Chapitre 1

3122 Words
" Mamann, reviens" Hurlais-je en larme. Lorsque je relevais les yeux, je réalisais que j'étais seul, mon monde venait de s'effondrer, je n'avais plus personne, j'étais seul et perdu ! J'étais seul, sans repère, sans parents, sans personne pour m'expliquer ce qui venait de se passer, la peur m'habitait. J'avais beau regarder autour de moi, tous me paraissait sombre, pourtant, rien n'avait changé, c'était bien réel. Les larmes aux yeux, je regardais autour de moi, perdu, je m’efforçais de reprendre mes esprits. Ce n'était qu'un rêve, un mauvais rêve, lorsque j'ouvrirai à nouveaux les yeux, tous seras comme avant, mes parents seront là, avec espoirs, je fermais les yeux, espérant réellement que tout n'était que le fruit de mon imagination. Mais, en les ouvrent à nouveau, rien n'avait changé. " MAMANNN ! PAPA ! " Hurlais-je désespérément. La lumière avait disparu, comme par magie, emportant avec elle, mes parents, c'était bien réel. Ne sachant plus que faire, je sortis de chez-moi, les larmes aux yeux, il se faisait tard, non ! Il devait être environs 2 ou 3 heures du matin, je pense, je réfléchis, j'imagine, je panique... " MAMAN ! PAPA ! Hurlais-je en essayant de ne pas trébucher. Il faisait froid, j'avais froid ou mal, j'étais totalement perdu. Je me dirigeai en larme, en direction de mes voisins, en qui mes parents avaient confiance. Une fois au seuil de leur porte, j'y frappais énergiquement. Je sonnais, frapper, pleurer, puis je frappais à nouveau avec ma force d'enfant. "- Lidia, Mark, ouvraient moi, je vous en pris ! Pleurnichais-je." J'imaginais tellement de scénarios horribles, que je ne m'étais pas aperçu de leur présence, rien de bon et de bien amusant, en vrai, je me faisais peur à moi-même. Ne comprenant pas ce qui m'amenait chez eux, Lidia déposa une main réconfortante sur mon épaule, ce qui me fit reprendre mes esprits. " - Lise, ma puce, qu'est-ce qui t'amène à cette heure ? me questionna Lidia. " Sans attendre, je me réfugiais dans ses bras, mes larmes coulèrent à nouveau, elle m'avait souvent gardé, lorsque mes parents s'absentaient, elle veillait sur moi en quelque sorte. Elle me connaissait bien, elle savait reconnaître mes peines, et elle savait comment me calmer. Après m'avoir accueillis chez eux, je leur expliquais, ce qui venait de m’arriver, leur racontant tous dans les moindres détaille, je me disais qu'ils pourraient retrouver mes parents, si je leur donnais le plus de détails possible. À la fin de mon récit, ils se lancèrent un regard complice, avant d'appeler la police, au fond de moi, je savais qu'ils ne me seraient d'aucune utilité, pourtant il fallait les contacter. Ma voisine voyant mes tremblements, me prit dans ses bras, tendis que son époux m'apporta une couverture. Peu de temps après leur appel, je me retrouvais entouré de pleins de personnes. Autours de moi , une multitude d'inconnue, des personne que je ne connaissais pas et qui me regardaient avec pitié. Je n'avais pas besoin de leur satané pitié, je voulais mes parents, je souhaitais qu'on les retrouve et qu'on me les ramène. Est-ce si difficile à comprendre ? Les policiers m'interrogèrent, malgré mon jeune âge, ils essayaient de comprendre la mystérieuse disparition de mes parents. Pourtant, il ne m'écoutait pas, ils ne me croyaient pas. Dès que j'essayais de leur expliqué, ce que j'avais vue, ils me regardaient bouche baie, avec un grand sourire moqueur. Une fois que j'eu finis de leur raconté, ils ce consultèrent. Après quelque minute, ils s'approchèrent de moi, avant d'essayait de m'expliquer que mon histoire était impossible, qu'il avait besoin que je leur dise la vérité pour qu'il puisse retrouver mes parents. Que j'avais une imagination débordante. Je ne l'ai écouté pas, je savais ce que j'avais vue, personne ne pourrais me faire changé d'avis. Ils n'étaient pas là ! JAMAIS, je ne cesserais de raconté ce que j'ai vue ce soir là, car je savais exactement, ce que j'avais vue, je savais que mon histoire difficile a croire, pourtant c'était la réalité. Les policiers, ce dirigèrent ensuite vers mes voisins avant de leur chuchoté quelque mots, ils ce rendirent ensuite chez moi et ne trouvèrent qu'une maison vide... 9 ans plus tard. Les années passèrent, j'ai à présent 15 ans. Je suis brune mais mes cheveux virent sur le blond lorsque je suis au soleil, depuis l'âge de 10 ans. J'ai les yeux marron et je suis assez mince, avec quelque formes, je suis de taille moyen, je mesure environs 1m65. Durant ses neufs dernières année, j'ai du supporté, encaisser, mais surtout acceptée tant de chose. Après leur disparition, j'ai beaucoup souffert, les gens me prenaient pour une folle, pourtant je sais ce que je dis. Après leurs disparition, j'ai été placée chez ma grand mère. Une femme extraordinaire, une femme que j'adorais, qui prenait tant soin de moi, elle était unique en son genre. J'adorais parler avec elle de tous et de rien, elle ne me portait aucun jugement. Je lui parlais souvent de ce que j'avais vue et elle savait me rassurer, son regard en disait long, elle avait ce sourire qui nous réconforte et nous dis " Oui ma petite , je te crois ". Son regard me montrait son soutient, jamais elle n'a douté de moi. Ma grand-mère était la seul, qui ne me regardait pas avec pitié. Non, bien au contraire dans son regard, je pouvais voir de la compassion, de l'amour, de la peur, de la crainte et des regrets... Je n'ai jamais compris pourquoi qu'elle avait autant de regret. Elle était d'une gentillesse inestimable, elle avait des cheveux blanc et gris avec des yeux bleue et été assez petite. Si je mets toute mes paroles au passé, c'est parce qu'un jours, en rentrant du collège. Comment vous raconté ce passage de ma vie ! Ce jour là, j'étais heureuse de pouvoir lui montré mes bulletins de note, j'étais première de ma classe. Je voulais l'impressionné, avec mes notes, qu'elle soit fière de moi. Je rentrais chez moi, retirant mes affaire rapidement, avant de crié son prénom dans toute la maison, sans aucune réponse, en premier lieu je pensais qu'elle s'était assoupit, je partis donc à la recherche de Paola, ma grand mère. Je la cherchais sans parvenir à mettre la main dessus. C'est là que je la découvris allongé sur le sol du salon, à cette époque je n'avais que 13 ans. Lorsque je m'approchais d'elle, je compris mon erreur. Tremblante, j'attrapais mon téléphone avant d'appeler une ambulance. Agonisants elle me révéla enfin : "Depuis toujours , je... Je voulais que... Tu... T'avouais que tu n'étais... Elle toussa plusieurs fois avant de reprend : ' Que tu n'es pas une fille ordinaires..." Ne voulant pas qu'elle s'épuise, je lui coupais la parole pour lui dire tristement : " Sa suffis grand-mère, sache que je t'aime, ne me laisse pas... Je... Je... Je t'en pris, ne m'abandonne pas à ton tour, tu n'as pas le droit ! J'ai besoin de toi ! - Pardonne moi.. Mais n'abandonne pas ... Tu as une destiné extraordinaire... TU ES UNE MAGIC !!! Je t'aime ma puce ... Dit-elle avant de fermé les yeux. - Je t'aime ... Je t'aime ... Nonnnn !! S'il te plaît... Ne m'abandonne pas toi aussi, ne me laisse pas seul... " Je la regardais, s'éteindre sous mes yeux, impuissante, à ce moment là, je ne pouvais retenir les quelques larmes qui ce frayèrent un passage. Je la voyais poussé son dernier soufle, sans pouvoir intervenir ou même lui venir en aide, j'étais impuissante. La seul famille qui me resté s'envoler, sous mes yeux. Les pompiers arrivèrent, quelque minute plus tard, trop tard. Pourtant, je criais, je leur criais dessus, leur demandant de la sauvé, je voulais qu'il la sauve malgré tous. Je ne voulais pas la perdre elle aussi, pour moi ce n'était pas son heure. Elle était encore jeune, je la voulais à mes côté. J'étais sûr de ne jamais pouvoir supporté sa mort, que jamais je ne pourrais vivre sans elle. Elle était tous ce que j'avais. J'étais plongé dans pensé, quand un des pompiers c'était tourné vers moi, une mine attristé. Il tourna sa tête de gauche à droite, comme pour me dire qu'il était trop tard, qu'elle n'avait pas survécu, qu'elle était morte. J'avais compris tous ça, en un signe de tête. À cette annonce, mon coeur se brisa, en un milliers de petits morceaux. Avant de m'éffondré au sol et de sombrer dans les ténèbres. Sous les multiples appelle des pompiers, qui me demandé de gardé les yeux ouvert. À mon réveille une femme se tenais à mes côté, lorsqu'elle me vue, elle me regarda, l'aire de dire toute mes condoléances. Mais j'en avais rien à faire de ses condoléances, ce que je voulais c'était ma grand mère, je voulais qu'on me la rende. Mais non il ne pouvait pas faire ça! Non ! Alors, qu'il me fiche la paix. Je voulais qu'on me laisse, je voulais être seul avec ma souffrance. Le jour de l'enterrement, j'étais anéantis, ma grand mère était morte, c'était réel, mais surtout officiel. On me l'avait pris elle aussi ! On me l'avait enlevé, arraché, j'étais à nouveau seul, celle qui avait toujours eu sa place dans mon coeur, était morte. Comme-ci je n'avais pas déjà assez souffert, de la mystérieuse disparition de mes parents. Le jour de l'enterrement, mes anciens voisin, son venus me présenté leur condoléances. Mais je ne les voulais pas, je ne voulais rien entendre. J'étais assise sur un canapé, je pouvais y voir les gens défilés, pour la plupart, je ne l'ai connaissez pas. Je ne voulais pas les connaitre, il me paraissaient tous hypocrite et sans importance. Après l'enterrement, je fus placé dans plusieurs familles d'accueil, parfois accueillante, d'autre fois violente. Je ne supportais tellement plus, cette pression permanente, que je fugai encore et encore. Je ne voulais plus m'attaché à d'autre personne, je ne voulais plus souffrir, je ne voulais plus perdre les personne qui m'étais cher. Je me suis alors réfugié dans la tristesse, dans un univers qui ne me ressemblé pas. Aujourd'hui je suis ici dans une chambre noir, ou j'ai été placé. J'allais à l'école bien sûre, mais à vrai dire, j'étais la visé de tous, mais surtout d'un garçon appelait Mick. Il se moquait sans arrêt de moi, je suis comme qui dirait, le souffre douleur de la classe. Je n'avais aucune amie, je ne pouvais plus supportais cette satané école, mais je ne perdais pas pied, pour autant. Je savais ce que j'avais vue et personne n'arriverait à me faire douté, même si parfois je l'avoue, je cherchais un raisonnement en vain. À l'école tous le monde connaissaient mon histoire, oui, je racontais à tout le monde se que j'avais vue. J'étais considéré comme une folle, celle qui croyais encors au monstre à l'âge de 14 ans. Malgré tout j'étais une élève exemplaire, j'étais respectueuse et j'avais de très bonne note. Pourtant malgré toute mes tentative, je m'étais attaché à ma nouvelle tutrices et pour tous vous dire j'en étais proche. Je me maudissai pour ça, j'avais peur de la perdre, elle aussi. Après le deuil de ma grand mère, enfin mon demi deuil, qui ma prit 1 ans. J'ai réussi à reprendre une vie à peu près normal, mais je n'oubliais toujours pas mes parents. Chaque soir, je faisais le même cauchemars, toujours répétitif qui ne cessé pas. Dans quelques jours, c'est mon anniversaire, je vais enfin avoir 15 ans. Ma tutrice m'a promis que je ne serais pas obligé de le fêté. Chaque années à la même date, je me questionnais sur la vie que j'aurais eu auprès de mes parents. Chaque jours, je rêvais de les retrouver, je les voyais chaque jour devant moi. Me souriant me demandant de ne jamais les oubliés, de toujours gardés espoirs. Mais j'avoue que parfois, il m'arrive de perdre espoir, je finissais jour après jour par me dire que .... Non, il ne fallait pas que j'y pense, bordel sa faisait tellement mal d'y songé... Je finissai par .. Par ... Par pensé que.. Que..... Que j'ai imaginé cette histoire, pour ne pas croire que mes parents.... Que mes parents m'ont abandonnaient. " Non , non non c'est juste impossible " me dis-je comme pour me convaincre moi même. " Il ne m'aurait jamais laissé, ils m'aimaient tellement j'en suis sûre. Je fermais les yeux et là je revois... En image ce soir où ... Toute ma vie à basculé. " Non consentre toi, tu comprendras mieux ce qui c'est passé, ce soir là ". Me dis-je en me concentrant. J'ouvris les yeux d'un coup, lorsque quelqu'un frappa à ma porte . C'était Louise, ma tutrice. Elle ouvra la porte et là je l'aperçu. Elle est grande, mince, blonde aux yeux vert, je ne connais pas grand chose sur elle, mais je l'aime. Elle est vraiment belle et jeune, elle est ma famille. Elle m'a toujours dis que depuis toujours, elle rêvait de s'occuper d'enfant. Qu'un jour quant'elle avait entendu parlé de mon histoire, elle m'avait tout de suite recherché. Elle avait été toucher par mon histoire, parce qu'elle aussi savait la douleur qu'on éprouvait, lorqu'on perdait un proche. Elle n'en pouvait plus de tous ses gens, qui parlaient de moi avec pitié, elle voulait pas me laisser seul, entouré de vautour. C'est ce qu'elle m'a raconté la première fois. Quand elle m'a raconté son histoire, j'eu envie de lui faire confiance. C'était la raison pour laquel je l'avais tous de suite adopté. Elle s'avançait vers moi, s'asseyant à mes côté, avant de me demandé de lui raconté ce qui n'allais pas. Depuis un certain temps, elle devinait quand sa n'allait pas, elle été attentif et à l'écoute. En 1 ans, elle en avait appris beaucoup sur moi, chaque soir elle venait me réconforter, après chacun de mes cauchemars. Je l'adore cette femme. Je pris une grande inspiration, comme pour prendre une bouffé de courage, mais surtout pour éviter de craqué devant elle, en lui racontant. Elle me prit dans ses bras, me serrant aussi fort qu'elle le pouvait, en me rappelant : - Ne.. Ne doute jamais de ce que tu as vue. - Mais comment peux-tu croire à mon histoire, elle est si... Irréelle, demandais-je incrédule. - Ma puce , depuis que je te connais, tu me raconte chaque jours la même histoire, quand j'ai vue tes yeux, j'ai sue que ce que tu me raconter été vrai. De plus, je sais certaine chose que t'ignore, m'avoua-t-elle avec un grand sourire. - Parceque j'en suis convaincu, c'est ce que j'ai vue, affirmais-je en reprenant mes esprits . - Alors tous va bien, allez vient mangé ma puce, me dit-elle en riant. Elle se leva et me fis un grand sourire, avant de sortir de ma chambre. Je ne doutais plus , je savais ce que j'avais vue et grâce à Louise, je ne douterais plus jamais. Je m'en voulais d'avoir autant douté. Un jour ses sûre je les retrouverais, j'en suis sûr, je partirai à leur recherche et le jour ou je l'ai révéré, seras le jour tant attendu. Quelque jours plutart... Aujourd'hui c'est mon jour, j'ai 15 ans. Je venais à peine de me réveillé , encore fatigué, je restais allongé mon lit, quand ma porte s'ouvris. Louise toute heureuse entra en s'écriant " Bonne anniversaire " J'ouvris mes yeux, lourdement en la regardent surprise. Elle était là devant moi, le sourire aux lèvres, attendant ma réaction. Je fis mine de rien, lorsque je vus son sourire s'estomper. Sa marche, je me levais pour me dirigé vers elle. Arrivé à sa hauteur, je lui sautais littéralement dessus, sans attendre elle répondit à mon étreinte. Elle ria un moment avant de m'expliquer: " - Maintenant que tu as 15 ans, il est temps pour toi !. - Hahaha il est temps pour moi, mais de quoi tu parle, arrête de jouer avec moi, lui demandais-je intriguer par ce qu'elle me disait . Elle se leva, s'avançant vers moi, me tendant sa main tout en m'invitant à la suivre . - Suis-moi, tu comprendras mieux si je te montre, dit-elle le sourire aux lèvres. Voulant comprendre son énigme, je me levais, acceptant son aide , sans prononcé un mot. Louise gardait tout de même le sourire, nous nous dirigeons alors vers le salon. Soudain, je vue cette lumière, celle que j'avais vue étend petite. En la voyant, je me stopais net dans mon élant, j'attrapais difficilement la main de Louise. Je voulais m'enfuire avec elle, mais c'était comme si elle ne craignait pas cette chose. Elle me retenait fermement, je la regardais à l'entente d'une réponse, pourquoi elle ne bougait pas ? Pourquoi restait-elle immobile ? - Aujourd'hui, tu as 15 ans, il est temps pour toi de repartir, m'expliqua-t-elle joyeuse toujours avec son sourire radieux. - Qu'est ce que tu racontes, où veux-tu que j'aille, je n'ai nulle par ou allé, je suis chez moi ici , lui expliquais-je surprise. - Tu n'es pas née sur Terre ma puce , tu dois repartir chez toi, tu es l'unique... Essaya t-elle de m'expliqué. À la fin de sa phrase, je ne pus m'empêchai de rire, un faux rire ironique. Un long rire, elle me faisait une belle blague, c'est ça ? Je m'aperçus assez vite que Louise était sérieuse. Trop sérieuse même. Elle ajouta alors avant que je ne prenne la parole, d'un triste : - Je m'en veux de ne pas pouvoir tout te racontais, si tu savais, mais tu dois repartir, tu dois retrouvé tes parents, tes vrai parents. Je.... Je ne peux pas t'accompagner, mais j'espère qu'un jours tu prendra le temps de venir me voir, ou qu'on se reverra, m'expliqua t-elle au bord des larmes . - Je.. Je ne comprend rien, arrête de me faire marché, répondis-je en colère. - Pardonne-moi, tu dois partir maintenant avant qu'ils n'arrivent, affirma t-elle paniqué en tentant de retenir ses larmes. - Tu crois honnêtement que je vais te croire, répondis-je avec colère avant de pointé la lumière du doigt : Qu'est ce que sais ? Elle me prit alors par le bras, lorsque des bruits, provenant de la cuisine, ce firent entendre. Je regardais la lumière, et plus je m'en approchais, plus je m'apercevais, qu'il s'agissait en faite d'un portail. Surprise, je ne bougais plus, je ne parlais plus, j'étais comme tétanisé par ce que je voyais. Mais les bruits me ramenèrent à la dure réalité, ils ce rapprochaient. Plus ça s'approcher, plus je paniquais. Pourquoi ai-je peur de ses bruits, mais oui parce que c'est bruit ce rapproche. D'un coup Louise paniqua à son tour, en chuchotant qu'ils étaient arrivé...
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