du bain, ça mettrait fin à tout, au revoir Zoe... Au revoir pour toujours. Un bruit emplit la pièce faisant rompre le silence, la porte s'était un peu ouverte et une main en sortit et prit quelques robes qui se trouvaient devant lui. Dès qu'il eut ses vêtements, la porte se referma.    
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