Chapitre 5

3128 Words
Aujourd'hui, c'est le grand soir, j'ai hâte d'y être, pourtant, je redoute un peu de cette soirée, je vais quand même rencontrer le grand frère de ma meilleure amie, ce n'est pas rien, il s'agit du futur roi de ce royaume ! Oui, j'avoue, c'est la première fois, que j'assiste à ce genre de rassemblement, je stresse, oui, qui ne serait pas stressé à ma place ? J'ai peur d'être le centre de l'attention, imaginez si je m'humilie en public, je crois que… Je ne le supporterai pas. Déjà que je suis la seule terrienne, ici, alors imaginez, être le centre de l'intention, ce n'est pas possible, je ne veux vraiment pas être dans ce genre de situation. Dans quelques minutes, Capucine va arriver dans ma chambre, on doit se préparer pour ce soir. Capucine a tenté de me rassurer, elle m'a expliqué que je serais à ses côtés, toute la soirée, ça partait d'une bonne attention, mais elle m'a juste ajouté une pression supplémentaire. Baptiste aussi sera à mes côtés, le connaissant, il y a de forte chance, pour qu'il soit en retard, alors si je trébuche devant tout le monde, qui me rattrapera. Bon, je crois que je vais vomir. Si l'on revenait à Capucine, actuellement, elle se trouve devant un dressing, les bras croisés, le doigt sur le menton, croyez-moi, je ne l'ai jamais vue aussi concentrer, avez-vous une amie, qui aime tellement la mode, qu'elle vous prend pour son mannequin ? Si oui, alors, vous me comprenez, mais avec elle c'est la totale. Chaque jour, c'est la guerre, elle essaie de me convaincre des bienfaits du shopping, elle est vraiment une addict. Je ne vais pas mentir, elle a vraiment un beau look, elle sait aussi reconnaitre les morphologies, elle a un talon pour relooker, mais, mon style me convient, je ne veux pas avoir de lingerie fine, ni de robe et encore moins des talons. Je suis féminine, mais, de vous à moi, la mode et moi ça fait 10, voir plus. J'aime être élégante, mais de là à l'être H26, non merci, j'aime les vêtements ou je suis alaise. A contrario de mon amie, je déteste les talons aiguille, elle déteste les ballerines, je ne vais pas dire que j'aime ça, franchement, je me suis toujours demandé, comment elle faisait pour marcher avec, c'est une vraie torture, encore pire que les soutiens-gorge. Un jour, elle m'a convaincu d'en essayé, j'ai cru que j'allais perdre mes pieds. Depuis ce jour, heureusement pour moi, je trouve toujours des compromis, afin de ne plus en porter. Ce soir, je vais aller au bal, avec Baptiste et Capucine, mais vu qu'elle a organisé la fête, elle voudra certainement passer du temps avec ses invités, ce qui est normal, et même obligatoire, ça serait malpoli de faire le contraire. J'ai bien fait d'entraîner avec moi Baptiste, afin d'éviter de me retrouve entouré d'inconnus, j’espère ainsi éviter la casse, et ne pas me ridiculisé. Ce n'est pas comme si, je l'avais contraint, bien au contraire, il était plus que ravie, lorsque je lui ai proposé. Pour la simple et bonne raison que l'on est proche, que je suis sa meilleure amie, mais surtout, qu'il est amoureux de Capucine. Sa m'arrenge, oui, parce que qui dis fête, dis monde, qui dis monde, dis agitations, et qui dis agitation, dis c'est sans moi. Capucine m'avait supplié de venir, je ne pouvais pas juste me défiler, et rester dans ma chambre, tendis qu'a l'étage du dessous une fête se passerais. Je sais que Capucine est carrément flipé pour sa soirée, elle a tous organisé et redoute que sa ne plaise pas à ses convive, mais surtout a son frère, elle essaie de l'épater. Je dois dire que vue la salle, je doute qu'ils auront quelque chose à y redire. D'un mouvement, elle se retourna vers moi, oula sa sens mauvais, sérieusement, si elle stresse autant que moi, qui va me rassuré ? Baptiste bien-sûr que non ! Je sais que ce soir, elle va vouloir que je porte une robe, je ne vais pas la contredire, pour une fois, j'espere qu'elle ne va pas me transformé en poupée. - Alors ma belle, pas trop stressé, me questionne-t-elle le sourire aux lèvres. - Oui, enfin, maintenant que je vois, ce qui m'attend, je crois que je vais regretté d'avoir accepté, d'assister à ta soirée, répondis-je en miment une envie de mourire. - Mais non, en plus, je t'ai trouvé la tenu parfaite, tu me connais bien, pas vrai, tu ne vas pas regretté, tu me fais confiance ? Quand elle dit une tenu, ça définition reviendrais a dire, une heure d'essayage voir plus ! La connaissant, elle me réserve beaucoup plus d'essayage, une robe avec Capucine, c'est hors de question, elle a besoin de se faire son avis, c'est bien pour ça, qu'elle ma bloquer tout une après-midi. - Une seul ? Ou 5 minimum , demandais-je en arquant un sourcil. - Ok, j'avoue, 10, m'avoua-t-elle comme si de rien n'étais. - Quoi 10 ! Tu es malade ou vraiment folle, une seule m'aurait largement suffis, je ne suis pas trop chiffon et tu le sais ! Répondis-je surprise par le nombre de tenue qu'elle me réserve. - Il faut que tu sois inoubliable pour mes convives, alors 10, est le nombre parfait, pour être certaine de mon choix ! Qu'est ce que je disais ! Si, elle en avait apporté juste une, j'aurais jurer qu'elle était malade, dans son language un esseyage, en sinifiquera toujours beaucoup plus. Elle adore la mode, ça se comprend, mais moi, ce n'est pas ma tasse de thé. Bon, je peux bien lui accordé ça, c'est son soir, et ce n'est pas comme ci que j'avais le choix. Amuser, elle ria un bon coup, avant de se tourner vers moi, une robe à la main, qu'elle me tendit, le sourire aux lévres, si je comprend bien, je dois l'enfiler avant qu'elle ne le fasse pour moi. Rapidement, je la pris, avant de l'observer, elle est verte, à paillette, courte, avec un bustier, je doute qu'elle va m'aller, mais bon, ce n'est pas à moi d'en décider. - Allez file, on a pas le temps ! Va essayé ça, vite, vite, je veux te voir, m'ordonna-t-elle en me poussant vers la salle de bain. Enfin, je suis seul, je fus cependant, très vite rattraper par la réalité, j'enfilais en vitesse cette premiere robe, avant de sortir de la salle pour avoir le verdic, que je connaissais que trop bien. Elle me tend, toujours en premier celle qu'elle aime le moins, de plus, elle avait caché tous les miroirs de la salle de bain, elle voulait me faire la surprise. Traduction, elle souhaite m'adhéré à la mode, elle s'est peut être dis, que ça serait une bonne idée ! J'en doute qu'elle arrive à me surprendre, mais comme on dit, qui ne tente à rien, n'a rien. Je suis quand même ses instructions à la lettre, une fois la robe enfilé, je sortis de la pièce, avant d'y retourné immédiatement, une autre robe à la main, d'après elle, celle que je portais n'était pas faite pour moi. Je fis le même geste 10 fois, jusqu'au moment où lorsqu'elle me vue, elle en resta bouche bée. Ce n'est qu'après quelque minute d'admiration, qu'elle ouvrit enfin la bouche, pour me surprendre avec ses paroles. - Waooooooooo , perfecto, magnifique, rien à dire, s'enthousiasma-t-elle fièrement avec l'accent italien. - Alors madame et enfin conquit par ma tenus, ricannais-je en mettant mes mains sur mes hanches. - Mieux que conquise, si seulement tu te voyais, bon passon à la coiffure, n'oublions pas le maquillage, les bijoux et les chaussures. Comme a son habitude, elle voulait que je portes des talons, j'avais donc dû passer un accord avec. Ce soir, je vais porter les chaussure que je veux, en échange, aujourd'hui, elle fait de moi ce qu'elle voudra, si elle veut que je lui apporte de l'eau, j'y vais, c'est pour ça, qu'elle choisi tous. Je vous avouerais, que je n'ai pas reflechis, j'ai juste accepté, pour le moment, je dois porté une robe, mettre du maquillage, les cheveux, je vous avouerais que ça m'arrange, ce n'est pas très grave ! Enfin, pour le moment. Passons à la coiffure, là, c'est une vrai coiffeuse qui intervient, tendis que Capucine s'en alla, elle devait se préparer. Ce fut très rapide, à son retour, j'étais juste surpris, je n'avais plus les mots, elle portait une robe de princesse, comme celle dans les compte de fée, bleu ciel, un bustier simple, et sur le bas de sa robe, il y avait quelque Frou-Frou, assez simple, mais qui font super beau sur cette robe, elle est juste magnifique. - Crois-moi Lili, tu es vachement plus jolie que moi, de plus, on a pas fini, je t'assure, que ce soir tu en feras tourné des têtes. S'exclama-t-elle, lorsqu'elle s'aperçut que je la regardais bouche bée. Elle est sublime, je ne peux pas dire le contraire, aucun mots ne peut expliqué mon admiration, elle est toujours sublime, aujourd'hui, elle l'est bien plus qu'à son habitude. - Tu t'es vue Cap ? Personne ne peut rivaliser, tu es magniphique, une divignité, regarde toi, j'espere bien que tous les regard seront braqué sur toi. - Lili, si tu te voyais, t'en serai le soufle coupé, toi aussi tu es juste canon, mais, il faut tous d'abord finir ton maquillage et ensuite tu pourra contemplé le chef-d'œuvre, on sera toute les deux sublimes. - Arrêt dont de me faire l'angire, vient asseoir, qu'on en finisse, une bonne fois pour toute, je veux me voir. La coiffeuse en avait fini avec moi, ça avait été rapide, je pouvais me rendre compte, qu'elle ne les avait pas entièrement attaché, elle les avait laissé tomber en cascade le long de mes épaules, je n'en savais pas plus sur ma coiffure, mais une chose et sur, c'est que Capucine n'avait pas exagérer, honnêtement, j'avais peur de devoir porté une perruque ou qu'elle me colore les cheveux. Quand la maquilleuse arriva, elle ne perdit pas de temps, elle déballa son matériel, avant de commencer le travaille. Elle était clairement consentré sur ce qu'elle faisait, tandis que Capucine, se faisait coiffé à son tour, je m'ennuyais tellement, que j'engageais une discution assez bizarre avec elle. Une fois prête, j'admirais mon amie, la regardant de la tête au pied, elle portait sa robe bleu, accompagné d'un collier en forme de goutte en pierre de saphir, la coiffeuse lui avait fait un magniphique chignon, assez simple, pourtant si beau, elle y avait placé un diadème par dessus pour lui donné plus d'allure. Elle portait avec cette magnifique tenus, de sublime boucles d'oreille en saphir, assortie à son collier. Son maquillage était simple, mais glamour, son teint lumineux, un rouge à lèvre rosâtre, très léger, du far à paupières nude, très leger, assortie d'un léger trait d'highliner, un peu de mascara, qui rendait ses cil encors plus long qui ne l'étais, ce qui agrandissait son regard. C'était sans aucun doute la reine de la soirée, ça s'est certain. J'étais si impatiente, que je n'avais qu'une hate, celui qu'elle retire enfin, le draps qui caché le miroir qui se trouver devant moi. Elle savait que j'étais impatiente, et elle en jouait, elle prenait son temps, le sourire aux lèvres, elle me narguait, après quelque minute, elle retira lentement le draps, une fois qu'elle eu fini de le retirée, je fus tétanisé par ce que je voyais. Jamais, je ne m'étais vue sous cette angle, enfin, je ne m'en souvient pas. J'étais sublime! J'avais les cheveux bouclé, il tombait en cascade le long de mes épaules, quelques mèches étaient attachées, les une avec les autres, par dessus, elle y avait mit un serre-tête en perle, se qui donner un certain charme à ma coiffure. Mon maquillage, quand a lui, était très léger, j'avais un traie d'eye-liner, du mascara et du phare à paupière mauve fumé, sur mes lèvres, il n'y avait qu'une légère touche de gloss transparent. Ma robe était rose claire, avec un bustier, de couleur rose/grisé, à paillette, assez souple, j'adore ma tenu, je n'aurais pas fais mieux. Franchement, elle avait assuré, sur le choix de nos tenus, on était magnifique. Elle avait gagné, j'allais faire plus d'effort sur le choix de mes tenus a l'avenir. - Alors là, Capucine, je ne m'attendais pas du tous à ça, j'aurais crus que tu me transformerai en barbie. Tu m'as surprise, je suis juste... Je n'ai pas les mots, enfin si, je suis magnifique, incroyable, belle. - Tu as déjà fais l'effort de me donner carte blanche sur ta tenu, je n'allais pas abuser, je voulais, quelque chose, qui te ressemble. Je voulais que tu te rendre compte de ta beauté, cette tenu est digne de toi, m'avoua-t-elle ému du travaille accomplit. Je n'aurais jamais crus dire ça un jour, mais j'aime vraiment cette robe, simple mais belle, quoi demander de plus ! Après des heures de préparation, nous sommes enfin prête, c'est leur de faire la fête, sans perdre une minute, j'enfilais une jolie paire de basket blanche, avant de prendre ma pauchette assortie à mes chaussures. Pour couvrir mes épaules dénuder, j'enfilais un chale rose poudré. Nous, nous regardions une dernière fois, avant de nous faire un signe d'approbation, nous somme prête, j'attrapais le bras de ma partenaire, avant de nous rendres à la fête. A peine avions nous posé le pied dans la salle de balle, qui sois-dite en passant, était juste ravisant avec : toutes ses lumières éclatante, la music apaisante, le buffet gigantesque, les décoration festives ext... L'endroit refleté ce qu'était Capucine, une personne élégante et glamour, je m'attendais pas à un tel endroit. Ce que je redoutais, arriva, les yeux étaient rivé sur nous, ils étaient en admiration pour Capucine, je les comprend, elle est juste sublime, je sais que je me répète, mais elle est bien plus belle que je ne les décrites. Tout en descendant les marches de la salle de bal, je recherchais Baptiste du regard, qu'est ce que je disais encore une fois, il n'est pas là ! Suis-je surprise ? Non ! Lui et la ponctualité... J'avais beau cherché, rien, et encore rien, je vais le tuer ! Ce n'est pas possible, il ne peut pas être en retard, pas aujourd'hui, plus je le cherchais, plus les battement de mon coeur s'accelera, mes mains devinrent moite, les regards étaient insistant, ce que je ne supportais pas. Contrairement à elle, je n'étais tous bonnement pas à laise, je n'aime pas qu'on m'admire ainsi, encore moin qu'on me dévisage, tel une oeuvre d'art. Très vite, je fis signe a Capucine que ça en était trop pour moi, elle hocha de la tête, signe d'aprobation. Trop préoccupé, je me dirigeais vers le buffet, laissant Capucine en compagnie de ses invités, j'allais enfin pouvoir m'évader, grâce à toute ses gourmandises. Oui ! Je plaide coupable, j'allais me goinfré, jusqu'à l'arriver de Baptiste, merveilleux programme, vous ne trouvez pas. J'espere pour lui, qu'il ne va pas tarder, sinon, je doute qu'on me laisse en paix très longtemps, de plus, j'ai peur de faire des conneries, tous ce que je redoute arrive, qui me dis que je ne vais pas attirer l'attention sur moi ? Une fois devant le buffet, une idée me passa par la tête, si on me voyait et qu'on ce disait que j'avais besoins de compagnie, que devrais-je faire ? Mhhmhmmhhh, Je vais le tuer, c'est décidé, pourquoi m'a-t-il laissé seul dans une tel situation, il ne pouvait pas arriver à l'heure pour une fois ? J'étais tellement occupé à me goinfrer, avec l'incroyable buffet qui se tenait devant moi, je m'étais jeté sur tous ce qui était à base de chocolat, c'était délicieux ! Occupé, je ne m'étais pas rendu compte, que le bruit qui m'entourer avait cessé, ils étaient arrêté dans leur discution, sauf moi bien sûre, qui contemplé avec envie la nourriture, on aurait dis, que je n'avais pas mangé, depuis plusieurs jour. - Comment trouvez-vous ce buffet, me demande une voix rauque derrière moi. - Je le trouve gigantesque, si gourmand que j'en salive, encore, répondis-je avec envis sans même prêté attention à mon interlocuteur. Sans lui prêté plus d'attention, je repris ma contemplation, mettant dans mon assiette, tous ce qui me donner envis, lorsqu'un raclement de gorge, me sortie de mon monde. Rapidement, j'essuyais ma bouche de potentiel trace de chocolat, avant de me retournait d'un coup, mon assiette remplis de petit four en main, c'est la que je compris. Je m'aperçus assez vite que tous le monde me regardé, non, non, non. Immédiatement, je cachais mes mains derrière mon dos, cachant par la même occasion mon assiette. Je fis quelque pas en arrière, la déposant sur la table, sous les rire de mon interlocuteur, qui me regardé avec surprise, quoi j'ai dis une bêtise ? - Quoi ! C'est vrai, quoi, regardez ? Il est énorme et si vous goûtez, vous allez en être accro, m'exclamais-je en m'adressant à l'assemblée . - Il ne vous regarde pas pour cette raison ! M'informa l'inconnue un sourire moqueur sur le visage. - Non, ce n'est pas vrai, lui demandais-je à voix basse pour pas qu'on m'entends. Ce n'est pas vrai, si ce n'est pas pour ça qu'ils me regardent, alors là, je viens de m'humilier en public. Je n'arrive pas à y croire, je me tenais à distance, spécialement pour ne pas attiré l'attention, je dois dire, que j'ai bien loupé ma chance de me taire. Je n'arrive pas à y croire, c'est pas mon jour ou quoi ? - J'ai bien peur que c'est la réalité ! - Oh non non non ! Alors pourquoi me regarde t-on ainsi ? J'ai du chocolat sur le visage, j'ai fais quelque chose de mal ? Le questionnais-je d'un chuchotement presque inauditif . - Non très chère, vous êtes très jolie, je dois dire. Ils vous regardent certainement comme ça, parce que vous êtes la seule, à ne pas avoir salué l'invite d'honneur! Me chuchota-t-il à l'oreille, les mains derrière le dos. À l'entente de sa phrase, j'ouvris en grand les yeux, ce qui le fit rire de plus belle. Non ! L'invité d'honneur et arrivé ? Mais pourquoi regardent-ils tous dans ma direction ? Je ne suis pas l'invité d'honneur ! - L'invité d'honneur? Ne me dîtes pas que c'est vous, l'invité d'honneur, ne me dîtes pas que vous êtes le frère de Capucine. Le questionnais-je alors gêné. Baptiste, je vais te tué, je n'arrive pas à y croire, non c'est pas lui. Il me regarda alors avec un grand sourire puis me tendis la main. - Enchante je suis ...
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