Episode 3

3287 Words
Les deux hommes toutes en noir s'approchèrent, en formant de leurs mains des boules de feu pour m'attaquait....... Que me veulent-ils ? Je n'ai rien fait, je ne les connais même pas, alors pourquoi veulent-ils m'attaquer ? Ne comprennent pas, je restais immobile, comme tétanisé, la peur m’envahis en quelques secondes. Pourtant, au fond de moi, une colère se développa, incontrôlable, je la sentais coulée dans mes veines. Elle se mélangea étrangement bien à mes entrailles, forment une boule d'amertume, qui n'était que désagréable. Je les voyais former d'énorme boule de feu, tendis que, j'essayais temps bien que mal d'y trouvé une parade. Mais laquelle ? Quelle option avais-je contre. Pourtant, il faut que je trouve un moyen et très vite, si je ne veux pas carboniser sur place. La colère, qui monter en moi, était comme un ouragan qui cherchait à se libérer. Je voyais l'un des hommes, un sourire aux lèvres, comme s'il savait que j'avais peur, ou pour me faire passer un message du genre " Tu es faible, mais surtout pathétique, pauvre fillette " C'est ce genre de chose que détesté le plus, la moquerie, pour qui se prend-il ? Ah, mais oui, pour un homme avec des pouvoirs, qui tente de tuer deux jeunes filles, j'allais oublier. Il s'apprêtait à me lancer une boule de feu, quand il s'arrêta net dans son élan, que cherche-t-il ? Souhaite-t-il me faire peur ? Je suppose, vue son air satisfait. Je tremblais de la tête au pied, j'étais terrorisé à l'idée d'être encore une fois impuissante. J'étais en plein combat intérieur, quant, il jeta sa boule de feu dans ma direction. Malgré ma peur, je tentais tant bien que mal de protéger Capucine, qui était dernière moi, encore trop faible, pour se défendre elle-même. Elle ne pouvait tous simplement pas défier deux inconnus, après le coup qu'elle avait reçu sur la tête, en même temps, je l'empêchais d'intervenir. Elle risquait de mourir et c'était or de question que je la laisse mourir, autant mourir moi-même. La boule s'approchait de moi, un peu trop vite à mon goût, je la fixais tous du long espérant qu'elle s'arrête, comme par magie. C'est là, qu'à quelques mètres de mon visage, la boule s'arrêta, figé, juste devant moi, quoi, je rigolais pour le comme par magie. Au début, je ne comprenais pas ce qu'il se passait, mais après quelques minutes de réflexions, j'avais ma petite idée. D'où je me tenais, je vus les hommes en noir, me regardais avec surprise, ils ne s'attendaient pas à ce phénomène. C'est à ce moment précis que mes soupçons se confirmèrent et je compris. Je ne sais pas comment, je m'y suis pris, mais je venais d'arrêter la boule que l'on venait de m’envoyai… Je n'arrivais plus à contrôler la colère qui prit le dessus, sur mes gestes... Oui, non... La colère prit le dessus sur moi, je me sentais devenir de plus en plus forte. Comment un tel sentiment peut-il être aussi jouissif, mais, ça fait tellement de bien d'avoir enfin du courage. Toujours dans mes pensées, la boule de feu qui était toujours figé face à moi, repris le chemin opposé à sa première destination, à l'inverse cette fois-ci. Elle ne me visait plus moi, mais les deux hommes. Sur leur visage, je ne voyais aucune peur, bien au contraire, ils avaient l'air ravis. Ravis de voir que finalement, le combat serais beaucoup plus loyale. L'un deux souriait toujours autant, je n'avais qu'une envie, lui arracher ce sourire des lèvres. J'en avais marre de son sourire hypocrite, pourtant cette fois-ci, contrairement à tout à l'heure, il dit tout heureux : " Alors c'était bien toi, ha haha, le patron sera ravi, honnêtement, tu crois vraiment me faire peurs? Tu es juste minable et pathétique, comme le sont tes parents. Tu vois ce que je veux dire pas vrai ? Tu n'aurai jamais dû revenir ici, tu vas souffrir, tu ne peux pas savoir, la torture qu'il te réserve, exclama-t-il tous joyeux. - Je.. Je ne vois pas de quoi vous parlez, comment pouvez vous parler de mes parents sans les connaître… Répondis-je en colère avant qu'il ne me coupe. - Personne ne t'en a parlé pas vrai hahahah , c'est encore plus marrant ricana-t-il avant d’ajouter : Alors, tu ne sais rien, tu es encore plus pathétique que ce que j'imaginais, il réfléchit, avant d’ajouter : Donc, je peux te tuer. - Pourquoi vouloir ma mort, je ne vous connais pas, je n'ai rien avoir avec vous, répliquais-je augmentant ma voix d'un cran. - Tu dois mourir et tu mourras dans l'ignorance quelle tragédie, moi qui pensais pouvoir m'amuser. Je vais ramené ton corps à tes parents, se moqua-t-il en baissant le regard. Il s'avança vers moi, avant d'arrêter sa boule de feu. Comme ci c'était normal pour lui, mais oui ! Comment j'ai fait pour ne pas y pensé… Quelle idiote, je fais. Je n'y connaissais rien à la magie, mais dans les films, j'ai pu comprendre qu'une personne ayant des pouvoirs, ne pouvais que rarement se blesser avec leur propre magie. Enfin qu'un être surnaturel pouvait facilement contrer voir arrêté sa propre magie. Sauf s'il ne contrôle pas sa magie, ce qui n'est pas son cas, mais le mien. Il s'avançait dangereusement vers moi, seul, son sbire était comme figé, il ne le suivait pas. Il lui avait sûrement ordonné de le laisser agir seul. Arrogant, mais à vrai dire, je le comprends, je suis une fille faible et sans pouvoir enfin, je pouvais contrer les boules de feu. Quel exploit, parce que là, je sens que je vais souffrir. Il était à quelque pas de moi, il allait m’attaquer violemment, quand tous d'un coup, je sentis une puissance s'échapper de moi, c'était du feu. Comment ai-je réussi à faire ça moi ? Expliquez-moi ! Sans attendre, je plaquais la boule que je venais de former sur l'homme qui décolla à terre. Je n'avais pas eu le temps de réfléchir, j'avais juste agi. Quand, il comprit, ce qui venait de se passer, son sourire s'envola, désormais, il ne souriait plus, si je dois mourir, j'aurais au moins réussi a lui arraché son sourire. Son sbire m'attaqua à son tour, mais cette fois-ci, je ne ressentais aucune peur. Bien au contraire. Je m'approchais de lui a mon tour et le mis à terre d'une facilité qui me surprit moi-même. Je sentais qu'il respirait toujours et j'en fus soulagé, je ne souhaite pas tuer des inconnus. Le Costo, lui se releva avant de m'attaquer à nouveau. Cependant, cette fois-ci, je le projetais sur un arbre grâce à une boule de feu qui l’assomma. Quelques minutes plus tard, j'étais au sol, en larme, ne comprenant pas ce qu'il m'arrivait. Je ne pouvais plus m'arrêter, je lançais des boules de feu, dans tous les sens, du feu sortait de tout mon corps. Je m'affaiblissais sans pouvoir m'arrêter, ça ne pouvait que mal se finir, je vais m’auto consumé. Je recherchais une solution sans y parvenir, je n'ai jamais vécu une chose similaire. Je tournais la tête, comme pour me calmer en vain, puis je remarquais Capucine. Elle me regardait le sourire aux lèvres, mais je ne voulais pas qu'elle compatisse avec moi. À tout moment, je pouvais la blessée, sans être m'être de mes mouvements, pourtant elle ne me craignait pas. - Qu'est-ce qui m'arrive Capucine, je t'en supplie aide-moi ou arrête-moi, avant que je ne te fasse du mal, la suppliais effondrée en ajoutant : « Je ne veux de mal à personne, mais je n'arrive plus à me contrôler, aide-moi. - Pardonne-moi, je vais te faire un peu mal, m'avertissa-t-elle en s'avançant vers moi. - Je ne t'en veux pas, aide-moi, la rassurais-je paniquer par mes propres pouvoirs. Elle s'avança doucement, comme pour me rassurait, je sais ce qui va ce passé, pourtant, je n'ai pas peur. Je suis plutôt soulagé de savoir que je vais bientôt arrêté mon c*****e. Les deux hommes étaient toujours évanouis, tandis, que je me concentrais un maximum pour ne pas la blesser. Elle s'avançait petit à petit, ce qui me rassurait, je dois dire. J'étais plongé dans mes pensées, quand je ressentis sa main, se posait sur mon bras. Je ne sais pas ce qu'elle a fait, mais il ne me fallut pas longtemps pour m'endormir... Quand j'ouvris les yeux, j'étais perdu, je regardais autour de moi à la recherche d'un point familier. Scrutant la pièce où je me trouvais, je ne reconnaissais rien, c'était l'inconnue le plus total. Je ne me souvenais de rien, j'étais une inconnue pour moi-même. Je ne me souviens, ni de mon prénom, ni de mon âge, ni d'où je venais ! Ma tête me faisait un mal de chien, mes yeux me piqués. Je les refermais avant de les rouvrirent pour les refermés. Quelques minutes plus tard, j'ouvris enfin les yeux, une fois que la sensation de brûlure s'envola. Je regardais autours de moi, à la recherche d'indice. C'est là que je vus une jeune fille allongée, à mes côtés endormis, la tête sur ses bras. Je pense qu'elle a pleuré, enfin non, j'en suis sûr, mais pourquoi aurait-elle pleuré pour moi, est-ce qu'on se connait ? Je fis mon possible pour ne pas la réveillée. Mais, ce fus peine perdue, à peine avais-je bougé mon bras, qu'elle se réveilla en sursaut. Après s'être essuyé le visage, elle me regarda les yeux pétillants, comme ci, qu'elle avait attendu mon réveillé, avec impatience. Je la regardais à mon tour, essayant de m'être un nom sur son visage ! En vain, rien ne me venait à l'esprit, qui est-elle, et pourquoi a-t-elle l'aire heureuse de me voir ? Et, pour finir, qu'est-ce qui m'arrive ? Ma mémoire était identique au néant, je ne me souvenais de rien ? - Mon Dieu Lise, tu t'es enfin réveillé, s'enthousiasma-t-elle en me serrent dans ses bras. C'est donc, comme ça que l'on m'appelle "Lise" et cette jeune fille me connait, évidemment qu'elle me connait ! Ça se voit non ! Elle connait même mon prénom. Mais, la question est qui est elle ? - Alors, je m'appelle Lise, la questionnais-je encore toute chamboulée . D'un coup, elle se leva, avant de commencer à réfléchir, elle ne fait que des va-et-vient dans toute la pièce, non, elle parle à voix haute. Je la regardais intrigué, que fait-elle, pourquoi est-elle aussi paniquée ? Après quelques minutes, elle s’assit enfin à mes côtés, elle dirigea ensuite sa chaise prêt de mon lit. Elle mit sa tête dans ses mains, pour la levée d'un coup, comme choqué. - Je t'en pris, ne me dit pas que... Que tu as perdu la mémoire, que tu ne te souviens plus de qui je suis, me questionne-t-elle inquiète de savoir ma réponse. - Je suis désolé ! Qu'elle est mon problème, parce que oui, je ne me souviens de rien, ce n'est pas normal, je sais. J'ai beau essayé, rien, ma mémoire est complément vide, expliquais-je doucement pour masquer ma propre panique. Oui parce que je suis paniqué, je veux retrouver mes souvenirs, mais qui sait, il n'était certainement pas bon de le découvrir. Elle se leva d'un coup et se mit à pleurer, pourquoi pleure-t-elle ? j'ai di quelque chose qu'il ne fallait pas. - Non, Non, Non, comment ai-je pus te faire du mal, comment j'ai pu ! Qu'est-ce-qu'elle raconte, comment aurait-elle pu me faire du mal, de plus, je vais bien moi, ce n'est que des souvenirs, ils reviendront sans doute dans quelque temps, pas de quoi paniquer. - Qu'est-ce que tu veux dire par là ? Je ne comprends pas ? La questionnais-je inquiète de connaître la réponse. - Je ne .... Comment..... Je... Ne.... Mee.... Je...! Elle bafouillait tellement, que je ne sue comment répondre, pourquoi est-elle si triste. Surtout pourquoi est-elle aussi stressée. Elle ne m'a pas tout expliqué, alors pourquoi suis-je si peiné pour elle ? Je dois vraiment tenir à elle. - Bon arrête ! Tu me donnes le tournis, alors assis toi et explique-moi tous, que je comprenne un peu ce que tu te reproches, lui ordonnais-je le sourire aux lèvres. Elle s’avança timidement vers moi, pourquoi, avait-elle peur de s'assoir à mes côtés, c'est comme ci qu'elle craignait qu'il se passe quelque chose. - Allez, assis toi, n'aie pas peur voyons, j’ai perdu la mémoire, mais je suis sûr que je ne mange pas les humains, ironisais-je la situation en riant. Surprise, elle afficha un petit rictus, puis fini par s'assoir à mes côtés, ses yeux était imbibé d'eau signe qu'elle venait de pleurer. - Pourquoi es-tu si triste, la questionnais-je enfin, après un long silence tout en me redressent sur mon lit. - Je suis triste, parce que c'est ma faute, si tu as perdu la mémoire, je n'aurais pas dû, m'avoua-t-elle en me prenant dans ses bras. Elle me serra si fort que j'en eu le souffle coupé, on aurait cru qu'elle avait peur que je m'envole. Et, c'est quoi de cette histoire, je n'y comprends rien, elle n'a pas pu me faire du mal. Elle a l'air si gentille, impossible qu'elle ne fasse de mal à une mouche. Alors pourquoi m'aurait-elle enlevé la mémoire. - Pourquoi, m'aurais-tu volé la mémoire, je doute qu'elle te soit utile, répondis-je morte de rire. - Hein, quoi ? Mais non ! S'empressa-t-elle de dire intrigué. - Non, mais sérieusement, pourquoi dis-tu que c'est ta faute ? - Je ne sais pas où commencer, je… Tu... Enfin on ... commença-t-elle, avant d'être stopper par un bruit. Comme par magie, on frappa à la porte, je criais un " Entré " bien audible. C'est alors qu'un homme d'une cinquantaine d’année apparue de la porte et s'avança vers moi. Il est assez grand aux cheveux gris, il a les yeux marron et porte des lunettes ronde, ce qui me fait un peu rire. Il avait une blouse blanche donc à mon avis, il s'assagit d'un ? D'un ..... Qui est cet homme ? Il s'avança, avant de se placer prêt de Capucine, ils commencèrent ensemble une discutions, en chuchotant. Eh bien merci, de quoi parle-t-il ? Certainement de moi, le docteur s'avança vers moi, mais oui, c'est un docteur. Bien sûre, je savais que je savais ce qu'il était, ouiiiii . " Bravo, maintenant tait toi et concentre-toi un peu, si tu veux savoir ce qui t'arrive, me souffla ma conscience. " Je souriais fier de moi, j'avais enfin trouvé de qu'il s'agissait. Une fois à mes côtés, il s'exclama tout joyeux : - Bonjours mademoiselle, comment vous sentez vous ? - Hormis ma mémoire qui me joue des tours, je me sens très bien merci et vous, docteur, vous êtes bien docteur ? À l'entente de ma réponse, il ouvrit sa bouche en o, comme surpris de ma réponse, où juste surpris tous court. Mais, il finit par me sourire avant de reprendre. - Je vais très bien je vous en remercie jeune demoiselle, et oui, je suis bien docteur. - Je vous en pris, dîtes docteur comment vous appelez-vous, si cela n'est pas indiscret ? Il fut une nouvelle fois surpris, je remarquais que capucine se tenait contre un mur, les sourcils froncés et les bras croisés. Pourquoi est-elle si en colère ? - Je m'appelle, Marc, me répondit-il joyeusement tout en s'asseyent à mes côtés. Je regardais Capucine, histoire de lui faire comprendre mon interrogation ! Pourquoi fronçait-elle les sourcil, quand est-elle devenue si sérieuse, en peut de temps, le docteur voyant mon regard interrogateur contourna la conversation. - Habituellement, on ne respecte pas autant le docteur ici, enfin ce que je veux dire, c'est que l'on se conduit rarement aussi familièrement que vous l'êtes. - Heureusement, je ne suis pas d'ici, enfin, je crois ! Je ne vous ai jamais parler pas vrai ? Le questionnais-je intrigué par ce qu'il venait de me dire. - Non pas dans mes souvenirs, mais vous êtes bien la première à parler aussi directement, m'avoua-t-il en souriant. - Vous me rassurez alors docteur, dîtes qu'est-ce qui m'arrive ? Le questionnais-je curieuse d'avoir une réponse. - D'après ce que notre princesse m'a dit, je pense que vous avez perdu la mémoire. - Oh, c'est vrai, je n'avais pas remarqué, lui répondis-je morte de rire. Capucine s'avança vers lui et lui frappa le dos amicalement tout en riant, à ma réponse. Attendez, attendez une minute, il a bien dit " Princesse " Pour parler de Capucine, ce qui signifie que c'est une Princesse ? - Oui, j'avais remarqué, ce que je voulais dire, c'est que votre perte de mémoire est temporaire, que d'un jour à l'autre, vous pouvez retrouver vos souvenirs. M'expliqua-t-il en souriant. Je me mis à sourire à l'idée de retrouvé la mémoire. Qu'est-ce qui m'attend ? Est-ce-que je vais retrouver de merveilleux souvenirs, ou tout l'inverse, de malheureux souvenir qui me feront énormément souffrir ? - Pourquoi ? Est-ce que j'ai perdu la mémoire ? Qu'est-ce qui m'est arrivé, non ! Combien de temps suis-je resté inconsciente ? Demandais-je gentillement. - 24 heure ! Votre pouvoir, c'est déclarer pour la première fois et vous n'avez pas sus le contrôlé. Vous étiez si désespéré, que vous avez demandé de l'aide à la princesse... - Au début, j'étais contre, mais tu avais l'air si désemparé, j'ai agi délicatement. Enfin, je crois que j'y ai été un peu fort, ça ne m'est jamais arrivé auparavant. Je ne sais même pas ce qui s'est passé ou même comment t'expliquer, m'avoua-t-elle d'une traite. Non, sérieusement, il n'y, a pas d'autres explications à ma perte de mémoire. Hahah, je suis une sorcière waouhhhh, je n'ai pas su contrôler, mes soi-disant pouvoir, donc on a dû m'arrêtais. Je n'arrive pas à y croire, il n'y a pas d'autre explication sérieusement. Ne pouvant me contrôler, j'explosais d'un coup de rire, je n'arrivais plus à m'arrêter. En me voyant ainsi Capucine fronça à nouveaux les sourcils, avant de s'exclamait méchamment : - Qu'est-ce qu'il y a de drôle, j'ai dit une blague ? Sérieux, est-ce-que j'ai l'aire de plaisanté ? Demanda-t-elle énerver. Je restais bouche bée, sérieusement qu'est-ce qui me fait rire? Surement, son incroyable histoire, qui n'a ni queux ni tête. Je ne suis pas une sorcière, j'en suis sûr, pfff à d'autre. - J'aurais dû m'en douté, une humaine ne peux pas comprendre notre monde, ou même imaginé la magie qu'il en dégage, s'emporte-t-elle. - Je ne me souviens de rien ! Que voulez-vous que je dise, quand vous prétendez que j'ai des pouvoirs. - Calmez vous princesse, n'oubliait pas qu'elle a perdu la mémoire, elle n'a pas tort, me soutient-il en essayent de la calmer. Je restais là sans rien dire, essayant de suivre leur échange, sans réellement y parvenir. - C'est ma faute tout ça, s'exclama-t-elle en s'avançant vers la sortir. - Non, pas du tous, si j'ai bien tout compris, vous m'avez sauvé la vie. Alors, vous n'avez pas à en vouloir, de plus ce n'est que des souvenirs, qui reviendront tôt ou tard, et peut-être même, que je ne veux pas me souvenir. Répondis-je d'un coup comprenant qu'elle s'en voulait beaucoup trop. - Mais ... Commença-t-elle avant que je ne la coupe. - Non, il n'y a pas de, mais, vous n'avez fait que m'aider, c'est à moi de faire des efforts pour retrouver la mémoire. Vous n'avez pas à vous en vouloir. Lui expliquais-je en lui faisant un signe de la tête. Elle me sourit avant de sortir suivis de Marc, quant à moi, je fermais les yeux en me concentrant. Je dois en apprendre plus, retrouvé mes souvenirs. Il faut vraiment que je les retrouve, j'en ai besoin, pour savoir et comprendre ce qui m'arrive…
Free reading for new users
Scan code to download app
Facebookexpand_more
  • author-avatar
    Writer
  • chap_listContents
  • likeADD